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L'histoire d' El-Khemis/ Par Mohamed KHALFI

  Sous divers accoutrements ; burnous, kachabias, sarouels, les paras du général Massu parvenaient à tromper les tribus. L'idée appartenait à Cavaignac. Affamés à Cherchell, il transforma ses soldats en maquisards. Pour remplir leurs panses, ces militaires tuaient sans pitié les hommes, les femmes et les enfants, pour que leurs méfaits demeurent inconnus en d'autres douars. Les mêmes actes se sont produits à Miliana et entre cette ville et l'ex Affreville. L'exode des populations se termina aux Souamaas, nommées Haïte El Baïlak. L'histoire ne s'intéresse pas à l'avenir. C'est le passé, qu'il faut écrire. Chaque rue doit rappeler un martyr et ce, afin de rappeler les souvenirs, pour évoquer ceux, qui ont rejoint l'Emir. AffrevilleEl Khemis est un berceau à chérir, pour que chaque émigré cesse de languir. Son seul vœux est d'y revenir, dans la ville, qui continue de grossir. Parmi les siens, son seul désir est de pouvoir s'établir.

A l'étranger, nul ne souhaite mourir. Un jour ou l'autre, nous allons partir, pour ne plus jamais y revenir. Évoquer, c'est permettre à l'oral de s'écrire. C'est ce, qui nous a permis de démentir, grâce aux chahids, qui avaient cesser de servir les usurpateurs venus pour sévir, sans pardonner aux plus notoires, qui ont perdu tout espoir y compris ceux, qui paraissaient honnêtes et qui, savamment utilisent l'internet, tels que le fils de Tellier et Roland Pierson, qui se sont faits avocat des colons. Au nom des rapatriés du Haut Chélif, ces deux renards ont sorti leurs griffes. Sans évoquer le vocable "Khemis-Miliana", ils rappellent la rue de Paris et la rue de Médéa, la villa de la veuve Fuster et le camp des guides des révolutionnaires, enfermés dans le camp de Charleville, qui eut le premier baptême de leur Affreville, dont l'entrée menait au domaine de Sahuc, conduit au cimetière par une clique de musique. Héros, que non, car, il se disait alsacien, séparé de tout temps des siens. Pierson, qui était un grand sportif, nous paraissait plus ou moins naïf. Pétainiste a été le fils de Tellier, qui a dénoncé les alliés, en faisant d'eux des gauchos, prenant les mauresques au lasso. Celle-ci étaient cloîtrées en leurs tanières, afin de conserver leur savoir-faire. Le terrain de basket, qui était un espace, a été transformé "commandement de la place, visité par Boualem et Buffalo. Ce dernier y laissa sa peau. Voulant sortir El Khemis de sa torpeur, pour les alliés, cette mort fut un malheur. Rn animant parfois la salle des fêtes, ils nous firent aimer le saxo et les clarinettes. Les M.P n'étaient sévères qu'avec les militaires. Nous avions connu Burk Lancaster, soulevant en équilibre en l'air une charrue sur son menton en verre. Quand, Nekoud Abdaqa El Boxeur était le seul et l'unique traducteur, nous étions les premiers écoliers à avoir visiter les avions bombardiers, qui atterrissaient sur le chamo des Abbasssis. Ces Boukra avaient aidé les khemissis, en liant les commerçants aux américains, grâce à la location de leur terrain.

__________Selon certains___________

Relevé d'internet : Il est dit qu'Affreville a été construite sur les décombres romaines, qu'au commencement, il y eut les romains, qui ont nommé leur cité " Colonia d'Augusta, avant de l'appeler Malliana. Après le départ (?) des romains, Malliana s'effaça au cours des siècles et que le 14 novembre 1848, le gouvernement français décida de donner à ce hameau de 50 familles françaises le nom d'Affreville.

a) D'après cet article, on se demande quel a été le nom de la ville de Sidi Ahmed Benyoucef ?
Le magasine n°6 d'Historia, cite l'église réformée Saint Isidore. On lit :" Affreville, où, vivaient 50 familles françaises est devenus une ville de plus de 12OOO habitants en 1962. Selon d'autres en net. On lit, qu'on a longtemps pensé que la ville de Miliana occupait l'emplacement de la romaine Malliana(ex-Affreville)et que le développement des études de géographie remet tout en cause, que Pline a nommé Colonia Augusta (ex-Affreville) que les indigènes nommaient Azaliakar, c'est à dire le mont le plus élevé de la région, en langue tamazight.

b) Il faut donc avoir recours à la langue berbère et ses variations d'une région à une autre: Azaliakar, Azaliakeur, Azakeur,..., d'où refus de croire que le nom Malliana a été arabisé. La langue arabe possède sa propre technique, qui précise que les noms de lieux commencent par "ma". Par exemple: Madinate Maliana maoudjoud taht maadane el hadid. Les arabes nommait Bouna (Bone)que les romains avaient nommé Hipone. Il en est de même pour Constantine ( Cirta ), Tébessa, Madaure Tipasa ...

