Rencontre du Samedi 29 Octobre 2016
Par Djilali DEGHRAR
La rencontre des anciens en elle-même fut exceptionnelle de par son originalité en pleine air et au niveau du pied de la digue du barrage : Sidi M’Hamed Ben Taïba.
Le lieu choisi fut déjà un enchantement, avec un relief verdoyant, d’un coté l’oued de B’da alimenté par le barrage avec une eau glaciale et cela même en été. De l’autre coté des versants constitués de petites collines verdoyantes. Surplombant la route et le barrage. La colline peuplée de différents arbres et arbustes donnait à toute cette région, une vision semblable et comparable aux contrées diffusées sur les grands polars de cinéma. La seule route qui en parallèle avec l’oued de B’da nous emmène directement vers le barrage. A l’inverse vers B’da (petite localité loin du barrage à environ 3 km). Arrivé à une bifurcation, une route qui part vers la ville d’Ain-Defla et l’autre, celle de Mékhatria. Petite agglomération et fief cher à Abed Charef (journaliste), Boualem Charef (entraineur de football), tous deux natifs de cette région et anciens élèves du lycée Ferroukhi Mustapha.
Par une journée ensoleillée, les anciens affluaient de partout, l’air fatigués, perturbés et embrouillés en se posant la question suivante : Qui de nos amis, cette fois, vont arriver. Ils scrutaient ceux qui étaient déjà arrivés. Soudain, ils repartaient vers ceux qui furent reconnus. Des groupes par génération et aussi par âge. Discutaient et donnaient libre cours à leurs débats intimes, leurs blagues et surtout leurs propres histoires et souvenirs. On entendait ici et là des rires, même des éclats de rires. Parce que l’histoire racontée ici et là rappelle toujours aux assistants des souvenirs vivaces et lointains. Souvent avec le nœud à la gorge. Des petites larmes, oui parce que certains de leurs amis sont malades d’autres fatigués, et surtout ceux qui ne sont plus parmi nous.
De temps en temps on croise Kadar Tahar, l’organisateur officiel de la région d’Ain-Defla et membre du bureau de l’association des anciens. Il ne cessait de nous souhaiter la bienvenue tout en se montrant disponible et prêt à toute éventualité. Tout le monde était unanime en nous disant pourquoi nous avoir caché cet endroit magique et charmant. Les lieux ont beaucoup plu à nos invités. D’ailleurs ces derniers parlaient et discutaient comme s’ils éraient avec leurs proches (intimité, larmes et aussi des rires sincères et francs).
La rencontre d’aujourd’hui était comme une véritable fête, certes, c’est vrai qu’ils y avaient des absents mais il y avait aussi de nouvelles têtes. Et, c’est cela le miracle de ces rencontres. Cette fête ressemblait aussi comme les fêtes précédentes néanmoins chacune possédait son propre look.
C’est comme si, le groupe organisateur à leur tête Tahar Kadar semblait s’attendre qu’une éventuelle commission de contrôle vienne lui donner un bon point ou bien une bonne note. L’organisation était en osmose avec le décor. L’équipe en question s’est débattue comme des diables pour la réussite des retrouvailles de cette journée. Celui ou celle qui avait pensé un jour que ces retrouvailles ne doivent en aucun cas se faire uniquement dans une seule et même ville.
Ils avaient parfaitement raison, changer successivement de ville était une excellente initiative. Tous les 6 mois, les retrouvailles doivent être effectuées au niveau de la ville choisie par les membres de l’association. Ceci lui donne le charme et l’envoûtement souhaités et attendus. La découverte des lieux fantastiques, féeriques et surtout sensationnels, des lieux que seules ces rencontres nous permettent de les voir et les mieux sentir.
Hadj Mohamed Djebbour, en véritable reporter, avec ses copains stagiaires, ne cessaient d’immortaliser ces moments ainsi que ces instants, Djebbour, avec sa tablette qui devenue plus connue que lui. Les photographes, munies de leur tablette ou téléphone portable n’ont pas cessé eux aussi, un moment, der perpétuer ces événements qui resteront pour nous des souvenirs voire des commémorations bien entreposées au niveau du site de notre Noria.
Kadar Tahar a eu l’ingénieuse idée de nous présenter Abdelkader Hallal ex directeur des forêts pour nous faire un cours magistrale sur le barrage de sidi M’hamed Ben Taiba, dont voici sa fiche technique
- Année de début des travaux : 1996
- Année de fin travaux : 2005
- Entreprise Cosider : Génie Civil
- Autres firmes étrangères : Etudes et équipement
- Contenance : 75 000 000 m3
- Bassin versant : 273 000 ha
- Utilisation : Il alimente Ain-Defla, Sidi Lakhdar, Khemis et Miliana.
- Irrigation de la plaine : Sur 8000 ha
- Durée de vie : Selon le taux d’envasement, il dépassera les 100 ans.
- Taux d’envasement : 0,4 hm/m3 ou 400 000de m3/an.
Beaucoup de questions furent posées à Abdelkader Hallal qui à son tour avait répondu avec une aisance et une précision d’un ancien dirigeant des forêts. Il a toujours été à la hauteur de sa réputation sur le plan de la gestion des forêts, un cadre sérieux et intègre. Il était également parfait non seulement sur la manière d’avoir su expliquer les techniques de gestion des barrages mais aussi irréprochable sur les réponses données aux invitées. Abdelkader Hallal fut très applaudi par les convives.
Ensuite, ce fut le tour de Djilali Kelouaz, avec une facilité déconcertante, il nous gratifia d’une communication qu’on lui connait. Le message consistait à parler de la pomme de terre dans la région, de son développement et sa réussite totale. Le pourquoi du comment de son développement rapide et de son large succès. Et cela grâce à l’eau, il s’est tourné vers la flotte du barrage et a continué en disant que c’est grâce à cette eau. La fin de la pomme de terre à Mascara était due essentiellement à cause du manque d’eau et de la sécheresse enregistré à Mascara.
Après la pause du déjeuner les photos n’ont pas cessé de pleuvoir et c’était cela qui avait renforcé les liens en cherchant à avoir un souvenir avec X ou bien Y. De loin, on contemplait et distinguait beaucoup de groupes. Ces anciens discutaient avec leurs pairs comme si c’était hier. Ils étaient comme ces adolescents qui écoutaient leurs amis avec admiration et avec une complicité qui en disait long. Courtois et pondérés et parfois très attentifs, ils étaient là, ils ne voulaient surtout pas que cette journée s’achève. Ils écoutaient et racontaient les exploits de leurs copains et copines. Ils étaient admirables à voir ces grands enfants au cœur tendre et généreux.
Après, la cérémonie de clôture fut animée par le président Bouchoubal Mehdi qui nous souhaita la bienvenue et avait souhaité également que ces retrouvailles resteront un moment fort. Il a également parlé du site du barrage, il fut lui aussi émerveillé comme tous les autres.
Commentaires (11)

