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La grève de 1956 au lycée M.FERROUKHI/ Par Djilali DEGHRAR

 

La grève de 1956

 

Le temple du savoir et de la connaissance avait fait émerger de ses entrailles, des générations et des générations qui furent sorties de cet édifice. Ce sanctuaire, comme on aime bien le surnommer, cet endroit féerique, renfermant en son sein d’innombrables souvenirs. Son emplacement fut choisi, selon des critères bien précis, avec peu de place. Néanmoins, il avait modelé des jeunes bambins qui plus tard partaient pour prouver voire démontrer qu’ils étaient aptes et capables d’échanger leur savoir avec les grands du pays. Afin de devenir ce que le destin et la providence en avaient prédit.   

Ce couvent avait bien entretenu et préservé ces petits. Il ne réagissait que pour remettre les pendules à l’heure, rétablir l’ordre établi. Il fonctionnait comme une horloge rythmée. La masse mastodonte en béton était là justement pour veiller sur ces collégiens en cas de dérapage et /ou d’égarement.

Smaïl MELIANIMiliani Smail, Abderrahmane Boutouchent et Benaouda Benamer. Ces trois anciens élèves ont participé à la grève de 1956 à Miliana alors qu’ils ne dépassaient pas les 12,13 et 14 années. Encore enfants, ils m’ont permis grâce à leurs récits et souvenirs d’antan d’écrire et de vous présenter cette histoire. Nous espérons non seulement qu’elle vous plaira mais elle réveillera surement en vous certains souvenirs et faits encore enfouis dans votre subconscient. Que vous pouvez aussi rajouter au niveau de vos commentaires. Ces trois rescapés dont Miliani Smain né 1er septembre 1942 à Oued B’DA (Ain-Defla), marié 5 enfants.

LE LYCÉE, SECRETS...

Depuis son inauguration en 1909, il fut baptisé en une « école primaire supérieure » Elle était considérée comme l’une des plus illustres écoles en Algérie. D’ailleurs, il n’en comptait que moins d’une dizaine. L’école s’est ensuite devenue un collège et plus tard, érigée en lycée de garçons. Durant les années 1930, il comptait 400 élèves dont la moitié en internat. Pendant cette période, figurait parmi les enseignants algériens de grandes compétences, telles que : Larbi Youcef : Pr de lettres arabes, Tedjini Tahar : Pr et un des fondateurs des Scouts Musulmans, Monsieur Kasdali : Pr d’arabe classique puis proviseur, Monsieur Ouar : Pr de latins etc…                                    

Les professeurs comme les élèves suivaient une cadence ponctuée par des résultats fulgurants. Les enfants admis en 6ième allaient découdre avec leurs pairs au niveau de ce temple. Ces enfants venaient des régions lointaines telles que ; Boumedfaa, Djendel, Theniet-El-Had, Miliana, Khemis-Miliana, Ain-Defla, El Abadia et Attaf. Les parents qui avaient envoyé leurs enfants au niveau de cette célèbre école étaient très fiers et étaient respectables. C’était la reconnaissance et surtout l’objectif de ce qu’ils avaient planté jadis comme grains de connaissance pour leurs progénitures.

LMFLe lycée n’inculquait pas uniquement le savoir et la connaissance aux élèves, néanmoins ; il leur donnait également ce savoir vivre, celui du comportement. Cette méthodologie de comportement gestuelle, encore cette possibilité de bien résoudre les problèmes avec une facilité déconcertante. Tout en faisant apparaitre et appliquer des notions de cultures très avancées.

Très tôt, ils avaient reçu de leurs ascendants, de surcroits analphabètes. Des recommandations et surtout des conseils afin de ne point dériver et ou du moins se comporter de manière irréfléchie et ou étourdie. Les jeunes étudiants étaient accoutumés à la discipline, au respect d’autrui, à la fameuse douche, à la manière de se tenir à table, l’hygiène corporelle et surtout le comportement distingué de tous les jours. C’était ces gestes qui allaient contribuer à créer chez ces jeunes ce civisme qui manque tant à nos concitoyens de nos jours.

Cependant, ces élèves n’ont jamais dit du mal et ou de calamité à l’encontre de leurs camarades, ils n’ont pas osé dire quoique ce soit à leurs amis de l’époque. Ils étaient différents de nous, certes, cependant, ils savaient s’apprécier dans les moments difficiles et de joies. Ils ne possédaient point de rancune ni de jalousie, ils n’étaient pas ingrats, ils n’étaient d’ailleurs ni vantards ni grande gueule. Ils ne voulaient en aucun cas d’offenser les autres et de surcroit sans les connaitre.

