Aperçu historique du lycée
Il était une fois...Un beau lycée situé à Miliana...
Il s'agit de l'ancienne école primaire supérieure. De style néo-classique, cet édifice inauguré dès 1909, conserve d'une certaine façon sa fonction d'origine, bien que son état physique est plutôt mauvais. Dans les années 30, il comptait 400 élèves dont 200 en internat, ce qui faisait de lui, l'un des plus importants du pays (l'Algérie en comptait moins d'une dizaine).
En 1949 par exemple, la classe de première comptait 16 garçons et une fille dont Melle Noubia ZERROUKI qui pliait son voile blanc sitôt la porte du lycée franchie. Dans les années 50, deux professeurs musulmans figuraient dans l'effectif pédagogique à savoir Messieurs :
- LARBI Youcef, professeur de lettres arabes (également militant de la cause nationale, dès la première heure, puisqu'en 1954, il sera l'un des responsables FLN de la fédération de France.
- TADJINI Tahar, qui sera en même temps commissaire national des Boys Scouts Musulmans Algériens.
Le lycée formera une quantité innombrable de hauts cadres parmi eux les ministres: Sadek BATEL - Mourad MEDELCI - Ahmed ATTAF - Mustapha CHERIF - Mohamed LAIEB - Amar GHOUL et Ahmed BENSLIMANE. Des Walis, des Ambassadeurs, des Généraux, des Chercheurs, des Praticiens de très hauts rangs ainsi que des piliers de grandes sociétés étatiques (SONATRACH - DNC - SONACOME - EDIED...)
Pendant la période coloniale, citons également Edgar PISANI, Ministre de l'agriculture et René MOATTI, ex. Président du conseil de la ville de Paris.
Pour ce qui est de la lutte de libération nationale, le lycée sacrifiera sont lot de Chahid, puisque dès la grève de 1956 ordonnée par le FLN, les meilleurs élèves prendront le maquis et hélas ne reviendront pas. La plaque de marbre à l'entrée de l'établissement nous rappelle ces héros.
Cette imposante structure grise et austère barre côté Ouest, la rue Pasteur. Protégé par un balcon qui donne sur le bureau du proviseur, un large escalier de marbre nous conduit sur notre droite devant la porte de la conciergerie, à gauche le bureau du surveillant général. En franchissant une deuxième porte, un large corridor s'offre à nous. A gauche, la salle des professeurs ainsi que deux classes de Maths et Sciences. A droite, avant d'arriver au logement du surveillant général, un grand tableau d'affichage renseigne sur l'activité et les résultats sportifs scolaires. L'économat précède les classes de lettres coupées par un couloir qui donne sur les classes en préfabriqué (aujourd'hui disparues), cernant le terrain de basket-ball. Enfin, les réfectoires superbement faïencés et la grande cuisine terminent le rez de chaussée.
La partie basse accueille la chaudière, la buanderie, les douches pour internes d'un côté et de l'autre le magasin de vivres, la menuiserie ainsi que le vestiaire des ouvriers chargés de la maintenance. De chaque côté de la cour, des platanes tendent leurs bras vers le bleu du ciel ainsi qu'un mimosa garde les marches donnant sur le réfectoire. Le rectangle de cette cour en petite pente, habillé d'un revêtement en goudron s'arrête sur une petite porte d'accès extérieur, ainsi que d'un abri précédé d'un préau. Faut-il citer le recoin en bas de la cour, les toilettes avec sa cohorte d'apprentis.
A la récréation, les élèves profitaient d'un cadre naturel souvent ensoleillé, et d'un espace de liberté
Assurer la réussite du parcours de tous les élèves
Le réfectoire était pris d'assaut
Labo pour les filières scientifiques
Le dortoir, chaleureux et douillet
Le lycée avait ouvert ses portes aux professeurs étrangers. Une belle ouverture sur le monde, liée à la découverte de nouvelles cultures
Les maîtres d'internat encadraient les élèves avec efficacité
Mr Nour-Eddine FERROUKHI, Proviseur du lycée (70/73). Des exigences et un encadrement bienveillant...
A gauche, Mr.Randi, un homme au cœur tendre, l'un des piliers essentiels du lycée, un Surveillant Général exceptionnel, intègre et dévoué, viscéralement attaché à son établissement.
Eh bien, le lycée dynamique et enthousiaste, qui s'entraînait avec cœur, ne rêvait que d'une chose
* La Réussite*...
Commentaires (148)
Autant pour moi.
Tcham@tcham.fr
amarayadi454@ymail.com
Avec une bonne fête d'Aïd
Au plaisir de te revoir
J'en profite pour te souhaiter tous mes voeux pour la fete de l'aid el fitr
Amicalement
Heureux de te lire mon ami Hamdane et cela fait un bail.
On ne s'est plus revu depuis les années 60.
Je suis en relation constante avec notre ami Tcham Nourredine et il a même assisté aux retrouvailles au Lycée MF accompagné de son épouse .
Son mail: tcham@tcham.
Tu passeras le bonjour aux Menkouz, Zebbar,Mesloub, Melfouf,Bouzara, pour Aziz, on est en relation constante.
Je suis installé à Mostaganem depuis Sep 1973.
Mail: amarayadi454@ymail.com
Au plaisir de te revoir.
Bien amicalement
Il y a d'abord ce Touati Kouider que tu cites et qui était un ami de classe (et que je salue, s'il est en train de me lire, là où tu es) depuis le CEG de Khemis-Miliana. Un signe positif. Et d'un ! ce monsieur Cherchali était, évidement le surveillant général. C'est donc le second et dernier indice que tu es l'oiseau que je cherche, et qui, par un bon matin, s'est envolé pour son natal pour ne plus donner signe de vie. Et, me diriez-vous, pourquoi, toi, tu n'as pas donné signe de vie ?
Juste cinq mois environ,avant toi, un autre ami de classe que j'ai rencontré en été 2014 à Ain-Defla (rencontre ALMF) (commentaire 18) évoquait le même manque de prof qui nous était advenu comme le votre, d'ailleurs, et qui nous avait fait la connaissance de vous trois. C'est Abdelhamid Boutouchent. qui a même évoqué Monsieur Khaldi Mohammed,notre second prof de math en cette année. Je ne sais pas si vous êtes venus avant ou après lui ?
Trois mousquetaires venus du pays où il ne pleut pas. Toi, Letiem et un autre dont j'ai oublié le nom. Pour Letiem,bien après, il a travaillé à Ain-Defla et on s'est rencontré,furtivement, par deux fois. Je me rappelle du troisième qui s'est émerveillé, par un beau matin d'hiver,en découvrant la cour toute blanche de neige. C'était sa première occasion de voir l'eau en matière molle et blanche. Il s'était drôlement émerveillé en la pétrissant entre ses doigts en riant, ne sachant que dire, ni que faire.
Je suis LABDI Ahmed de Djendel, me reconnais-tu ? on s'était bien amusé et je pense que vous aviez pris de bons souvenirs du lycée, de Miliana et, même, de la région.
Kaid Youcef (commentaire 19) parlait le même jour, aussi de prof,en évoquant le russe Vladimir Kolesnikov qui serait notre premier prof de math en cette année 72/73. Faible en français,il nous languissait et il était parti,remplacé par Monsieur Khaldi Mohammed. Après plus de quatre mois, il était parti, lui aussi, à la fin de son service national. Nous eûmes, après, le vietnamien, avec qui, nous avions terminé l'année. Monsieur Aubain fut notre prof de physique.
Monsieur Zaouch manifestes-toi et si possible, donnes ton e-mail que le blog master aura la gentillesse de me transmettre. Idbal Demha.