- 1. | 31/10/2016

- 2. | 31/10/2016
moha khouya !moha khouya est ce que tu as quelque chose comme un tapis à etaler par terre pour faire une priere et un voeu toi qui pense à tout. ILs'ecria tout joyeux ,oui mes amis j'ai ce qu'il faut dans la malle de ma voiture.Sitot dit sitot fait . Mais là il fallait appeler l'ensemble qu'il y a un voeu à faire .Stot dit ,sitot fait l'appel fut entendu malgré sa faible densité. Mais il y a un autre quelque chose il faut trouver un barbu pour diriger la priere pour que le voeu soit exaucé.Sitot dit sitot trouvé.Le barbu fut trouvé si vite. IL n'a fallu pas de cinQ minutes AVANT LE salem ALYKOUM du barbu en premiere position du groupe que la joie rayonnait sur la joue de l'ensemble qui ne croyait pas au miracle et qui regardaient ceux qui allaient faire le miracle pres des eaux d'un lac.
Le miracle etait là et tout le monde eut sa part de banane .

- 3. | 31/10/2016
Ecoute fiston tu as bien fait d'y aller et d'avoir su tout qui te sera utile dans tes recherches scientifiques à l'avenir meme si tu ne m'as enmener ce jour là je sais que la baraka de ces eaux est avec toi qu'elle me fera oublier la douleur de mes orteils .