Durant l'occupation, une histoire a été écrite pour convaincre les opposants de la colonisation, donc toute fabulation est à rejeter. Nos ancêtres disaient Zaccar fouq Meliana, voir que zekar signifie rejet. Rappelons-nous qu'Augustine était une déesse romaine, que l'empereur Auguste se fit dieu, qu'Augustin, qui était manichéen, a trahi les siens pour servir Rome et qu'il a combattu les donatistes.

Le touriste de passage à Meliana se demandera pourquoi les ottomans se sont donnés tant de mal pour charrier tant de pierres de Colonia Augusta (ex-Affreville), pour ériger les murs de Madinat Sidi Ahmed Benyoucef.

Ajoutant que de matmoura (silo sous terre) dérive de Matmata, village établi sous terre, afin d'endiguer les chaleurs. De pareils villages existent en Tunisie. Zarzis et Matmata attirent de nombreux touristes.

De semblables villages et fermes pourraient se découvrir à Matmata et Bni Fatem, à 30 km de Khemis-Meliana. On pourrait découvrir des ustensiles de cuisine et même une jarre, qui ne suffirait à apaiser la soif d'une cité. Cest ce qui fut le cas dans l'ex-rue de Paris à Khemis-Meliana.

A partir du 18° siècle, pour plus d'assurance, les habitants choisissaient une butte pour creuser des silos, près d'un mausolée, c'est à dire près d'un cimetière, qui rappelle le Jour du Jugement.

Pour rejeter l'histoire romaine, nos ancêtres ont donné le nom de Sidi Sliùan, à Hammam Righa. Les vrais vestiges se trouvent à Cherchell, Tipaza, Qabr romia. Les cippes, qui entouraient le bassin du jardin public, ont été ramenés d'ailleurs.

Du but étant l'attachement aux sites archéologiques découle l'expression de la personnalité dans toutes ses dimensions, afin de constituer les fondements intellectuels et les civilisations des valeurs de la société.Il a été dit et répété : " Notre beau village mourut en 1962. L'indépendance a tué la poule aux œufs d'or." Leur village est devenu une ville, qui fut la plus grande commune de l'Afrique, avant de devenir Daïra.

___Admettre ou ou ne pas admettre___

De Maghnia à Arris, Oum Al Aassakir des Aurès, d'Alger à Aïn Guezame, via Tamarest, les patriotes, qui ont changé de veste, demeurent responsables de leurs gestes.

P.N et arabes, nous étions tous des étrangers, quand, rien n'avait changé. A El Khemis, les changements concernaient Cano et Girona, qui avaient épousé leurs fatmas, ainsi que le fils de Madame Bour, qui s'enfermait nuits et jours. N'oublions l'autre Girona, qui fit de sa une Fatma. Cette meunière recevait chez elle, l'arabe-époux comme son enfant Lichel. La fille de Mme Latte avait perdu la tête. Sa fugue avec Miloud créa la tempête. Ces amours, qui avaient renforcé le racisme, ont été le profit du nationalisme, ne laissant aucune place à l'amitié, l'arabe ne méritant aucune pitié.

Les non-scolarisés servaient de porte-faix. Par les filles, ils étaient concurrencés. A l'entrée du marché, on les voyait les pieds-nus. En guenilles, tout, elles étaient dépourvues. Incapables d'essorer une serpillière, chez les juives, elles lavaient le parterre. Les collégiens, qui traversaient Zougala, ne souhaitaient que la guérilla.

Même le communiste Albert Camus avait changé. Il s'est dénoncé en son livre "L'étranger". Il a même dit qu'il préfère à la justice sa mère. Celle-ci est Fafa, qui nous imposait la misère.

Bonne fête à toutes les mères en priorité à l'Algérie, la mère prospère.

__Les Hameaux__

Hameau  Servant les pieds noirs, sans aucun calcul, l'effort du maire Gougé fut ridicule. A Dardara, il a construit un bidon-ville, éloigné de son grand amour Affreville. Bouharaoua baptisa cet amas de taudis, où, le parpaing voisinait les anciens gourbis, dont l'électrification couterait chère à ceux, qui, des gourbis, étaient propriétaires. Avec un filet d'eau, les logés étaient heureux, comparés aux deux hameaux des Souamaa, plus miséreux. Dans l'Eden de Kaddour Belaïd, les arabes étaient mieux lotis, loin des pieds noirs et des mercis. Ce hameau a été prolongé par le boulevard du Sud, où, le bruyant moulin de Kardjid est devenu habitude. A un petit hameau, grâce au Muezzine, les pieds noirs faisaient grise mine.