De beaux souvenirs où le niveau d'éducation était un élite.
Les proviseurs qui se sont succedés au lycée Mustapha Ferroukhi depuis l'independance (dans les années 60
Mrs: Kasdali- Benhafaf- Belmosefai
Priere rectifier si je suis dans l'erreur .Merci
Bonsoir Aziz
Un ami commun, Tcham Nourredine Alias Nono voir photo, nous trois ( années 60 ) à la piscine de Miliana.
Je ne l'ai plus revu depuis juin 1963.
Il habite et vit à Toulouse depuis.
On a renoué dernièrement.
Je crois que vous oubliez l'essentiel des grosses pointures, en plumes libres et lettres utiles, et non commet valets du pouvoir, qui sont passées par ce lycée tels Hocine Ait Ahmed (1954), Bachir Rezzoug, Mohamed Magani, Mohamed Sari, Abed Charef et autres encore...
Leurs écrits fusent aujourd'hui comme des flèches à la vitesse d'une véritable fusée, tirées du haut de ce sanctuaire du Savoir.
Cordiales salutations.
Slemnia Bendaoud
Au cours d'un contact,elle m'avait bien dit que la vidéo en question est fin prête et qu'elle devrait la remettre à l'ALMF.
L'occasion ne s'est pas présentée pour cette remise.
Mais c’est Quand 'on aurait dû penser avant de l’écrire qu’il n’est point une paraphrase .
PERMETTEZ MOI DE VOUS AFFIRMER QUE J AI EU EN 6eme/ 1961/62 UN PROFESSEUR ALGÉRIEN D'ORIGINE MOZABITE QUI M AVAIT DISPENSE L ENSEIGNEMENT DU LATIN.UN AUTRE PROFESSEUR D ORIGINE ALGÉRIENNE M AVAIT ENSEIGNE LES SCIENCES NATURELLES QUI ÉTAIT EXCELLENT DANS SA PÉDAGOGIE D ENSEIGNER.
DE MÊME QU AVANT ABDELWAHAB IL Y AVAIT AUSSI UN SURVEILLANT GÉNÉRAL TRÈS AUTORITAIRE QUI S APPELAIT AISSAOUI ALORS QUE LE PROVISEUR DU LYCÉE ÉTAIT FRANÇAIS......C ÉTAIT EN 1961/62.
AVEC MES AMITIÉS
MOURAD Z
Effectivement ma classe était cette fameuse 6eme 3.Je me rappelle si bien du premier diner au lycée que c’était des omelettes .Elles étaient en outre si succulentes que j'en garde à ce jour en mémoire leurs gouts alors comment ne pas me rappeler des professeurs qui nous faisaient cours.
Tu vois l'Ancien sans le vouloir nous avons écrit à partir de nos coms un peu d'histoire de notre lycée.
Vous avez la mémoire des noms et des périodes même des années plus tard , je n'en ai pas cette capacité! Bravo!
Très bonne après-midi,
souvenez vous des profs francais mm bernier deligeon cusenier raoul
aubin meriou douet plantif brice baudry boquillon lemane richard merlet buyle
les profs orientaux rafat kalaadji abou ghliba kadem
le russe valdimir kolesnikov le canadien denis rodrigue le pakistanais mohamed sardarkhan le belge procysine les anglais goodleaf nicolas et barbara thumble
kaid youcef m hamed
TRES BONNE FETE DE L AID EL KEBIR.
EN CES JOURS Où LES MUSULMANS A TRAVERS LE MONDE CELEBRENT LA
FETE DU SACRIFICE , L AID EL ADHA, EN COMMEMORATION DU GESTE
D IBRAHIM ( ALEIHI ESSALEM) JE TIENS A VOUS ADRESSER MES SINCERES
VOEUX DE SANTE ET DE BONHEUR POUR VOUS ET VOS FAMILLES RESPECTIVES ET CE, DEPUIS LA MOSQUEE ( MALAVAL) DE MARSEILLE.
JE ME REJOUIS AUSSI , EN CE MOMENT SACRE, QUE BEAUCOUP DE CROYANTS MUSULMANS CHRETIENS ET JUIFS EN FRANCE PEUVENT UNIR LEURS EFFORTS POUR SERVIR LA PAIX ET LA JUSTICE ALORS QUE D AUTRES, AU CONTRAIRE, REPANDENT LA VIOLENCE ET LA GUERRE.
IL EST MALHEUREUSEMENT DEPLORABLE D EVOQUER TOUT RECEMMENT
LE DRAME DE LAMPEDUSA AVEC SES MIGRANTS NAUFRAGES QUI ONT
PERI AU LARGE DES COTES ITALIENNES ET ESPAGNOLES. ET RIEN N A ETE FAIT POUR SONNER LA REVOLTE DES CONSCIENCES NI A METTRE EN
MARCHE LA MACHINE MEDIATIQUE EN DEPIT D UN BILAN DE PLUS DE
25 000 MORTS DURANT VOILA 20 ANS . QUE FAIRE POUR ARRETER CE MASSACRE !!!
JE PRIE MON DIEU LE SUPREME LE CREATEUR DE NOUS ACCORDER SON
AIDE AFIN QUE NOUS SACHIONS ENSEMBLE PRENDRE DES INITIATIVES QUI
FERONT RECULER LA PEUR ET LE MAL EN NOUS MONTRANT SOLIDAIRES
DES PEUPLES AUSSI QUI SONT SUR LE JUSTE CHEMIN ET ACQUERIR AINSI
LEUR DIGNITE ET LEUR LIBERTE.
QUE DIEU LE TOUT PUISSANT PUISSE CONVERTIR NOS COEURS EN FAISANT DE NOUS LES UNS LES AUTRES DES ARTISANS DE LA PAIX DE LA JUSTICE ET L AMOUR DU PROCHAIN A TRAVERS LE MONDE INCHALLAH AMINE.
BONNE FETE....A TOUT LE MONDE
Peut être qu'un jour favorable viendra et je pense que le 28/09/2013 est tout propice incha Allah pour qu'on puisse se rencontrer une fois encore et se dire qu'on était vraiment copain .Je pourrai te dire le "pourquoi" de mon mécontentement envers toi.Sous toute réserve que tu sois vraiment D.M dit Hamid que j'ai connu comme AMI.
Amicalement .
Pas trop de gras et pas trop de sucre.
amitié
Voila ce qu'ecrivait en Fevrier 1978, Ferhat ABBAS (Premier President du GPRA, donc de l'Algerie) sur Mustapha FERROUKHI, dans son remarquable livre, en page 281 : ''Autopsie d'une Guerre'' publie chez Alger-Livres Editions, un livre a lire absolument, et des deux cotes de la rive.
''Malheureusement, un tragique evenement nous endeuilla: la mort accidentelle de Ferroukhi Mustapha que nous venions de designer comme ambassadeur a Pekin. L'avion sovietique qui le transportait avec toute sa famille disparu corps et biens. Mustapha Ferroukhi, ancien delegue a l'Assemblee Algerienne, etait originaire de Miliana. Il etait la courtoisie meme. Actif, attachant, respectueux, il ne comptait que des amis. Il fut regrette de tous. Il repose aujourd'hui en terre tunisienne. De toute sa familla, seule une fillette, restee en Algerie, demeure.
Que Dieu repose leur ame et que ces deux grands hommes de l'Algerie independante trouve l'expression de notre eternelle reconnaissance et gratitude.
Je fais un gros coucou pour les élèves de 1984 à 1986
Aux retrouvailles, si Dieu le veux.
A bientôt !