- 4. | 31/10/2016
Sacré G.M meme sourde d'oreille mais elle a toujours son flair pour le savoir.

- 5. | 30/10/2016
1 ère remaque au bureau de l assiociation :
SV P publiez les informations au moins 15 jours à l avance pour que celles et ceux qui vivent à l étranger puissent préparer leur participation .merci.
2éme remarque c est "KEDDAR et non kadar.
j aurais aimé avoir des nouvelles de mhamed BENMERED.
RABBI ETTAWEL FI 3MOURKOUM.

- 6. | 30/10/2016
Ahmed LABDI. 31/10/2016: Ah! Chers ferroukhiens! Chères abdounettes! Ceux et celles qui ne sont pas venus à cette rencontre. Que vais-je vous dire? Que vais-je vous raconter? Par où vais-je commencer? C'est tout simplement formidable! C'est beau, c'est simple! Mais pour moi, c'est féerique, c'est du rêve. Trop de bonnes choses à la fois et qui se bousculent dans ma tête. L'édition: "29 Octobre 2016" est marquée par un fond particulier, un décor qui fait la différence donc du nouveau: un lac artificiel appelé aussi mer intérieure: Le barrage des Arib ou de sa vraie appellation officielle: Le barrage de Sidi M'hamed Ben Tayeb. C'est grand, c'est beau et il ne manquait que vous. Tu peux venir seul ou seule mais avec les anciens c'est autre chose.
Nous avons eu la mer (Cherchel, 2015), la montagne (Theniet El Had, plusieurs fois en 2015 et 2016). Et demain, in chaa Allah, ce sera peut-être un erg, une montagne, une forêt... Et pourquoi pas? A vous de décider.
Je tiens beaucoup à présenter toutes mes excuses de la grande faute que j'ai pu commettre en prenant, dans mon annonce, ce magnifique barrage pour une retenue colinéaire. On m'a fait la remarque et je m'excuse auprès de tous ceux à qui cette appellation à contrarier. On est tous fauteur et le meilleur des fauteurs est celui qui se repentit. C'est chose faite. L'autre particularité est que la restauration, c'est à dire la bouffe, a été entièrement offerte par une personne. Qu'Allah le lui rendra dans l'exaucement de tous ses voeux les plus souhaités.
Malgrés les prises de contact faibles, se basant uniquement sur le site "algermiliana" et le "bouche à oreille", on a vu le nombre présumé se réaliser à une précision inouie. Pas d'écart énorme ni par excès, ni par défaut, vu que le nombre d'invité n'a pas créé de manque de repas ou un surplus. Cent (100) repas ont été commandés et 98 ont été distribués. Nous avons donné une dizaine de repas pour le personnel du barrage le plus proche de nous. Il est de mon idée de développer un plan pour remédier aux problèmes qui perturbent le contact entre le bureau et les adhérents et tous les anciens lycéens même s'ils ne viennent pas. Certes il y a beaucoup d'imprévues lors des rencontres. Des malaises de dernière minute, des visiteurs, des tâches urgentes...
Place maintenant à quelques unes de mes émotions, mes impressions subies par des sentiments récoltés dans cette heureuse rencontre. Trop de choses à la fois! Trop de gens avec qui on veut discuter longuement. Il suffit de changer de groupe pour tomber dans une autre atmosphère, un autre sujet, un autre monde.
** Je commence par un petit soupir de mécontentement que j'exprimerai envers la non-présence de K.d'Our. Et je m'adresse directement à toi, ya K d'Our. Où es-tu K.d'Our? A quand ta présence à une de nos rencontres? Tu sais que j'ai beaucoup de choses à te dire! Et que j'attends beaucoup de choses de toi! Tu te rappelles du fourmillion que je t'ai fait connaître? Et moi, je n'oublierai jamais que c'était grace à toi que j'avais su que l'homme volait dans les airs. Tu venait haletant me l'annoncer. Nous croyions fort au cinéma. Une grande découverte suivi de rêves: Spaceman.
** Il ne manque que la zorna. On dirait une salle de fête à l'air libre pour célébrer une noce. On est tous des mariés pour épouser le bonheur, la joie et la gaieté de la rencontre.