Ils étaient humbles, correctes et fiers d’appartenir et d’avoir vécu autour de leurs frères ainés. C’est vrai que ces cocasseries existaient à leur époque, mais pas de cette ampleur. Ils s’appréciaient et se respectaient. Ceux qui possédaient ce genre de défectuosités, ils préféraient se taire et ne pas parler.  Ils avaient d’autres préoccupations et savaient parfaitement où délester ces difformités. D’ailleurs, ils n’avaient pas le temps de vaguer à ces moments d’égarements. Ils ne dérogeaient pas à la règle de la déontologie et cela à aucun moment.

Ils possédaient cette finesse d’intello et cela suffisait beaucoup pour paraitre bien distingué. Lorsqu’il y a un malentendu, ils étaient tous là pour anticiper afin de retrouver la bonne et judicieuse solution. Par contre ceux qui sont venus après, pas tous heureusement, ne possédaient point ce caractère et cette qualité d’antan. Nos trois amis, ont insisté pour que je fasse apparaitre les bonnes aptitudes de leurs anciens camarades. Ils n’étaient pas arrogants, ni impolis et encore moins discourtois, néanmoins, ils possédaient l’étoffe des grands hommes. Ils étaient simples, humbles et braves. Alors qu’ils n’étaient même pas adolescents (ne dépassant pas les quatorze ans).

 

LA GRÉVE DU  19 MAI 1956

La grève de 1956

 

Cette grève allait complètement bouleverser le fonctionnement du lycée. La guerre d’Algérie avait pris un tournant décisif et déterminant dans sa lutte contre l’occupant. Donc, les responsables du FLN doivent prouver au monde entier. A l’ONU, aux autres instances décisionnelles. Le FLN et sa révolution sont dans la bonne voie et elle est entièrement bien contrôlée et bien prise en main par les responsables du FLN.

 

 

 

MOTIFS DÉCLENCHEURS ET PRÉLUDE DE LA GRÈVE

L’élément principal de déclenchement de la grève fut cet élève Djitli de Khemis-Miliana. Il était en classe de terminal et commença à faire bouger les choses au niveau du lycée. Surement, il était en contact directe, il a reçu surement des tracts concernant la grève ou tout simplement reçu des orientations, afin de manipuler et créer un désordre par rapport à celui qui était déjà établi par les responsables du lycée. Il faisait la grève de faim avec certains de ses amis, le proviseur du lycée leur avait parlé afin de les calmer et les tranquilliser pour éviter ce genre de glissements. Mais ils étaient déjà endoctrinés par les membres des cellules du FLN. Alors, ils furent renvoyés. De grève en grève jusqu’aux ultimes journées du 18 et 19 Mai 1956.

 

AHMED KEDDAR, CHEF RÉGIONAL DU PCA

Ce chef historique de la région du PCA parti anti colonialiste et non idéologique fut incontestable et donna beaucoup d’agitation et de tracas aux militaires Français, ensuite ils l’ont arrêté puis emprisonné. Suite à cette arrestation, les mineurs de Zaccar, vêtus de leur bleu de travail, ont dégringolé vers le centre de la ville et plus précisément le long de la rue Saint Paul de Miliana avec leur lampe et leur casque. Les mineurs à l’annonce de la capture d’Ahmed Keddar et en signe de solidarité, ont envahi la rue Saint Paul.La grève de 1956

Les gendarmes munis de leur fusils avec bâillonnâtes ont procédé à des ruées pour faire non seulement reculer davantage les mineurs, mais également les stopper de manière même trop brutale. Ces dérapages ont enregistré beaucoup de blessés côté gendarmes et à pas mal de mineurs Cette journée fut entachée du sang. Donc, la capture de si Ahmed Keddar n’avait fait qu’embraser la situation qui n’était pas déjà au point avec ces grèves de faim répétés ainsi que le début d’une désobéissance. Cette insubordination allait devenir sensiblement le début d’une confrontation qui ne disait pas son nom, cette désobéissance allait engendrer le chaos dans la région parce que la majorité de ces lycéens ont déjà emprunté le chemin des maquis. C’était un renfort capital pour FLN, des recrus jeunes et doté d’une connaissance et d’un savoir-faire exceptionnel.