Tu sais les retrouvailles m'ont laissé à refleurir mes souvenirs et je me suis trouvé revenir à mon age de mes treize ans .Et depuis j'ai commencé à chanter sur un air de mon temps de mes plus beaux jours passés "souvenirs ,souvenirs" afin de me rappeler de ce bon vieux temps de nos années lycée.
A chaque mot sifflé en l'air comme un gavroche je m'en souvenais de toi ,de tes débuts dans la cour ,comme de moi qu'on était les plus timides toi dans un coin et moi à te regarder qu'on portait la même blouse grise de nos années 60.
Le refrain de la chanson m'a fait creuser la mémoire à ce temps où tu ne t'appelais pas "Ahmed "mais un nom que j'ai appris par cœur par le temps venu de ce village entre Duperré et Orleansville.
Comme toi, on était indigène mais le mot n'indiquait nullement pauvreté ou misère .Pauvres nous l’étions tous à cette époque on se rappelle et on pourrait l'oublier.C'est avec fierté qu'on évoque cette période de vie et fier d'appartenir à cette génération .
Ahmed il faut que je le dise ,nous n'avions emporté dans le fond de nos poches que le sourire de nos copains comme souvenir mais cela n'a pas suffit pas après tant d'année.
A ce jour de fête organisé de ce 1er Mai de l'année dernière, on a pensé te rencontrer après tant d'années comme tous les vieux copains raconter les joies de nos belles saisons .
Des amis à toi comme à moi m'ont prié de ne pas t'oublier sur la liste des copains d'avant je me suis donné trop de peine pour écrire ton nom avec les initiales:D.M et je peux te dire que j'ai ajouté le H .
Tu vois "Ahmed" que les copains d'antan ne s'oublient pas facilement et qu'il ne suffit que d'un rien pour être heureux sans avoir un col en l'air ou un nœud de cravate pour être dans une fête comme certains le pensent .
la branche econometrie et statistique annee 1992
si vous lisiez ce message veuillez me contacter ;jai quelque chose qui
vous appatient cest urgent merci
ABDI Abdelkader
Mr Kaid youcef M'hamed
Mr Kaid youcef M'hamed
Concernant les périodes de succession des Proviseurs du Lycée Mustapha Ferroukhi:
Mr KASDALI : 1962-1963
Mr BENMOUSSA : 1966-1967
Mr MOSTEFAI : 1967- 1968
SALUTATIONS.
M. R
Merci et Saha f'tourkoum
JE RELEVE QUE LA LISTE DES ANCIENS PROVISEURS DU LYCEE MUSTAPHA FERROUKHI COMPORTE DEUX OMMISSIONS. IL S'AGIT DE :
MR BENHAFFAF QUE J'AI DEJA SIGNALE,
ET MR MOSTEFAI.
SALUTATIONS.
M. R
Prière de compléter et corriger les deux listes des proviseurs " Med ABDOU et M.FERROUKHI sur la page d'accueil.
Le premier proviseur du Lycee Mustapha ferroukhi était Mr KASDALI (année scolaire 1962-1963. J"ignore s"il a un lien avec MME KASDALI premiere Proviseur du Lycee ABDOU.
Il y avait eu également Mr BENHAFFAF dont j"ignore la période.
Salutations et Bon Ramadhan.
M. R
au 1er salut
grace à benmira j'ai pu voir si mohamed, l'année derniere et j'espère le revoir cette fois encore -avec tous les anciens -grace à l'hospitalité et à l'initiative du blog .bravo à tous.
Qui se souvient de la chorale du lycée ( 1968 - 69 ) créée et dirigée par Mr Landjerit et composée de Mrs Mefti , Bedjaoui , Rebzani et si mes souvenirs sont bons Mrs Hakem , Bensalah Aek ,Ferroukhi Mahfoud .......... et moi-meme
Amicalement. ATTABI
quelle belle initiative dans l'impatience d'attendre ce jour , je tiens du fond du coeur a remercier ceux qui ont lancé cette opération.
40 ans déjà que j'ai quitté les bancs de cet imposant lycée ou se sont croisés des gens de culture et d'horizons divers .
La recherche du savoir et de la connaissance furent un stimulant trés fort pour chacun de nous ,elle a permis par la même de se connaitre et d'élargir nos horizons.
Merci pour miliana et ses gens et merci pour ceux qui ont oeuvré pour permettre de garder le contact avec la communauté du lycée mustapha Ferroukhi.
Il y a des rescapés plus âgé que toi.
Celà fait un bail depuis la fameuse soirée à Oran ( Décembre 1971)avec Boumaza Med, je crois qu'on ne s'est plus revu.
Amicalement
Amar AYADI
c kamel cherchali
le lycée mustapha ferroukhi a marqué toute ma vie...
est - ce qu'il ya des rescapés de mon age?
si oui, on se verra sans se reconnaitre ( probablement) le 1er mai prochain.
amities
kamal
Salut,
Ma patience a eu raison du temps. Cela me rappelle à moi comme à tous les anciens qui ont eu ce privilège de dévorer ces illustrés d'un temps passé entre les mains. Ils nous rappellent notre patience pour un autre B.D qui suivra et nous donnera la suite de cette fin qui n'a pas de fin. Et de ces personnages en images, il y avait ces apaches qui suivaient une trace même sur les rocs .Ils étaient doués pour le faire, et leur proie fut toujours trouvé malgré le temps .
Ces apaches là avaient une patience dans leurs recherches qu'ils suivaient minutieusement. J'ai pris exemple, et mes recherches ces jours ci ont bien abouti à un résultat. Maintenant, je peux lire un de vos commentaires en sachant le nom du copain que je connaissais de ce temps évoqué.
C’est exact, comme vous le dites toujours la misère avait bien fait refuge dans nos poches au cours de nos années lycée..
Commentaires des 12 et 21.01.2012.
Ahmed ???????????????
Amicalement
Amar AYADI
DE NOTRE EPOQUE EN INTERNAT ET DES SOUVENIRS QUI FONT FREMIR CEUX QUI ONT PASSE LA MOITIE DE LEUR JEUNESSE ENTRE CES QUATRES MURS.JE FELICITE AUSSI LA PERSONNE QUI A CREE CE SITE DE TOUT MON COEUR .VOS ARTICLES DE L EPOQUE SONT UNE REALITE SANS COMMENTAIRE M.BRADAI.
Content de te lire encore une fois Ahmed. Le problème qui me préoccupe en lisant les deux syllabes de ton prenom ou pseudo c’est que je n’arrive toujours pas à situer ton nom .Dans le cas ou tu veux garder l’anonymat oriente nous au moins vers le lieu de ton village. Pour la vie de lycée elle est faite ainsi, une gifle par ci, une autre par là d’un jour et tout s’oublie au jour du lendemain.Une fois ,un éleve à reçu une gifle si bien qu’il ne savait plus ou il était .sur terre ou ailleurs. IL se dirigea d’abord aux escaliers croyant que c’est le bon chemin,puis vira de direction vers la salle de cours d’une autre classe et ce n’est que qulques minutes plus tard qu’il trouva ses esprits. Celui à qui il lui doit les mille chandelles est devenu par la suite son meilleur ami et un collègue de travail.Pour tedire ils sont amis à ce jour et combien de fois une partie de belote ou de dominos les a reuni.Cette vie de lycée on ne se lassera jamais de la conter .Elle est pour nous comme le conte des mille et une nuit qu’on essaie maintenant d’ouvrir ses pages pour nous rappeler de ce temps qu’on ne peut oublier.