 

__L'Oral__

C'est l'histoire, qui prépare le présent et l'avenir. Le passé de chaque hameau, il faut l'écrire. Chaque rue doit rappeler un martyr et ce, pour évoquer les souvenirs, de ceux, qui ont rejoint l'Emir. Ma ville est un berceau à chérir, pour que l'émigrant cesse de languir. Son seul vœux est de revenir dans sa ville, qui continue à grossir. Parmi les siens, son unique désir est pouvoir s'établir. A l'étranger, nul ne souhaite mourir, car, il a des choses à dire, sachant qu'un jour, il va partit, pour ne plus jamais revenir.

Évoquer, c'est permettre à l'oral de s'écrire. C'est ce, qui nous a permis de démentir et ce, grâce ceux, qui ont cessé de servir l'usurpateur venu pour sévir. N'oublions jamais les plus notoires, qui ont perdu tout espoir y compris ceux, paraissaient honnêtes et qui, savamment, utilisent l'internet, tels que Tellier et Roland Pierson qui se sont faits avocats des colons.

Au noms des fuyards du Haut Chélif ces deux chacals ont sorti leurs griffes, pour ignorer le vocable Mhemis Miliana et rappeler la rue de Paris et la rue de Médéa, ainsi que la villa de la veuve Fuster et le bagne des alsaciens révolutionnaires, qui étaient enfermés dans le camp Charleville, premier baptême fêté avant celui d'Affreville et dont l'entrée menait au domaine du Sieur Sahuc, conduit, en héros au cimetière par une clique de musique.

Feu Benblidia, qui fructifia notre mémoire, nous a enseigne la belle histoire, concernant l'Algérie en flammes, qui ne figurait pas le programme, pour nous confirmer que les gaulois aux yeux bleus, n'ont jamais été nos aïeux.

Roland Pierson, qui était un sportif, nous paraissait plus ou moins naïf. Pétainiste, était le fils de Tellier, qui a dénoncé les alliés; en faisant d'eux des gauchos, qui prenaient les khemissiates au lasso. Ces tigresses maintenaient en leurs tanières, la tradition et son savoir-faire. Aux Souamaa étaient cloîtrées les plus belles, qui par natures étaient rebelles. En ces 2 hameaux, leurs ancêtres s'étaient établi, après leur fuite de Miliana avec les kouloughlis.

Le terrain de basket, qui était un espace, transformé Commandement de la place, a été violé par Asmou Boualem et Buffalo. Ce dernier galopin y laissa sa peau. Pour les alliés voulant retirer le village de la torpeur, la mort de cet adolescent fut un malheur.

Mômes, nous avions adoré le saxo et les clarinettes, quand, la clique des alliés animaient la salle des fêtes, sans organiser des bals, ce, qui nous parut anormal, sachant qu'avec les militaires, les M.P.étaient sévères. Sur la place, nous avions vu Burk Lancaster, soulevant, en équilibre, en l'air, une charrue sur son menton en verre, quand, Nskoud Abdaqa Al Boxeur était notre unique traducteur.

Ecoliers, nous étions les premiers à avoir visité les avions bombardiers, qui atterrissaient sur le champ des Abbassi. Ces Boukra, qui représentaient les khemissis, étaient les garants des petits commerçants, qui passaient pour des coopérants.

Tradition et mémoire obligent. Epineuse, la première est une tige, sur laquelle les feuilles s'érigent. Ces feuilles constituent la mémoire. Rassemblées, elles racontent l'histoire, dont, celle des traîtres au sombre visage et celle des illustres grands personnages, tel que Bougara, dès don jeune âge.

Au près des siens, Si Mhamed n'était que de passage, car, là, où, l'attendait l'ouvrage, il s'en allait vers l'apprentissage, pour acquérir le savoir et le courage, selon de nombreux témoignages, qui différent de ceux de Tellier et Pierson, deux minables avocats des colons. Bougara a tué leur poule aux d'or. Bougara les a mis dehors, trois années après sa mort, pour avoir été des pompeux, ignorant tout des hameaux miséreux.

