Fêtes scolaires
« Cette photo a été prise à Miliana sans doute lors d’une fête de fin d’année à l’école primaire (je ne me souviens pas du nom de cette école). Peut-être que des femmes de ma génération se reconnaîtront ? Je pense (mais je n’en suis pas certaine) que cette photo a été prise en 1957 … 1958 ?) avant mon passage au Lycée Alphonse Daudet (aujourd’hui Lycée Mohamed Abdou). Les personnes qui se trouvent sur cette photo doivent avoir aujourd’hui, comme moi, 65 ans (un an de plus ou de moins … ?). Je suis l’écolière qui se trouve au centre de cette photo en premier plan sur la scène. J’avoue ne pas me souvenir du nom des autres élèves. Si certaines se reconnaissent, merci de me contacter. Peut-être aurons-nous des souvenirs à échanger ? »
Chantal VINCENT
Commentaires (29)
la réponse a eu son mérite de son oh! oui oh !oui explosif de l'animateur à l'éleve.
Alors à notre sujet abordé je vous dis aussi ce : Oh!oui ..oh!oui comme le dit Julien Lepers à toute bonne question difficile exprimée.
Notre tempérament aidé d'une bonne réflexion peut nous emmener à nous corriger davantage dans le bien : voir cette vie mystérieuse encore plus belle qu'on veut atteindre le bout sans qu'on oublie qu'on a laissé dans notre passage des empruntes de pas qui font E notre histoire .
Et parfois si on résistait pour ne pas pleurer c'est pour montrer un peu notre courage à ceux qui vont suivre.
Pour les corrections de l'ecole.
je me rappelle d'un instituteur à l’école Jules Ferry d'el khemis où chaque matin avant le cours il nous faisait l'inspection des mains .Et chaque main sale devait subir d'une regle en bois massif cinq coups sur les doigts joints. et une fois apres un devoir à la maison j'avais eu de l'encre rouge de cette bouteille watherman que malgre j'ai si bien lavé mes mains que je me suis presenté avec les taches bien visibles.
J'ai subi cette correction de la regle et en ce moment j'ai preferé la falaka au lieu des coups de la regle.
la douleur se faisait sentir à partir des ongles et celà nous obligeait à verifier chaque matin la longueur de nos ongles qui depassaient nos bouts de chair des doigts.
Vous vous etonnez je crois. Je vais vous le dire . Apres la falaka on peut s'assoir et faire reposer nos pieds à la douleur subie, mais pour les coups de la regle nos doigts ne pouvaient même tenir un crayon pour ecrire et on etait contraint de les mettre entre nos genoux pour alléger notre souffrance.
C'etait un temps ,une epoque qu'on evoque maintenant et pour la FALAKA comme Mr Khaled je ne peux m'avancer de dire davantage autant que lui.
OUS L'EVOLUTION DES MENTALITÉS A EU RAISON PROGRESSIVEMENT DE CES PRATIQUES QU'ON RETROUVAIT AUSSI A L'ECOLE CORANIQUE SOUS LA FORME DE SEVICE CORPOREL (LA FALAKA) DES COUPS DE BATON QU'ON RECEVAIT SUR LA PLANTE DES PIEDS PAR LE NERVI DE L'IMMAM QUI METTAIT UN ZÉLE PARTICULIER DANS LA TÂCHE .A VOUS FAIRE RAMPER UNE FOIS PASSÉ CE SALE QUART D'HEURE.
OUI ZOULIKHA,EN EFFET IL Y AVAIT AUSSI LE BONNET D'ÂNE MAIS JE NE ME RAPPELE PAS L'AVOIR VU A L'ÉCOLE PRIMAIRE DE GARCONS.DISONS QUE LES METHODES ETAIENT BEAUCOUP PLUS HARD DANS CES ETABLISSEMENTS.DANS LE CAS DE CETTE JEUNE FILLE LIVRÉE EN PATÛRE AUX MOQUERIES A L'EXTERIEUR DE L'ÉCOLE.TOUT LAISSE CROIRE QUE LES INSTITS PRENAIENT UN MALIN PLAISIR A INFLIGER PAREILLES HUMILIATIONS.MAIS BON IL FAUT CONTEXTUALISER,L'ÉPOQUE S'Y PRETAIT.
il s'agit d'un detail de l'histoire. je te salue chantal et on t'attend pour le premir mai