Si tu figurais parmi notre entourage tu dois te souvenir comment qu’on pigeonnait les petits bourgeois aux poches pleines de jolis sous le feuillage du mimosa cachant notre lieu de brigands aux yeux des maitres d’internat. Le soir ,au dortoir à l’extinction des lumières sous une fenêtre la lune nous aidait à compléter notre partie de jeu pour une place bien méritée au cinéma le Splendide ou Variétés.On avait bien des poches comme tout le monde ,mais bien vides et cette astuce faisait notre joie de les remplir pour se sentir heureux comme tout le monde un dimanche soir.
J’espere que tu m’en diras une de ta part . On attend çà de toi.
Comme vous le rappelez à juste titre: On chasse le naturel,il revient au galop.
Je ne pense pas que ce soit dans la nature de votre fonction de l'époque, de reproduire sur d'autres"victimes" vos propres frustrations...
Je ne t'ai pas connu pion mais compagnon de ''miseres'' ou bien encore interne. Tu etais souvent avec Tcham Nono. Quand j'etais encore au Lycée, Randy n'etait pas la, il est venu bien aprres et tu te souviens je suis parti avec d'autres au Lycée El ;okrani pour faire ma terminale et bien sur le bac. Des claques, on en a tous reçu meme que certains d'entre nous étions abonnés ! J'ai bien reçu to e-mail et t'en remercie beaucoup, je te répondrai un peu plus tard. Tu es donc a Mosta, dans l'enseignement ? je suis à Amsterdam et le froid me paralyse, je n'arriverai jamais à m'y habituer.
Je ne souviens pas de toi.
Ma gifle aura fait son effet.
On chasse le naturel il revient au galop.
J'ai reçu des gifles alors que j'étais élève,et je n'en veux à personne.
Je ne regrette rien si ce n'est que je ne faisais que mon travail, heureusement pour moi, tout le monde ne m'en veux pas.
Si ma foi celà te dit tu peux faire le déplacement à Mostaganem et je te tendrai volontier ma joue si celà peut te consoler.
je te chanterai non rien de rien non je ne regrette rien pour mettre plus de piquant.
Soyons sérieux.
Amicalement
Amar AYADI
Amicalement.
Amar AYADI
un idee m'est venu j'ai tapez miliana et c'est la surprise .c'est de mon lycée
que ça parle. je ne sais pas si vous rappeler de monsieur plantif prof de math
Je me souviens fort bien de ce cher prof de math KOJEVNIKOV et de sa femme KOJEVNIKOVA. en prof de sciences que la fatalité nous a mis dans leur chemin et s'il vous note 0,5 dans une remise de compo de math estimez vous heureux d'avoir atteint le plafond.Une fois le chef de classe(il s'appelait Bouzidi )en allant deposer le cahier de classe sur son bureau s'est levé sans y etre autorisé.Alors ,KOJEVNIKOV fou furieux l'attrapa et lui cria BOUZID!!!POURQUOI MARCHER SUR CLASSE?.
Il lui a beau expliqué le rôle d'un chef de classe ,il n'a rien voulu comprendre et ce chef de classe a bien paye lourdement sa faute.
Tout ça ,nous est resté souvenir qu'on ne peut effacer facilement et qu'on évoque pour se dire qu'on etait aussi élèves dans un lycée qui nous a reuni dans la joie et la peine.
Ahmed ,j'ai lu tes souvenirs que tu as écrit quelque part.
cher ami ca m a fait plaisir de te retrouver.j esperes que tout va bien pour le mieux pour toi et ta famille.mon numero de tel 031666101///0778089283 a bientot
Enfin ! Tu as tardé à retrouver ce chemin de lycée.
Il en manque tant comme toi,j'espère que le temps nous donnera encore l'occasion de nous rapprocher et évoquer ce lointain passe entre nous par nos écrits.
AUJOURDHUI IL NE ME RESTE QUE DES MOTS LES TEMPS ONT DEPUIS BEAUCOUP CHANGE
JE VOUDRAIS TANT REVIVRE CES BELLES ANNEES DE MA VIE ET ME REPLONGER DANS CETTE ATMOSPHERE SCOLAIRE ET CETTE CHAUDE CAMARADERIEDU LYCEE MALGRE LES DURES EPREUVES DE L EPOQUE.
JE VOUDRAIS REVOIR UN JOUR JE LE SOUHAITE VIVEMENT QUELQUES UNS DE MES CAMARADES COMME CHELFI MUSTAPHA
HADJ HALIM BOUALEM
AMROUCHE DJAMEL
HENNI MOHAMED
AIT ALI AMAR
TAKHRIST BENYOUCEF
LANDJERIT
BENGUERINE HAMID ET FODHIL
QUE DIEU LE TOUT PUISSANT PUISSE LES ASSURER DE SA BENEDICTION AINSI QUE LEURS FAMILLES
RESPECTIVES.
MOURAD ZOUAOUI MARSEILLE
J’ai quitté le lycée en Juin 1974 après 7 ans comme interne. J'ai conservé beaucoup de traces de cette époque et en dépit du temps qui a passé, je ne peux cependant oublier ces moments mais hélas, il y avait aussi en parallèle beaucoup de blessures et d’injustices. Durant toute cette longue période j’ai voulu me libérer de la colère que mon cœur renfermait sans y parvenir , et voilà, je saisi cette occasion qui m’est offerte en cette fin du mois sacré de Ramadhan de pardonner à ceux qui ont été injustes envers moi et envers beaucoup d’autres camarades venus de coins modestes.
Cette gifle en plein visage reçue de Mr Ayadi « Pion » en 1967 résonne tjrs dans mon oreille gauche, lui qui aimait en donner et s’appliquer avec toutes ses forces. Agé de 12 ans, j’avais juré de la lui rendre un jour.
Je m’abstiens de parler de responsables qui ne font plus partie de ce monde.
Bref, je voudrai juste corriger un témoignage qui me parait nécessaire rapporté par Midjou du 16/05/2010. Le récit en question ne concerne pas le prof d'anglais Goodlife (mon prof en classe de 3ème) mais un autre prof d’anglais qui
s’appelle Mr Knowles (et dont j’ai été son élève), originaire de la ville de Durham
D’Angleterre.
Je reprends textuellement ses dires puisque j’en suis témoin. Ce jeune Anglais sans emploi feuilletait un journal londonien, il aperçoit une offre d’emploi en Algerie,il accomplira toutes les démarches et fut accepté. Il annonce cette nouvelle à sa famille et ses amis qui essayèrent de le dissuader de cette mission (vous allez en Afrique, pays des nègres, ils vont te bouffer etc…) mais en vain.
Le reste sans changement Mr Midjou
. A son atterrissage à Alger, il n'avait pas cru ses yeux, une capitale qui n'a rien à envier à celles de l'occident, sa blancheur, sa baie etc...et point de gorilles, ni de guépards.
A Miliana, émerveillé, il se plaisait tellement qu'il a été raconter lui même cette histoire à ses élèves.
BEDRANI ABDELKADER 1967-1974
et à ne compter sur personne.Arrivé au lycée en 09.1965.Jai connu des bas et des hauts et gràce à mes camarades que j ai connu ce que veut dire la vie et l avenir et la reussite dans la vie .C est là que j ai bossé et travaillé Dieu Merci j ai reussi dans ma vie avec sincerité et honneteté en devenant un CADRE. JE PASSE LE BONJOUR A TOUS LES ELEVES INTERNES ET EXTERNES ET TOUS LES PROFS. ET MAITRES D INTERNAT ET EXTERNAT . Il y a lieu de lire dans cette méme rubrique datée du 07.06.2010 à 20h32 MERCI.