Autre aveux, les bigeardistes s'expliquaient en plantant des têtes sur des piquets, pour dire que tel héros a trépassé. Nous affirmons que Bougara fut blessé. Comme son corps ne fut pas rendu, contre l'oubli, s'érige sa statue, pour rappeler que le jovial Chirac s'est tu et qu'à la requête des survivants, il n'a pas répondu, vivants étaient Bigeard et Massu.

__Le rattachement__

Sur le sol des biens beylik, ne s'utilisait aucune brique. Avec le chaume et la terre, se construisaient des gites vulgaires, sur des lieux découverts, éloignés des clairières, afin d'abriter les familles des luttes sanguinaires. De toutes pièces ont été montés les deux Souamaa, qui ne ressemblent en rien à Khemis Miliana. Ces deux hameaux avaient servi de Réserve, afin que la résistance des milianais s'achèvent.

Comme entre Youcef et Benyoucef, il y a une différence, le rattachement au nom Benyoucef est une référence, pour tout milianais de par sa descendance et quelque soit son éloigné lieux de naissance.

Autre signe, la couleur blanche ou rousse de la peau, indique que les actuels khemissis ayant vécu dans un de ces deux hameaux, sont nés de parents venant d'en haut. La peau blanche appartient au miliani. Rouquin est généralement le kouloughli. Le Haut Chélif a enfanté les basanés, des fils reconnus généreux et bien né.

__Le chant de l'aède__

Inouï peuple descendant des combattants, tu souffres depuis plus de cent ans, soulève-toi contre les mécréants, qui ne sont guère de ton sang. Anéantis sans aucun penchant leur visibles déclarés servants, pour affaiblir le service de renseignement, qui vaincu de nombreux soulèvements. Chaque sédition était clos par des internements, comme au temps des déplacements, qui ont rendu les biens vacants, à travers le territoire des battants. Que possèdes-tu en ce moment ? L'union se retrouve dans le Saint Coran, où, la gloire n'appartient qu'aux vaillants. La Mosquée est la maison du Tout-Puissant. En ce Saint Lieu, Son discours nous attend, pour que chacun sème Ses ordonnances, qui encouragent et rejette les nuisances, que la tradition a interdit, à ceux, qui veulent vivre au Paradis.

__Émigrants__

Ce n'est pas de bon grès que les khemissis ont émigré. Il y a ceux, qui ont été dénigrés, quand, il étaient en net progrès, face aux rivaux d'une même action ou des concurrents en une même profession. Pour le non-reconnu, cela a été trop dur et c'est de là, qu'a découlé la folle aventure, vers un péril ou une noyade ailleurs, plus tôt que de subir l'effet des erreurs. La généreuse Al Khamis manque beaucoup à ceux, qui ont mis les jambes au coup et ce même en étant installé aux frontières, car, les ragots sont dits pour provoquer les colères.

Les rues de la Casbah s'agençaient selon le besoin ; la rue des aatarines, parfumée de benjoin, la rue boucheries et la rue des coiffeurs, la rue des artisans et la rue pour divers bricoleurs. Le mektoub diffèrent selon les jours et l'attente se nommait bravoure.

__Mon bras, mon cœur__

Je t'avais donné mon cœur et mon bras t'appartenait. De par mon ardeur acharnée, mon combat a été une douceur, mais, tu as cru les flatteurs, quand, tu nous avais abandonnés. Tu as aimé les tricheurs, qui nous emprisonnés. Nous sommes tes enfants, C'est pour toi qu'on pleure, car, les rusés nous ont ruinés. A présent, nous sommes majeurs, voire des hommes vaccinés. Par nous se fera ton bonheur. Par nous, la mafia sera éliminée. Nous avons connu des hauts et des bas. Nous sommes près à engager le combat. Aguerris, sont tous tes fils, qui acceptent le sacrifie, pour que tu sois cette Algérie puissante, riche et chérie.

__Parole divine__

Mieux valait mourir debout, que de vivre à genoux, pour tendre les deux joues, afin qu'elles reçoivent des coups. A genoux, on se fait tordre le cou, La misère, qui était visible partout, a été le meilleur atout, par qui, les langues se dénouent, pour dénoncer, ce qui n'était point flou. Grâce au Coran au dessus de tout, les croyants refusant de vivre au dessous, passaient pour d'anormaux fous. Amers, leurs discours n'étaient points doux, car, la Parole divine, qui noue et celle, qui se Loue.

__Réalité__

Avant 1980, le chahid Bougara était le héros de la région d'Amoura, or, le derwiche veillait sur un escabeau, afin de choisir ses mots. Pour lui, Napoléon était un barbare, pareil à Alexandre,le grand Tsar. Amour Alègre est Vert Galant. Il n'est donc point un muslman. Saint Clodoal est le nom barbare, donné St Cloud, par les banlieusards. Vert Galant, qui avait investi la capitale, avait installé à St Cloud son quartier général, mais, Paris se rendit par peur, les suisses ayant semé la terreur, pour sauver le quatrième Henri, que le mâge nomme Hafrie, qui fut le premier roi bourbon, tué au coin de la rue Jean Tisson.