** Mon maître d'internat (J'étais en classe de la première: 1971-72) me rappela une anecdote que je n'ai pas hésité à la lui rappler. Il était très stricte dans la discipline lors des études du soir. On devrait se ranger devant la porte de la salle et observer une bonne minute de silence pour nous annoncer la rentrée en salle en nous lançant un "Allez-y" simple mais autoritaire. Une fois en classe, on doit se tenir debout à côté de nos tables et observer encore une fois une minute de silence pour nous lancer un second "Allez-y" sur le même ton pour nous permettre de retirer nos affaires des casiers du fond de la salle. Entre temps, il venait juste d'obtenir un appel de la surveillence générale. Nous entrâmes et allâmes directement pour retirer nos affaires. Il revint vite et constata le désordre. Il tombourina sur le bureau pour ramener le silence et nous demanda sur un ton de celui à qui on lui avait désobéi: "Qui vous a dit d'allez-y?" Nous avons désobéi et nous avons droit normalement à une punition collective. Deux à qutre coups de règle sur les mains ouvertes à plat. Il fallait un vrai mystère pour échapper à la sanction. Et pourtant, il a suffit qu'il remarqua que quelqu'un ait souri de la faute qu'on venait tous d'entendre pour détendre l'atmosphère. il émet un sourire, hocha ne sachant comment il a pu dire chose pareille puis lança son "Allez-y". Ouf! On l'avait échappé belle. La faute ça sert parfois à quelque chose.
** J'ai rencontré une abdounette une camarade de classe du cours primaire à Djendel. Double retrouvaille en perspective. Je remercie beaucoup l'autre abdounette pour ses éloges à mon égard à propos de mes bourlingues. Les mériterai-je? En tous les cas merci.
** La meilleure rencontre que j'ai pu faire revient à celle que j'ai eu avec monsieur Kalouaz Djillali. On n'a pas trop discuté mais il m'a beaucoup dit. Enfin il va beaucoup parlé avec moi. J'ai à lire, pour la première fois, certain de ses livres. Quel régal ! Je lis mais j'essaie de faire la critique. Même en simple "écriteur" ou gribouilleur, je suis comme le petit Prince d'Antoine de Saint Exupéry, je ne renonce jamais à mes questions une fois posées. Et quand je lis je me pose des questions. C'est la première fois que ça m'arrive de lire de quelqu'un que je peux contacter.
** J'aurai bien aimé que la discussion ait pu duré, si riche avec messieurs Semmar, Yahiaoui et ce milianais si sympathique (Que j'aimerai bien revoir) sur le cèdre (medad) et l'invasion de la ville de Miliana. J'ai découvert un vocabulaire et des lieux inédits de Miliana. C'est beau de voir des milianais qui s'interressent à leur ville. J'aime, par élan d'amour à la ville qui m'a donné tant de savoir, à la connaître mieux. Elle me fera connaître la mienne.
** A l'heure du Dhor, le délégué de Djendel se jucha sur le bord du jet d'eau en arrêt pour nous lancer l'appel à la prière. Des tapis à cette effet ont été apportés. On a pensé à tout.
** Je remercie évidemment monsieur Abdelkader Hellal pour sa "communication", un cadre retraité du secteur forestier. Il nous a éclairci sur la réalité de la technique de ce barrage, suivi par monsieur Kalouz Djillali pour donner une petite esquisse sur ce qui se passe dans le dommaine du commerce extérieur concernant les pommes de terre en particulier.
** Comme tous les barrages, l'élevage du poisson sandre est introduite dans ce joli lac à eau bleu. C'est un téléostien (mot scientifique qui veut dire tout simplement qu'il est osseux et que sa bouche est à l'extrémité du corp comme la sardine, le maqereau, la carpe... Par opposition à cartilagéneux (la raie)). A la différence que ce poisson a une chair très fine ce qui fait l'envol de son prix.
** En remuant un caillou, j'ai constaté qu'il est une agate. Je suis revenu chez moi comme au bon vieux temps avec un échantillon dans ma poche. Le géologue qui est en moi n'a pas perdu son pieds ni son oeil.
Pourvu que cela dure. C'est une agate volante qui n'est pas du sol. Elle vient de loin. C'est une zone de terrassement. Je crois que je vais m'arrêter là. Ahmed