Je te remercie pour m'avoir répondu pour les frères Idaikra ainsi que pour les Boucebci dont l'un est dcd ( puisque vous le dites ,on les a tous connus Ahmed rabi yarhmou bi rahmatih)si tu te rappelles ceux du littoral(gouraya cherchel damous ) avaient bien leur place à eux dans cette cour .
Merci aussi Ahmed de m'avoir remis sur les rails de ce passe qui nous a réuni sur une même table du réfectoire et qu'un goutter de deux tranches de pain et un morceau de chocolat nous consolait jusqu'au diner et que parfois ma mémoire confond entre blanc et crème que j'ai pris MR Randi comme joueur alors qu'il faisait arbitre on était tellement attire par cette magnifique ambiance qui régnait dans cette cour que tout le monde était pour nous joueur.
Ahmed peut être as tu reçu une mauvaise information concernant AYADI .d'apres un contact que j'ai reçu de lui AMAR AYADI est toujours en vie .Et
J'ai bien voulu connaitre ton nom de famille par le biais d'un e mail que je t'ai adressé mais je n'ai point reçu de réponse .limamaza@live. fr
Ahmed ,on était tous des indigènes avant l'indépendance puis ce mot a bien disparu du lexique algérien après notre souveraineté mais si tu l'emploi comme INDIGENCE je te comprend et on était presque tous dans le même sac .
je te remercie encore une fois Ahmed de m'avoir passé ce bonjour en souvenir de ce passé.
Ce bonjour qui a stagné 42 ans et qui a tant tardé a vous parvenir J'espère qu'il le sera dans les prochains jours.
Oui, je me souviens bien de Vous AYADI(un nom courant à cette époque ) Fodil de gouraya Benaida de djendel Gaidide de voltaire(un parent à moi)et bien d'autres comme Maitres d'internat ou le mot plus courantpour vous était PION...
Si je me souviens bien on a bien fait une partie de chasse ensemble avec la famille Gaidi cette R4 dans les champs avec un retour bredouille.
Au Lycée c'était ces parties de foot au beau milieu de la cour entre élèves et M.d'internat MR Randi S.G faisait partie de votre équipe vous étiez tellement hais qu'aucun élève ne vous supportait si bien que vous ne gagniez aucune partie.
Oui votre tenue était la même une veste en cuir noir (elle était à la mode à l'époque)un djean de même que Taieb Gaidi
Fodil lui n'optait que pour la veste c'était un assoiffé de romans(série noire).
Je me souviens aussi de cette gifle qu'a reçu Mihabi un élève de la seconde c'était un Dimanche soir juste après la sortie du réfectoire il y a eu ce chahut maintenant je peux le le dire on était quatre à l'avoir commence par un chuchotement puis çà a pris de l'ampleur on était inconscient de ce que nous avons fait.
On scandait à pleine voie le nom d'un président renversé dans un moment d'etat d'urgence .L'arrivée du S.G ABDELAWAHAB OU ABDELAOUI (je confonds entre ces deux noms)mit fin à ce vacarne il se plaça là au bon milieu de cette porte de la cour à nous regarder et les clameurs se sont tus
comme on dégonfle un ballon.
Et vous dans un moment de colère après nous nous avoir ordonné de nous mettre en rang pour monter aux dortoirs le premier qui vous ai tombé sous la main c'était ce pauvre Mihabi le plus tranquille
Amar je crois que les souvenirs d'un lycée ne finissent jamais il y a tant et tant à dire et à raconter.
C'est par un contact reçu de vous que j'essaie de vous joindre par le biais de notre LYCEE M.FERROUKHI
Un élève qui raconte une époque à son Maitre d'internat.
Le bonjour à tous qui ont frequenté le Lycée de Ferroukhi de MILIANA
Le nom de Goodlife, prof d'anglais me rappelle bien une anec rapportée par un élève de sa classe. Désigné pour prendre service en Algérie, pays situé en afrique, Le Mr craintif par la vision qu'il avait sur la jungle et ses prédateurs, il est allé vite s'acheter un poignard pour se prémunir de tout danger. A son attérissage à Alger, il n'avait pas cru ses yeux, une capitale qui n'a rien à envier à celles de l'occident, sa blancheur, sa baie etc...et point de gorilles, ni de guepards.
A Miliana, émerveillé,il se plaisait tellement qu'il a été raconter lui même cette histoire à ses élèves. Hasta Luego
Que vous fermiez les yeux juste le temps de voir decouler devant vous ces années inoubliables de votre vie,et que dans votre émotion le reve devient réalité .
Le Sur.G ABDELWAHAB est là à vous attendre pour rentrer en classe.Fini la pause. A bientot chers amis.
En lisant votre exposé ma vue s'est arrètée sur le nom de Mr Bayon le prof de sciences avec son inseparable tablier blanc.Il a été aussi notre Prof et quand il veut passer quelqu'un au tableau ou le questionner il avait sa maniere propre à lui à vous couper le souffle.Il prend sa liste et commence :
nous allons entendre.... monsieur....,et c'est l'interminable attente du nom de celui qui va au bucher.Dans cette salle d'amphi-theatre ou nous faisions cours et qui servait le jeudi soir pour la projection de films que Mr Cervera aimait tant à nous les faire voir pour seulement 0,50cts; nous passions dans cette salle l'heure du supplice avec ce prof qui a su nous inculquer le comment du savoir .
La cour vous fera vivre ces inoubliables rencontres de ballon et MR M.RANDI ne me dira pas le contraire parce qu'il figurait parmi le lot des joueurs .Pour les jeunes de ce temps ils se rappelleront ce jeu qui consistait à faire passer la piéce de monnaie (douro)d'une partie du banc à l'autre du banc c'était le passe temps favori des jeunes internes.De MR Landjrit j'ai toujours en memoire cette chansonnette "koum tara dara him ellouz..."
Il y a eu un evenement que tout interne de cette époque se rappelle fort bien.
C'était un Dimanche au soir juste àpres le diner ,on attendait pour aller aux dortoirs .On était un petit groupe assis au coin et je ne sais comment on a commence à murmurer
YAHIA BEN BELLA entre nous (Boumediene avait pris le pouvoir).
Ce murmure de voix a pris une autre tournure maintenant c'est toute la cour qui scandait Yahia Ben bella:
on nous entendait du dehors .
Celà,continua jusqu'à l'arrivée du Surveillant General (T.B)avec tout le respect qu'on lui doit.
Il n'alla pas par 36 chemins,il se pointa là bien droit les bras croisés devant la porte de la cour et nous regarda de son oeil perçant.
les clameurs se sont tues comme le souffle d'un ballon qu'on dégonflé.
Ce sont les petits qui ont débraye et c'est les grands qui ont payé.
On oubliera pas aussi ces projections de films de Mr CERVERA LE PROF d'Espagnol
comme interne j'ai frequente ce Lycée 64/69. Mes amities à tous ces éleves qui ont fréquente ce Lycée et un hommage pour ceux qui ne sont plus de ce monde.
Bradai m le 09/05/201
Abdou, vous me faites rappeler Bencherchali (prof d'histoire-géo) je l'ai eu comme prof en 2eAS à Abdou, il est mort en 79/80, si ma mémoire est fraîche.