La faction cruelle des musulmans viendra, cachant sous, leurs robes, leurs armes. Leur chef se saisira de Florence par deux fois, après avoir envoyé par avanve des gens trompeurs et sans loi. "

Décidément, on en veut au musulmans, invités à St Egidio par l'intelligent. L'Islam n'a jamais reconnu Louis de Parme. Florence a subi par 2fois les flammes. Louis de Parme, qui rêvait de ce lieu, a fait disparaître les traces du feu, quand, le Duc était éloigné de sa demeure. Bonaparte y avait ses indicateurs en plus d'une invisibles armée d'espions, qu'il envoyait dans chaque région.

Par Napoléon étant peu maltraité, le Duc a démontré sa neutralité, mais, entrainé lors de la seconde coalition, le Duc Ferdinand a goûté la répression.

De Florence, chef lieu de son Duché, le Duc a été chassé par les français. Le duc est revenu quelques mois après, mais, de nouveau, il a été dépouillé. La bataille de Marengo a été sa seconde peine, d'où, son éloignement à Vienne, chez les autrichiens, avec qui, il avait de solides liens.

De peur du retour de Napoléon, Charles X éloigna les aiglons et annula les dernières élections. Cette censure engendra la rébellion.

Sur la tête de Pollux, Castor jure, comme Philippe, qui a 2 figures: l'une à l'armée, l'autre au trône, ainsi, Louis porta couronne. Pollux passait pour un soldat, quand, Castor débaptisa Skikda. Durant 7 années prospères, il ne fit pleurer que les mères. Allah décida de son premier mâle, qui se tua en tombant de cheval. L'Algérie a été son titre de gloire. Par banquets, il fêtait ses victoire, mais, ceux, qui n'eurent pas du requin, leurs parts des riches butins, ont réclamé une République, afin que Louis Philippe abdique. La Martine, qui prôna la démocratie, a mis fin à la Monarchie.

Éclaireur , Bouras était le plus fort. Avant le 8 mai, il fut mis à mort, Alger la ville portuaire, qui déclara la guerre, voulait rattraper le retard, pour éliminer les guépards. Plus la mort frappait, plus s'éloignait la paix. Il ne fallait plus se laisser faire. A outrance se poursuivait la guerre. Plus s'ajoutait les agents de sécurité, plus les bombes éclataient. L'esprit de corps commandait la revanche, A la vengeance, il s'attendait. La frayeur a été des plus honorée, car, la Dame a été ignorée.

__Satan__

Le chef arabe déclenchera la guerre et la subversion contre la souveraineté monarchique et le pouvoir de l’Église succombera par une invasion maritime. Près d'un million de soldats seront en Iran et Satan envahira la Turquie et l'Égypte.

__Réalité__

Par"Allahou Akbar" débute la prière et c'est ce qu'on lit sur la bannière, de ce pays, que fut une République, voire, ami, des puissances laïques. A son Chef régnant au sein de l'adversité, s'ajoutaient les rois et leur féodalité. Ils crurent tirer profit des mercenaires, qui ne cesseront pas d'être les adversaires de l'arabe et du musulman en particulier. En Iran, étaient prêts les Fidaï par milliers, désirant mourir pour le golfe persique, en affrontant les forces sataniques, nommées ainsi par le Mollah d'Iran, qui se disait : l'épée des croyants.

Satan a été reçu à bras ouverts, par Ankara et le Caire. Malgré un déluge de feu et fer, c'est en mer que fut perdu la guerre, mettant fin au pouvoir de l'Eglise dans cette région" Mère des crises".

A deux poids et à deux mesures, Satan a ajoute le blocus et l'usure, qui ont tué les saints innocents, assiégés par apôtres de Satan.

__Marée noire__

Souhaitons que nulle part ailleurs ne se reproduise un tel malheur, vécu par le renaissant de ses cendres, qui émerveilla le Grand Alexandre, qui a uni vainqueur et vaincu, sur cette terre, où, Adam est descendu et où, le Nabi de l'unique religion, Abraham a enseigné l'Islam aux nations.

Un déluge de bombes et de fusées, a été déversé sur le raïs, qui rusait, face à trente nations coalisées, décidées d'anéantir l'ex-colonisé, qui avait osé relever la tête.