 

LE FLN, l’ONU ET LES INSTANCES RÉSOLUTIVES

L’occupant, au niveau de ces instances, ne cessait de marteler et répéter que le FLN n’avait aucune prise de pouvoir sur ces bandes de voyous et autres malfaiteurs qui commettent non seulement des vols, des tueries et des massacres. Le FLN avait voulu prouver le contraire en apportant la vérité sur le terrain. En affirmant que ces allégations faites à ces éventuels bandits cités par l’occupant. Etaient, au contraire, c’était les combattants du FLN, organisés, entrainés, structurés et super motivés. Ne s’attaquant surtout qu’à l’occupant et à leurs dispositifs militaires.

Subséquemment, l’ordre fut donné à ces jeunes étudiants de faire grève en désertant le lycée. Cet ordre fut colporté de bouches à oreilles, un procédé très réputé des responsables du FLN. II fut donné également à d’autres responsables de municipalités et surtout celle d’Alger où avait eu lieu la fameuse grève de 8 jours. Parmi les grévistes, certains d’entre eux ont profité pour monter au maquis, certains d’entre eux ne sont jamais revenus. La majorité des élèves ont fait la grève, d’autres ont suivi par solidarité. Par contre les autres étaient sont repartis vers leur maison, les autres auraient choisi de rejoindre les rangs du FLN...

 

FAITS MARQUANTS ET ANECDOTES

Les vétérans de la grève, à travers ce débat pour l’élaboration de ce document, nous ont parlé également de ces anecdotes, de ces faits marquants qui faisaient partis des souvenirs de ce grand lycée, tels que :

De ces professeurs qui ont marqué leur temps, de ces surveillants qui à travers leur passage ont eux aussi apporté leur lots de gestes et faits. N’oublions pas également ces agents d’entretiens et surtout ceux de la cuisine. Chaque génération possédait ces propres professeurs qui en faisaient l’exception, ces agents d’entretiens et de cuisine. Les murs du lycée ne pourront jamais les effacer et à aucun moment les oublier.

Comment oublier les Randy, Sayah, Sélim ainsi que les autres, et cela existait dans chaque génération, il subsistait ce type de personnage que ce soit au niveau des professeurs ou autres : (Zahir Ihadène : Arabe, Naillementé : Français, Assouche : Histoire et Dona : sport), des agents d’entretiens et ceux de la cuisine (Kaddour…) le surveillant général (André Rimet). Beaucoup de professeurs, de surveillants et agent d’entretiens et de cuisine, certes, on ne pourra pas les citer tous mais le fait d’avoir répertorié leurs histoires ici, ils en seront très comblés et heureux que ce soit dans leur existence où dans l’au-delà.

Ces anciens élèves se rappellent toujours de ces moments inoubliables de leur histoire, ils se rappellent de ces faits et gestes de jeunesse. Ils se rappellent encore de ces jeux inlassablement pratiqués sur la petite cour (carré au ciel bleu) sur les couloirs et corridors.

Au niveau des salles d’études. Ils se rappellent encore des plats offerts par le lycée et parmi ces prétendus plats figurait celui qui s’appelait vol au vent ainsi que la dinde aux marrons lors des fêtes de fin décembre. Après la grève, l’ensemble de ces plats furent modifiés par l’administration du lycée et cela suite à notre insurrection. On nous faisait bouffer du n’importe quoi, ce n’était plus les plats offerts comme par le passé.

Lors de la rencontre du 1er Mai, le lycée était en pleine réfection. Un de nos anciens avait suggéré à un manœuvre, tout en s’excusant, que ces planches et poutres arrachés du mur doivent faire l’objet d’une attention particulière parce que tout objet extrait renferme une richesse d’une importance capitale. L’agent éberlué et médusé, sourit puis se laissa entrainer dans ses travaux.

ANCIENS ÉLÈVES PAR VILLES ET VILLAGES...

Miliana :

  • Mohamed Bengrine
  • Abderzak Cherabli
  • Med Khebizi
  • Benyoucef Mellouk
  • Hadj Mohamed
  • Brahim Djelloul
  • Hechaichi
  • Hebboul Mohamed

Khemis-Miliana :

  • Djitli
  • Kouchih

Theniet-El-Had :

  • Mohamed Saib
  • Mohamed Benghalem
  • Mahfoud Oudjida
  • Frères Baraka
  • Rezoug
  • Daoud Kharoubi

 

Djendel :

  • Benaouda Benaida
  • Rahali

Ain-Defla :

  • Ahmed Mahmoudi
  • Ahmed Miloudi
  • Ahmed Bouri
  • Ali Hennaoui
  • Menouer Hadj Sadok
  • Aberrahmane Mokadem
  • Mohamed Hadj Sadok
  • Abdallah Hadj Sadok
  • Larbi Mahmoudi
  • Mohamed Kellaci
  • Mohamed Belahcen
  • Ahmed Daoudi