Soyez en fier. MERCI
Blida Le 01 Mars 2010
Se Rappelle,
Je fus chargé d’une lourde mission par Mr le directeur de l’éducation et de la culture de la Wilaya de Chlef ,Mr Nacef (que Dieu lui prête longue vie), pour assurer une rentrée scolaire qui s’annonçait très, très pénible (1971-1972). J’avais certes,une équipe des plus compétentes et des plus dévouées, à commencer par Mr Abdessamed Mustapha le gesionnaire , les deux surveillents généraux ,Mr Randi et Mr Sahi Mokhtar (Allah Yarhamou) ,l’agent chef Si Allaoua tres dynamique , originaire de Bougie, et toute l’équipe administrative et les professeurs venus de tous les horizons sans oublier le secrétariat à la tête duquel de trouvait l’un des plus compétant des secrétaires que l’Algérie ait connu Mr Riou qui vit à Miliana et dont je n’ai pas de nouvelles.
L’année scolaire 71-72 a connu une poussée exceptionnelle de scolarisation, nous devions recevoir plus de 1500 élèves pour un établissement conçu pour un maximum de 300 élèves dont plus de la moitié internes , venus de tous les environs de Miliana et même de très loin ( Djendel, Bou Medfaa, Hammam Righa,Théniet El Had, Barrage Ghrib, Ain Defla, Cherchell, Gouraya, Damous ,Carnot, Zeddine, El attaf, Chlef, Kherba, Rouina……)
Nous avions 4 dortoirs celui à l’intérieur de l’établissement (300 places) l’ancienne église 150, l’ancienne poste autant, le dortoir Nord 200places soit un total de plus 750 internes.
Pour les repas c’était la même difficulté un grand réfectoire, un autre plus petit et qui servait de salle de permanence après nettoyage, une sale de classe, et un petit réfectoire pour les profs et les maîtres et bien sur pour finir le couloir.
Les sales de classes se trouvaient à l’intérieur de l’établissement et deux annexes l’une au Nord en dur et une au Sud en Préfabriqué pour le premier cycle (6em, 5em, 4em, 3em.)
Les élèves étaient d’une discipline exemplaire ce qui facilita grandement notre tache je les en remercie.
La responsabilité était grande et La vigilance était de rigueur.
1/Je me rappelle
Une nuit j’ai eu l’intuition que je devais aller visiter un dortoir, et en effet en arrivant j’ai trouvé les internes très animés et qui portaient de l’eau dans leurs petites mains et couraient du lavabo au dortoir plusieurs fois …
Qu’est-ce qui se passe ?!!! Ou est le maître ?!! Demandai-je Personne ne répond, ils étaient tous paniqués, je cours vers le dortoir, je trouve un matelas en flamme, un élève s’était endormi et a laissé tomber sa cigarette sur le matelas de son camarade absent et le maître était dans un autre dortoir avec son collègue.
Je prends tout de suite l’initiative et demande à deux élèves de prendre le matelas chacun d’un bout et de me suivre, je leur demande alors de le jeter dans la cour pour le laisser finir de brûler et tout rentra dans l’ordre.
2/Je me rappelle aussi ,
Avoir mis à la disposition des élèves une boite aux lettres dans la cour, pour les mettre à l’aise et leur permettre de se confier anonymement et apporter des remarques et des suggestions, concernant surtout leurs problèmes et leur séjour à l’intérieur de l’établissement.
Je reconnais que leurs lettres étaient d’une perspicacité étonnante, ce qui m’a beaucoup aidé à apporter de l’amélioration à la gestion des problèmes.
Mais voila qu’un petit malin, me suggère de cesser de faire mes rondes inopinées et de rester tranquillement dans mon bureau…« Assez me dit-il d’être partout …»que Dieu lui pardonne.
Le soir même arriva l’incident que j’avais rapporté concernant le matelas qui brûla dans le dortoir, imaginez les dégâts, si je n’avais fait ma ronde et si j’avais suivi les conseils de notre ami inconnu.
(S’il se reconnaît, je lui pardonne et lui demande juste de me dire ce qu’il est devenu et surtout s’il a pris une responsabilité autre que familiale).
Je me rappelle aussi
3/ Je me rappelle aussi
Une tradition était suivi dans l’établissement, chaque jeudi soir une projection de film était organisée, pour les internes qui ne pouvaient aller chez eux et restaient à l’Internat.
J’ai alors pris l’habitude d’allais moi-même choisir à Alger le film à la cinémathèque.
Mais la salle de projection n’était autre que le grand réfectoire et l’appareil était installé à l’arrière et faisait un boucan de bruit extraordinaire ce qui faisait perdre tout le charme du film. Alors j’ai suggéré à l’intendant, Mr Abdessamed de faire faire une petite ouverture dans le mur du petit réfectoire attenant, ce qui fut fait, et très proprement.
Lorsque nous fîmes la projection de la salle d’à coté, la sonorisation était parfaite et de satisfaction, Mr Abdessamed me dit à l’oreille : « Ce n’état qu’un trou mais il fallait y penser » Nous rimes un bon moment et à chaque suggestion d’une solution il me redisait la formule magique « Ce n’état qu’un trou mais il fallait y penser ». Il vrai que pour améliorer la vie de chacun, il suffit de très peu de chose. Ainsi nous le remarquons avec la création de ce site qui nous rapproche et améliore notre quotidien .Merci Nora.
Merci Fawzi pour tes belles paroles, bon courage, porte toi bien et à bientôt.
4°/ Je me rappelle aussi
lorsque nous avions reçu les instruction d’arabiser 1/3 des classes en 1972, et qu’il fallait choisir les meilleurs dans toutes les matières ; Un «élève »qui est actuellement Directeur de C.E.M. à Blida, m’a rappelé une anecdote de cette période. Il est venu dans mon bureau pour me dire « Mr le proviseur pourquoi vous m’avez jeté dans une classe arabisé je suis très bon dans toutes les matières « je lui est répondu, et c’est lui qui me le rappelle,«Mon fils, lui dis-je, nous, on ne jette pas, nous nous Orientons et appliquons des directives ».
5°/ Je me rappelle
tout au début de la rentrée scolaire, arriva une fête et un grand nombre d’élèves sont partis sans autorisation préalable, profitant de la structure de l’établissement éparpillé dans toute la ville ,des classes au nord et au sud ,des dortoirs en ville (ancienne église ,ancienne poste, et celui récemment bâti à Ain Boutectoun.,alors dis–je ils ont pris la clef des champs et sont parti , l’établissement n’était guère une prison ,bien au contraire mais la responsabilité était encore d’autant plus grande .
le soir voyant le réfectoire à moitié vide,(un gâchis pour les plats non servis ) j’ai alors posé la question aux surveillants généraux. Ils me répondirent que les élèves étaient parti chez eux. Bien dis-je vous les avez autorisé sans ma consulter. Non me répondirent-ils .Ils sont parti de leur propre initiative.
Alors cela change tout leur dis-je ,s’ils leur arrivent malheur, vous savez ce qui nous attend tous ?
Je leur avais demandé de finir le mouvement et de me rejoindre dans mon bureau et aussitôt arrivés je leur dicte le texte d’un télégramme à envoyer à tous les parents des absents.«Votre fils …(le prénom).. stop Parti sans autorisation stop ne sera repris qu’en votre présence stop et fin. »la date et la signature du CE.
Les surveillants Généraux passèrent une bonne parti de la nuit à dicter le texte à la téléphoniste.
Les vacances finis les élèves n’ayant pas pris au sérieux le télégramme se présentèrent au lycée comme si de rien n’était mais les instruction étaient formelles : « n’autoriser personne , s’il ne se présente avec son parent.