La sédition vint après la tempête. Les shéites ont tiré orofit de la défaite et les kurdes ont occupé les crêtes. Pareils troubles ont affligé l'armée, qui s'est sentie doublement désarmée. Plus malheureuses furent les nourrices. Au Tigre pollué, elle ont remis leurs fils, en présence de Nestor et ses moines. Les télés du monde en témoignent. Le peuple, qui ranima la flamme, dénonce sans évoquer Sadam, qui sera pas jugé par La Haye, mais par des hommes de paille, afin qu'on ne juge pas le gendarme, qui lui vendait des armes.

__Réalité__

Le mage cite les félicités et les peuples irrités. Après des manœuvres de longues haleines, semés de fourberies et haines. On a eu recours à Carter, pour retracer les frontières. Les cardinaux ont dénoncé l'accord, mais, le Vatican leur donna tord. Sur le sol des lanceurs de pierres, Yasser n'est pas St Pierre, ni complice du tueur des innocents, qui à Sabra versèrent leur sang. Le monde demeure en péril tant les palestiniens vivent en exil. Bien que minoritaire, Jean 23 s'en alla dénoncer les rois, car, à l'Est, on négocie avec un homme, alors que les émirs exige un référendum.

__Bar-Levi__

La synagogue (1) stérile, sans nul fruit (2) Sera reçue entre les infidèles'3). De Babylone, la fille du poursuivit(4)Misère et triste lui tranchera les ailes. Le sionisme, stérile, sans nul fruit sera parmi les arabes. Venue de New York (Babylone) la femme des pourchassés (Golda Meir) perdra son pouvoir par l'infortune et la tristesse.

__Réalité__

C'est par le sionisme stérile que viendra le péril, qui fut installé par les Protestants, qui occupaient le Moyen Orient. Il fut aussi reconnu par un infidèle, qui se rendit chez la vieille, après l'avoir durement frappée, sans reprendre les terres occupées. Il s'est affaibli en acceptant une paix, pour combine selon l'histoire, pour que Golda Meir perde le pouvoir. Cette égorgeuse, née à Kiev, ne désirait qu'une trêve, car, le mur de Bar-Lèv étant détruit, elle voulait qu'il soit reconstruit.

La mage a prévu des guerres, ainsi que celle d'un vengeur en colère, dont, la terre sera inhabitable. De partout, on poursuivra les coupables, qui vont utiliser l'atome, pour exterminer des Hommes, qui ressemblent au brave Rabine, qui voulait sauver Israël et la Palestine.

__Le sionisme__

Interprétation de Font de brune :

Des gens nouveaux-venus bâtiront des kibboutz sans défense et occuperont des lieux, qui étaient jusque_lè incultivables. Ils prendront avec plaisir les prés, les champs, les maisons et les villes. Puis la famine, la guerre et la maladie sur cette labourable depuis 1939.

__Réalité__

Les juifs, qui fuyaient la guerre mondiale, étaient humainement aimables. C'est sur des terres incultivables, que s'installèrent les âmes lamentables, que poursuivait l'antisémitisme, qui donna naissance au sionisme, qui des kibboutz sans murailles, s'est préparé aux guerres, grâce au solide nerf, collecté sur la terre, sans oublier l'armée de sa majesté, opposé à l'Islam et l'Arabité. En cette région riche en pétrole et en gaz, l'Angleterre avait besoin d'une base. Le sionisme n'avaient qu'un désir, que les grands lui offrirent, en permettant d'occuper des villes, où, les émigrés ne vivent pas tranquilles.

__Le vautour__

La gestapo et les S.S n'étant plus troubles fête, par l'arabe, Europa paya sa dette, afin d'étouffer les enquêtes, qui feraient tomber les grosses têtes. Lors des rencontres secrètes, les collabos ont transformé leurs défaite en victoire parfaite, en promettant au sionisme la conquête.

Avec des canons, qui pètent à l'arrière, les arabes ont perdu la guerre. Pour déplacer des populations entières, l'exodus a utilisé la forte manière. Sous leurs tentes singulières, ils ne leur restaient que la prière.

La part du partage confiée à 2 pays frères était convoitée par les bénéficiaires, qui furent associés à la guerres de "6 jours". L'U.R.S.S. a dénoncé ce parcours et l'ultimatum d'Ike a été un recours, qui n'a pas admis le rejet de son concours. La conquête eut lieu au delà des contours.

Les réfugiés espèrent toujours le retour sur le sol occupé par le vautour, constamment soutenu sous forme de secours. Contre les blindés dévastateurs, les pierres n'atteignent les tueurs, qui en méprisables chasseurs, qui visent les jambes des lanceurs.