Ain-Defla :

  • Djelloul Djaballah
  • Aberrahmane Boutouchent
  • Aissa Djaballah 
  • Abdallalh Bouheni
  • M’hamed Hadj-Sadok
  • Miliani Smail
  • Bezitouni Belaribi
  • Mohamed Benyoucef
  • Djelloul Aggoun
  • Moussa Sohabi
  • Djilali Embarek

MILIANA, VILLE ENCHANTERESSE

Nos trois amis ne cessaient de glorifier Miliana, avec ses rigoles d’eau ruisselantes, ses arbres, ses versants, son climats tempéré, l’hôpital, le jardin, la balade des blagueurs, l’ensemble de ces édifices. Ils ont rajouté qu’ils ressentaient une culture qui se dégageait des épigastres de cette ville, ils disaient, d’ailleurs et ils étaient tous unanimes que Miliana ressemblait beaucoup à la Suisse. Ils ont tenu, tous les trois, à dire ces vérités parce que maintenant ces données ont changé et ont changé complètement et de façon anarchique. Miliana n’est plus ce qu’elle était.

 

CONCLUSION

À entendre nos trois anciens élèves du lycée Mustapha Ferroukhi se remémorer, de manière précise, ces souvenirs marquants. Cela nous aurait permis d’écrire un livre sur cette fameuse grève. Nous nous excusons auprès de nos anciens élèves d’avoir omis quelques-uns d’entre eux. Transcrire et griffonner des noms sans prénoms, cela remonte à plus de cinquante ans. Vous excusez nos trois anciens amis. L’oubli joue bien souvent des tours, On aurait aimé les citer tous mais c’est ainsi et pas autrement.

Commentaires

  • Torki
    • 1. Torki Le 15/02/2018
    Bonsoir tout le monde,
    Merci Djilali de nous avoir raconté en détails, le récit historique de la grève des lycéens de mai 1956; qui m'a beaucoup appris. Tout le monde doit savoir ,que cette grève restera un fait unique dans l'histoire mondiale des luttes de libération.
    La lecture de ce récit, me fait rappeler un autre évènement important qui s'est produit a Miliana, quelques jours avant la grève des étudiants; et que je voudrais partager avec tous nos ami(e)s de ce site.
    Le 04 avril 1956, un camion militaire quittant la caserne de Miliana et se dirigeant vers Alger, avec a son bord l'aspirant Henri Maillot comme chef de convoi a été détourné avec tout son lot d'armes dont: 123 mitraillettes,57 fusils, 140 révolvers et un lot de grenades.
    Cette action spectaculaire a été menée par l'aspirant Henri Maillot, militant communiste du PCA et anti colonialiste, affecté a la caserne de Miliana depuis octobre 1955. Cette affaire a fait aussi un grand bruit dans la presse coloniale qui a crié a la trahison.
    Le tribunal militaire le condamne a la peine capitale par contumace,pour désertion et trahison, le 22 mai 1956.
    Les responsables du PCA et leurs combattants (combattants de la liberté) ont réussi avec les armes détournées a créer un " maquis rouge" du côté de Beni Rached, entre Ain Defla et Chlef.
    Suite a un accrochage avec l'armée coloniale le 05 juin 1956 ,dans la région d'el karimia, Henri Maillot tomba au champ d'honneur en compagnie de 04 combattants, dont Maurice Laban(européen natif de biskra) et 03 Algériens.
    Le "maquis rouge" n'a pas duré longtemps, et après plusieurs contacts avec le FLN, qui ont abouti a la signature des accords PCA-FLN ; il a été décidé de la remise des armes a l'ALN ,dont une partie a été acheminée vers le maquis de Blida; et l'autre partie vers les maquis de zaccar et cherchell. Quant a leurs combattants , ils ont été intégrés dans les unités de l'ALN de la wilaya 4, a travers les zones de zaccar, chlef, ténes et cherchell.
    Henri Maillot est allé jusqu'au bout de ses idées,jusqu'au sacrifice supreme, et l'histoire officielle se fait discrète a son sujet.
    L"hopital militaire d'Alger porte son nom, ainsi qu'une placette a el Mouradia, Alger.
    Pour que nul n'oublie , gloire, respect et reconnaissance a tous les martyrs sans distinction de race, de religion, ni d'opinions politiques, ayant sacrifiés leurs vies pour une Algérie libre et indépendante.
    Encore une fois merci Djilali , pour tes écrits et tes belles histoires que je lis avec intérêt. Pour l'occasion, je remercie également la dame Noria, la dame d'exception, de coeur et de générosité sans limites et sans contrepartie, pour la création de ce magnifique et merveilleux site qui a réssuscité le passé de Miliana, et qui nous a permis de nous rencontrer, et de partager nos connaissances et nos points de vues.
    A bientôt .
  • khouatmi lotfi
    • 2. khouatmi lotfi Le 25/09/2016
    c est vrai miliana n'est plus comme avant ,une ville millénaire prise en otage dans une guerre qui oppose la ruralité a la citadinité.,des villes comme tenes mazouna ont subi le meme sort ,miliana est victime de son histoire.elle ne sera jamais enterrée par les ruraux tant que ses enfant veilleront sur elle.
  • Aziz OUDJIDA
    • 3. Aziz OUDJIDA Le 20/09/2016
    Merci Djilali Deghrar pour ce remarquable ecrit et retour a l'histoire de notre lycee. Beaucoup de noms dans la liste qui me reviennent en memoire. J'avais 8 ans en 1956 et j'etais encore a l'ecole primaire a Teniet El Haad. Pour ceux qui sont decedes, Allah Yarhamhoum et pour ceux qui sont vivants, Allah Yahfadhoum. La derniere fois que j'ai vu Bachir Rezzoug, Allah Yarhmou, Il y a quelques annees deja, on avait evoque cette greve a laquelle, il avait activement participe, comme tous ses autres camarades, incluant mon grand frere Mahfoud, Allah Yarhmou .