Le soir venu beaucoup pensèrent pouvoir mettre l’administration dans l’embarras et l’obliger à céder, mais rien de cela et malgré l’intervention de l’association des parents d’élèves et des autorités de la ville . J’ai argumenté dans le sens de la responsabilité et leur avait dit : Mon établissement n’est Pas une Prison mais Il n’est pas non plus un établissement de villégiature et ma responsabilité et celle de mes adjoints n’a pas de limite, alors ces élèves sont partis sans autorisation, ne sont pas mes élèves et ils ne redeviendront de nouveau nos élèves que lorsque tous les parents viennent les réinscrire …..
Et depuis le lycée est devenu une véritable famille, les élèves, à chaque congé venaient négocier leur sorti , qui pour des problème se transport ,qui pour d’autres motifs que je jugeais valable et nos effectifs dans les réfectoires,dans nos classe et dans nos dortoirs ont pris un visage de sérieux.
Le lycée est devenu alors pour tous un véritable Chez Soi.
6°/ Je me rappelle aussi
Un jour ,je pense, au début du 2em trimestre,de ma première année,car je venais de finir de mettre l’établissement sur rail,le Directeur de l’Education se présenta à la porte de l’établissement et je suis descendu l’accueillir et nous sommes montés dans mon bureau. Une fois à l’intérieur,il me posa une question que je n’arrivais pas à comprendre, était-il sérieux ou voulait-il juste me taquiner un peu « Ou sont les élèves me demanda-t-il ? », « Ils sont en classe lui répondis-je , Non… me dit-il ,Si lui répondis-je », et je lui demande alors de m’accompagner pour lui faire constater de visu que c’est la vérité. Ce qu’il fit aussitôt et en revenant il me félicita car il avait connu avant ,un établissement bouillonnant et grouillant suite aux effectifs et par manque d’infrastructure et d’organisation, et je ne dis pas cela pour me vanter car il n’est pas donné à tout le monde de trouver les bonnes solutions au vrai problème posé et au bon moment .(Les anciens élèves peuvent se rappeler l’ordre qui fut apporté ne serait-ce qu’aux armoires dans les dortoirs ,et dans les études, pour éviter les déplacements inutiles etc......
Merci à tous mes anciens élèves de m’avoir facilité la tache , par Leur discipline exemplaire, et Leur sérieux et leur assiduité inégalables .
Visitez ma page d’accueil et mes albums dans «Copains d’avant.com» (Copains d'avant - photos de classe et retrouvailles d'anciens élèves. Retrouvez un copain d'avant perdu de vue.
J’ai fréquenté le lycée durant la période 1967-1974 comme interne. Je faisais partie de l’équipe de Foot dirigé par un grand prof d’EPS nommé Mr landjerit. Nous sommes toujours en contact.
Je voulais juste dire que je suis marqué et je suis devenu d’ailleurs un mordu de la chanson Andalouse grâce aux répétitions du groupe de la chorale lycée M. Ferroukhi-Med Abdou entre 17h30 et 19 h dirigé par Si Med Landjerit.
C’était merveilleux. Les temps ont depuis beaucoup changé.
je profite pour souhaiter une bonne et heureuse année à tous les gens qui ont fait un passage par le lycée M.F
j aimerai ajouter a tout cela
si chacun de nous lors de son passage ajoutera son nom prenom adresse email sa profession et en quoi il pourrai etre utile ( il y en a des qui ont bien reussi leur vie mais d autres ils sont dans le besoin ne serai qu une aide moral cela pourra soulager)
TAMINOURINE
AHMED
LOTISSEMENT SOUIDANI CHAIBA W.TIPAZA
GEOMETRE EXPERT FONCIER Assermenté
Agrée
je suis originaire d el abadia
j ai fait l internat au lycée ferroukhi de 1969a 1973
adresse email sagesse53@msn.com
je m adresse a tous tes les ami-es- qui ont besoin de mes services de me rejoindre a cette adresse email ou tel:0771129117 merci
mes amitiées les plus sinceres AHMED
Khaled Chengab
Interne ,j'ai eu le privilège de vivre des journées entières sous l'oeil vigilant et bienveillant de notre cher Monsieur Mohamed Randi .
Je dis bien l'oeil car il savait ,avec élégance (je l'ai compris bien tard) fermer l'autre sur nos petites bêtises quotidiennes . Je ne sais où puisait-il tant de patience ,de compassion et de générosité . Monsieur Mohamed Randi ,jai eu la chance de croiser votre chemin .
Le dimanche : poulet,frites,patisserie .Si vous savez bien négocier , Charly peut lâcher une poignée de rabiot de frites .
13h 30 pas une minute de moins ; les fauves sont lâchés . Une séance de cinéma plus tard , nous sommes sur orbite autour du lycée Abdou . les filles tournée dans la cour et nous avions le corticolis .
Les frites de Charly etaient bonnes mais il y avait mieux , celles de Tora . Une petite gargote adossée au lycée Ferroukhi . C'etait notre Alain Ducasse .Tora veillait jalousement sur sa recette . Des bruits couraient que c'est des patates ,pas épluchées ,à peine lavées à l'eau du caniveau et cuites dans une huile usées par les cuissons . En garniture ,nous avions droit à du vinaigre , de l'oignon et de l'harissa .
Quand vous quittez la table bancale ,vous ne saviez plus où vous habitez .
19h 30 , la rentrée , tristounet avec la promesse d'éviter de se faire coller . Nous ètions heureux .
mohamed
En classe de seconde , annexe nord , on avait comme prof d'anglais un pakistanais , il ne connaissait pas les noms des eleves et comme il est naif il nous demandait les noms des absents pour les reporter sur la feuille d'absences qui doit etre remise a la surveillance .
Chaque eleve parmi nous lance un nom , et qui sont ces noms ? c'etaient les anciens footballeurs de notre epoque tel que lalmas , kalem ,freha , betrouni , bachi ect...
Un jour le proviseur et toute son armada de l'administration sont venus dans notre classe , et soudainement MR FEROUKHI a dit :" je ne savais pas que dans cette classe il y avait les internationaux de notre equipe nationale , malheureusment ils sont absents aujourd'hui "!
sentence : toute la classe consignee pour deux week ends !!!
sinceres salutations a nos deux proviseurs ( si NOUREDINE FEROUKHI , et cheikh HENNI) sans oublier el marhoum SAHI MOKHTAR !!!
Pour les anecdotes , ce n'est pas cela qui va manquer , croyez moi , vous allez bien rigoler !!!