__Sans repère__

Chez le trépané, visibles étaient d'autres mutilations, ainsi que ses nombreuses décorations. De celles-ci, il s'en débarrassa pour juste raison. Comparant sa pension à celle de ses compagnons, qui sur mouchoir de poche avaient survécu. Par sa pension de misère, il se sentait vulgaire individu.

Dans dans la boue, on enterrait les disparus. Pour les gradés, ils étaient inconnus, bien que l'uniforme était la même tenue. Les colonisés ne pensaient pas à leur du. Une économie facilement obtenue, sur des héros doublement descendus. Ils ne mangeaient ce que Dieu a défendu. Loin de l'Algérie, ils étaient perdus. Par eux, le courrier n'était pas attendu. Sans repère, ils étaient les plus dépourvus. Pour eux, rien n'a été prévu, Pour leur relever le moral abattu. Pour les familles de là-bas, ils étaient le rebut, En aucune, ils n'étaient reçus, fussent-ils engagés ou obligé recrue. A la même enseigne, ils étaient suspendus.

Dans des tranchées noyées d'eau fétide, sous de lourdes capotes humides, ils pataugeaient dans la boue, collée aux mains et au dessus des genoux.

Dès que se taisaient les mitraillettes, les obligés livraient combat à la baïonnette. Ceux, qui se retrouvaient chez le chirurgien, étaient livrés à un vétérinaire les charcutant comme des chiens...

__Relégation__

Napoléon III a créé la transportation, qui s'effectuait sous de dures conditions, une honte pour l'administration, qui livrait une négative réputation, en faisant du bagne l'Eden des forçats, pour camoufler ses affreux débarras. Dès la récidive, on écopait sept ans, or, c'est dans la misère, que se multipliaient les truands, pour plus de brigandages avec violence. Face a cela, Omar (R.A.A) imposa une Ordonnance.

Nos ancêtres ont connu la relégation et d'autres ont vécu la transportation. Comme un détenu de droit commun, le rebelle en était un. Comme, on croyait que la Nouvelle Guyane était une île, les nouvelles et les fuites semblaient impossibles. Pis, les détenus, qui étaient illettrés, pensaient qu'après la purge, ils seraient libérés.

Mohamed Tayeb, qui a subi la relégation, a été retenu après sa libération, pour peupler comme d'autres les villes, d'où le slogan:" L'exil est une vie d'asile."

Dans un hôpital, qui égara ses documents, Tayeb a travaillé 15 ans. Mokhammed a été privé de ses indemnités, pour être vu musulman dans la mendicité, loin de la chaleureuse Algérie. Il est enterré à St Laurent de Maroni. Ceux, qui ont voilé le bon débarras, ont été couverts de honte grâce aux médias, sur l'insistance des ex-retenus.

__L'ex-colonie__

A 12000 km de la mère patrie, la Réunion fut oubliée par Paris. La grippe aviaire avait l'avantage sur le Chikungunya faisant des ravages. Les responsables et les médias accordaient deux minutes au chikungunya. Vingt minutes étaient réservées à la grippe aviaire, qui était de loin, moins sévère, étant dérivée d'une maladie animale. Cette dernière a avalé un énorme capital, pour sauver la volaille, les blacks de la Réunion n'étant qu'une racaille.

Autour d'un canard, il y eut une pagaille, pour ne pas dire une bataille, afin de sauver des poulets, alors que dans l'île, les indigènes mouraient. Les médias ont été responsables des dommages, car, les maladies parasitaires voyagent. Dès qu'un malade est piqué par un vecteur, ce dernier trouve le sang ailleurs. C'est ainsi que le corps est infecté. La mère-patrie a prouvé son incapacité, dans pareil climat de psychose. La donneuse de leçon est mise en cause, pour avoir abandonné des vies en danger, la domestication totale étant négligée. La mère patrie, qui se montra avare, a fait intervenir sa légion avec retard. L'État, qui ne fut point chiche, a accordé une subvention aux riches, qui ruinent les touristes, alors que les piqués allongés la liste.

__L'exposition__

Durant l'exposition d'un martyr, un vieux P.N. a osé dire ; "" Messieurs, préparons nos valises. Cette mise en scène ne favorise que le bicot dans un uniforme militaire et ses yeux largement ouverts, ce, qui signifie : guerre d'usure, quelque soit notre censure.""

Convaincus à mourir jusqu'au dernier, au sourire du martyr, les militants se sont liés, en donnant l'unique explication, pour maintenir la continuation : " Ce frère martyr a, sans aucun doute, souri, en ouvrant ses yeux au Paradis. C'est ce que révèle son sourire radieux et l'étonnement de ses yeux."