- 7. | 30/10/2016
La bouche pleine, j’articulais avec le mieux que je puisse faire mes mots pour qu’elle me comprenne. Ecoute G.M ,cette fois –ci le malheur m’a placé juste en face de notre President d’Association et qu’auparavant mes amis m’avaient bien averti en me disant si tu veux notre avis et un bon conseil d’amis de classe ne va surtout pas prés du Président au moment des repas il pourrait t’en couter cher et tu retourneras vide comme tu etais venu chez toi . Mais moi, par respect à sa personnalité de le voir toujours assis seul pendant nos déjeuners j’ai bien voulu prendre le risque et d’aller à sa table m’assoir en face de lui. Et ce qui est arrivé à bien d’autres avant moi ,m’est arrivé aussi aujourd hui . Il a bien bouffé tout ce qui se contenait dans ses plats en plus d’un autre supplément qu’on le lui a remis dû à son rang de Président , qu’il rajouta à mon insu mon repas aussi tout en trouvant un prétexte m’éloignant de lui pour me dire si je pouvais bien lui apporter dans la mesure du possible une bouteille d’eau qui était bien un peu loin de notre endroit. A mon retour tout fier d’avoir cette bouteille d’eau à la main pour le président ,je n’y ai trouvé dans mon plat que des restes .Un plat que je n’avais même eu le plaisir ni de l’ouvrir ni voir même au moins ce qu’il contenait de bon .
Voilà toute mon histoire G.M, pourquoi je suis retourné l’estomac creux et sans avoir pu t’apporter aussi ta part habituelle de notre rencontre..

- 8. | 30/10/2016

- 9. | 30/10/2016

- 10. | 30/10/2016

- 11. | 30/10/2016
Pour vous expliquer ce deboire survenu c'est arrivé Dés que j'ai posé pied sur le sol fertile jusque là inconnu pour moi en cet endroit de la rencontre des anciens éleves du lycée ,voilà qu'on me remit les clés d'une voiture.Au debut j'etais surpris par la rapidité et l'execution sans tarder du don ' offert qui m'a t on dit vient de l'association pour services rendus jusque là.Je ne m'attendais pas à ce qu'il me soit offert toute une voiture et blanche de couleur sans aucune tache de rousseur par dessus le marché.Et devant temoins que je peux citer sans crainte les clés m'ont ete remis .Devant temoins que je peux citer sans , le donateur me dira à haute voix c'est les clés de ta voiture ,ils sont à toi faits en ce que tu veux . Heureux je l'etais en cette belle journée magnifique. Pour annoncer la nouvelle à tout le monde ,j'ai vite changé l'ancien matricule du vehicule par ma date de naissance pour ne faire qu'un dans notre ensemble. Du moment qu'elle m'appartient elle doit avoir ma date de naissance comme reference . je l'ai lavé avec l'eau de la baraka de l'endroit ,j'ai pris des photos avec et je prie Mr Remmali de dire cette verité .je le prend aussi comme temoin oculaire les photos prises dans leurs exactitudes sont en memoire de son portable.
Et voilà que le comble arriva ,en voulant partir et quitter les lieux une personne bien connue de moi qui n'est autre que le president de l'association me suggera de lui remettre les cles de la voitur au plus vite .Un bien qui est devenu mien va m'etre extorqué à l'instant meme J'etais bien surpris au point de lui accorder cette plaisanterie comme un malentendu de sa part .Il insista que j'ai vu un peu de saveur de salive sortir un peu de sa bouche. En voyant celà ,j'ai eu bien peur pour sa santé .Mr Remmali avec sa voix calme et d'une gentillesse à l'extreme me pria de lui remettre les cles sinon il va avoir sa crise d'epilepsie et il sera difficile de le calmer dans ce cas.
Pour la bonté des yeux de Mr Remmali ,j'ai du accepter de lui remettre les clés d'une voiture qui m'appartenait .