    Amar, content de te lire. Fais moi signe, je ne suis pas souvent en Algerie, mais quand j'y serai, je serai ravi de te revoir ainsi qu'a tous les amis.

    Aziz Oudjida
  • djilali deghrar
    • 4. djilali deghrar Le 19/09/2016
    Cher Amar Ayadi

    Bonsoir, j'ai eu beaucoup de problème pour réunir les quelques noms que j'ai transcris sur l'article.D'ailleurs c'est Benaouda Benaida qui m'a aidé à transcrire les quelques nom. AZvec aussi le concours de Bradai Mohamed et El Hadj Remmali. Parmi les noms que vous avez cité, quelques un furent inscrits sur l'article tels que Benaida Benaouda, ,Aggoun Djelloul, Mahmoudi etc... De toute façon merci de nous avoir pu rajouter quelques noms et nous en sommes très fiers.et reconnaissants.Nous remercions également Mr.Tersine qui avait fait lui aussi partie de ces valeureux anciens élèves.

    Cher Amar Ayadi , nous essayons de rendre à César ce que lui appartient. Les anciens doivent connaitre toutes les péripéties du lycée, à bientôt et merci encore
  • Amar Ayadi
    • 5. Amar Ayadi Le 19/09/2016
    Bonsoir

    Merci corriger Saadi Maamar , au lieu de Saadi Med ( son jeune frère que je salue au passage )

    Avec mes remerciements
  • tirsine
    • 6. tirsine Le 19/09/2016
    bonjour à toutes et à tous.
    un bonjour spécial à MRr AYADI, les lyceens de la liste(effectivement la liste est longue) tout ce beau monde que vous avez cité ont été avec moi à l école , au lycée certains à l école coranique chez CHEIKH HIDA.Ceux qui vivent RABBI ettawel fi 3mourhoum welli matte lah yerhamou bi rahmatihi.
  • Amar Ayadi
    • 7. Amar Ayadi Le 18/09/2016
    Bonjour,

    Un oubli : Kordeloued Said de Khemis Miliana
    Benaida Bouamra de Djendel
    Hadj Sadok Dine, Fellah Med le "matheux" , Mahmoudi larbi dit Degaulle, Hadj Sadok dit Ryague qui est devenu MI puis SG à l'indépendance.
    Benguerine Kadi, Saadi Med,
    Année 57/58: Djelloul Aggoun que je salue au passage a fait son entrée au Lycée en même temps que moi et que Daoudi Bouabdellah " Allah Yerhmou", ainsi que Kouache Benyoucef, Oudjida Hamdane, Menkouz, Mahmoudi Larbi ex Officier de la gendarmerie à la présidence du temps de Chadly........Houaidji, Zouggar Mahmoud, Allal Hamdane, Chaheud; Boumaza Nadir; Abdelwahab Sid Ahmed,......... Abada Mustapha, Med Rouabah....Fellah Kouider.....
    Et la liste est encore longue !
    Merci pour le rappel

    Et au plaisir de revoir tout ce beau monde

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