On avait comme prof d'arabe un mec qui nous avait imposé un rituel à l'entrée de la classe qui s'apparentait presque à ceux en usage à l'armée. Il consistait à ce que l'on se mette en rang et que l'on se présente devant lui, les uns après les autres, en le saluant d'un franc "sabah el khir". Le hic, c'est que le mec en question, pour reprendre une expression de la langue verte, ne nous calculait pas. Il avait le regard ailleurs et répétait après nous le fameux sésame comme quelqu'un qui égrenait son chapelet, la foi et la sincérité en moins, et ce, quelque soit le temps qu'il faisait, il faut vous dire qu'on était à l'annexe nouvellement construite (à l'époque) et attenante au lycée à l'endroit où se trouvait avant l'abreuvoir pour ceux qui l'ont connu. Une fois en classe, il était rare que l'on commenca directement le cours, il suffisait qu'un élève fasse un geste envers un autre en chahutant un peu pour lui donner le prétexte de nous faire une fois de plus étalage de ces exploits de boxeur dans son pays. Un mélange des genres qui nous permettait à nous "ceux du fond*" de la classe d'échanger pendant ce temps les informations et les impressions recueillies la veille autour du lycée de filles. Un jour du mois de ramadhan, j'avais fait le pari avec un de mes copains de me cacher derrière la porte et de doubler le nombre de "sabah el khir" et accélérer ainsi le rhythme des repons du prof. Et ca a marché, enfin, jusqu'à ce qu'il s'en apercoive. Je me suis laissé bercer par la litanie quand soudain j'ai senti une pression sur mon épaule droite. Coincé entre le mur et la porte, je constituais une belle prise. Il m'a pris par le lobe de l'oreille en veillant à bien le tordre et m'a emmené sur l'estrade en psalmodiant ceci: "Chengab saoutouhou ka saoutou el ghirab, yakhtafi oura al bab, oua yakoulouli, sabah el khir, sabah el khir, sabah el khir". Je me suis dit, c'est bon, il est touché par la grâce, ou il a de l'humour. Que nenni et je l'ai appris à mes dépens quand sa lourde main d'ancien éboueur de Bagdad s'est abattue sur moi, ensuite il fait un bond en arrière en adoptant une position qu'il croyait être celle d'un boxeur, et a commencé ainsi à sautiller comme un cabri. Cette situation ubuesque a suscité un rire et un chahut général dans la classe avec des invitations au prof d'aller se mesurer à Monsieur Asnoun, une ancienne gloire du championnat régional de boxe. Ce qui m'a sauvé la mise et sans rapport. Quelques années plus tard, je l'ai rencontré à Paris en compagnies de deux autres professeurs d'arabe et nous avions évoqué cela autour d'un bon café et d'une franche rigolade. C'était en 1980 et si ma mémoire est bonne, ils étaient en fin de contrat et ils rentraient chez eux en transitant par Paname pour les emplettes.
Légende:* "ceux du fond", il faut vous dire qu'il y avait un accord tacite entre les élèves quant à la transhumance à l'intérieur de la classe. Elle peut être saisonnière ou en fonction de l'intérêt que l'on manifeste aux cours. Donc, il y a "ceux du fond" "ceux de l'avant" selon que l'on soit francophone, arabophone, matheux ou scientifique, tout cela ramené bien entendu à la dimension du lycée. Il y avait aussi "ceux du milieu", les indécis.
Amicalement
Khaled Chengab
une anecdote à propos de Cheikh Mohammed Ramdi que je salue au passage et à qui j'exprime le plaisir que j'ai eu à le lire sur le site. C'était au lendemain du premier choc pétrolier, si mes souvenirs sont bons. Un groupe de potaches dont je faisais partie et qui se reconnaîtront au hasard d'un surf sur ce site, avait subitement décidé, pour des raisons, pour lesquelles la position de l'Algérie dans cet évènement n'était en fait que le faux nez qui cachait maladroitement une envie de se défouler, en décrétant une grève de cours. Les révolutionnaires en culottes courtes que nous étions avaient donc réussi à entrer malgré eux tous les autres élèves dans cette folle aventure (ambiance de l'époque s'entend). Et c'était (par malchance pour elle), le cours de Madame Cusenier, alias Aicha Touila pour les intimes. Une âme sensible, car elle est partie en sanglots quand elle a appris par notre porte-parole auto-proclamé qui n'aurait jamais fait preuve de tant de zèle s'il s'agissait de répondre à une question dans un cours quelconque, des raisons de notre détermination à ne pas entrer en classe. Quelques instants après, nous avions eu la visite de Cheikh Mohammed Ramdi, je passe sur les détails de ce que nous éprouvions à ce moment-là, sinon un sentiment de crainte, mêlé de honte. Le Cheikh connaissant tous les arcanes du lycée, pouvait facilement deviner qui étaient les meneurs de cette fronde et les envoyer devant le conseil de discipline, c'eût été simple comme cela se faisait à l'époque (et bien mérité pour nous). Il préféra une autre alternative beaucoup plus pédagogiques et nous donna un cours magistral sur les enjeux politiques du moment digne de sciences-po. Et surtout metta l'accent avec insistance sur la bêtise que nous faisions à défier le savoir. Encore une fois merci, Cheikh.
Amicalement
Khaled Chengab
Arbouche 5 Houaoura 7 Mers Ferroukhi et sahi que dieu aie son ame
J'ai parcouru le site ,lu les messages et écrasé une larme .
Je vis en Suisse et souvent je parle de la petite Suisse de mon adolescence .
En attendant le match palpitant de ce soir Algérie-Egypte, je prends du plaisir à surfer sur le net quand je découvre par hasard la merveilleuse rubrique des mémoires, ravivant en nous des souvenirs juvéniles à forte sensation. En ma qualité d'ancien élève du prestigieux lycée M.Ferroukhi(Miliana)de 66 à 74, je ne puis que me joindre aux autres et affirmer toute ma reconnaissance à Noria et compagnie pour leur louable initiative, leur esprit créatif quant à l'existence d'un tel espace expressif, nous permettant de se donner signe de vie,de se faire entendre et de donner aussi libre cours à nos pensées par un échande de messages amicaux et chaleureux en souvenir du bon vieux temps qui fût et restera le plus beau pour longtemps comme de belles cerises dans un panier d'osier exposé jalousement à la fin de chaque printemps.
Pour l'occasion, je me réjouis de vous raconter une petite histoire vécue avec notre prof de sciences nat.Mr Bayon, l'exemple type de la rigueur. Il nous confia un jour, un travail de documentation sur les insectes qui consiste à épingler des bestioles sur un panneau avec classement et identification de l'espèce.Au moment du dépaquetage et la présentation du devoir, grande fut la surprise pour tous les élèves de voir un scarabée dans un mouvement rotatif tout autour d'une épingle, toujours en vie malgrè la noyade subie la veille dans de l'alcool. les copains se sont bien marré ce jour là, à votre tour maintenant.Une pensée pour tous ceux qui ne sont plus là, le bonjour pour les vivants qui ont certainement un aspect plus ou moins vieillot.
au dessus du Bureau du Directeur, se situé notre Dortoir la première fenêtre était la Mienne , j'ai 72 ans et j'ai récemment rencontre l'un de mes camarades Rachid BENTABAK dont le père tenait la librairie
j'habitais Hammam Righa!!!!!!!!!
J'ai eu mon Bac en 1972 et mes profs étaient principalement: M. Cusenier ( physique), M. Merlet(maths), Mme Pommelec ( sciences nat)
Depuis une trentaine d'années, vis ailleurs, entre les US et UK mais toujours une forte pensée pour cet havre de paix et de douceur.
Aziz
j'aimerais bien avoir la liste complète des directeurs qui ont succédé a travers le temps le lycée mustapha ferroukhi merci
Quel beau lycée j'y étais de 69 à 72
Que sont devenus nos professeurs , je pense surtout à une certaine Mme LANG qui ns enseignait le français et à notre mythique professeur d'éspagnol Mr Cervera et puis j'habitais à une trentaine de metres du lycée
Que de svnrs
Bien des annees apres, je l ai rencontre... ca fait plaisir de le connaitre plus pres. Mais a l epoque il y vait beaucoup de respects, plus que de peur, avec les profs, les maitres (pour ne pas dire pions), etc...
S'agissant de Hassan... j ose dire s il s agit pas de Tou..... ou bien de Kel.... de l hussein dey. A bientot
J'ai fait ma seconde au lycée Mustapha Ferroukhi en 1976, ma classe se trouvait dans l'arrière cour, si je ne me trompe pas c'était des chalets( enfin je pense), vous savez c'est la seule année où je ne me rappelle pas vraiment, le seul souvenir qui m'est resté, c'est celui d'un Algérois (Hassen) qui portait le même nom que moi, il était vachement beau, toutes les filles lui couraient après et croyaient qu'il était mon frère oh là j'étais chouchoutée comme une princesse!.... Le bon vieux temps.
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