Les indécis, qui étaient dociles, se sont retrouvés hostiles, car, toute défaite se transformait en victoire. Aux martyrs appartenaient la gloire. Par eux s'est faite l'union utile. Leur sacrifice ne fut pas inutile. On ne devrait même pas tourner la page, afin de leur rendre le grand hommage.

__Le suspect__

Je ne rapporte que ce que je vivais, ce que, sans cesse, j'en rêvais. Au sein de mon adversité, émigrant, je souhaitais le rapide retour en mon pays, pour mettre fin à ma nostalgie, une véritable pathologie, paralysante comme une hémiplégie.

Des deux côtés de la mer se continuait la guerre. Ma fuite ne s'avéra pas nécessaire, puisque m'attendait l'amer. J'ai été comme les nôtres, un suspect, qui refusaient d'être des sujets. J'ai vécu au bas de l'échelle. Je changeais souvent d'hôtel. J'ai été l'apatride marginalisé, que les contre-maîtres épuisaient. Tel un caméléon, je changeais de couleur, afin de calmer mes douleurs. Pour mise en situation, à Vincennes, j'ai vécu 15 jours de peines, accusé de conserver un tract déchiré. J'ai été atrocement torturé, de par ce moyen préfabriqué. Fiché, j'étais bon à être embarqué. A mes libérations, je perdais mon emploi, en allant ailleurs, le cœur plein de foi.

__La vantardise__

Repêché par une franco-algérienne, le bel algérois, qui ne s'attendait à autant de peines. Il refuse d'évoquer la crise subie, pouvant être vécue par un ami. Pareille vantardise a multiplié les engagés, qui ont vécu l'abject et ruiné leur budget. Au sein d'une population hostile, qui vit une situation difficile, il n'est pas facile d'intégrer la masse, même en étant accueilli par un comparse. Celui-ci ne suit le peloton que pour essuyer des affronts. Il doit donner tout de lui-même, sans rêver à une vie de bohème.

Le sans papier perd sa fierté, qu'il cache par pure vanité et ce, même à ses compatriotes, qui l'ont ramassé des crottes. Ce job n'est pas un sot métier. Même en étant bien payé, il n'apprendra rien hors des chantiers. Pour être spécialisé, il faut suer.

__Amour et haine__

De la cendre naissent des démons, qui ont des cœurs de glaçons. Si cela n'avait pas été ainsi, la fiction aurait raconté ceci; " Par le feu, le bois fut consommé. Les preuves ne seront jamais prouvées. Après avoir éventre le cheval de Troie, le feu a servi de feu de joie. Ulysse ne fut guère un stratège, les flammes ont détruit son piège.

La fiction proche la vérité, se rapproche de la liberté, de la bonté, l'amitié et les pertes qui provoquent la pitié. Dans le désordre, on hait l'amour. Au delà de la haine, on court. La victoire de Pyrrus fut une défaite, car, il a perdu les meilleurs têtes. D'Epire, il revint la tête basse. Son écrasante victoire laissa des traces. Impitoyable, il n'a pas gagné le cœur des vaincus, ni celui des vainqueurs.

Qui nous a donné une leçon de morale. Est-ce Ulysse ou Pyrrus, le féroce animal.

__Vengeance__

La mort d'un para dans un accrochage a été suivie d'un affreux dérapage. De nuit, sept léopards ont déserté l'infirmerie, pour effectuer une atroce tuerie, afin de punir la population locale, la vengeance étant le but final. Les sept, qui n'avaient que leurs poignards, ont égorgé neuf vieillards, suspectés d'être des phares, éclairant et corrigeant les bavards.

Ceci a été rappelé par un appelé, qui aurait refusé d'être manipulé. Vu ses nombreux détails, je n'ai pas cru cette racaille, contaminé par les revenants du Viet Nam, des léopards, des corps sans âme, ne recherchant que le victoire, en faisant du bled, leur second laboratoire.

__Les sept__

Les pieds noirs étaient bien organisés, grâce à La police, qui les favorisait, en les entrainant à se précipiter, là, où, une bombe allait éclater, qu'un flic posait pour les former, afin d'être prêts pour réprimer.

Suite à l'attentat d'un retraite, atteint de cécité. La réaction se fit le lendemain, sous l'emprise de Vatin. Dès le retour de l'enterrement, c'est avec un discernement, que sept groupes de la ville, se rendirent dans sept domiciles. Les tueurs n'étaient pas masqués. Les orphelins, fort marqués, ont été naturellement intoxiqués. Aucun flic ne fut révoqué. Ce n'est pas raison, que les affreux-villois ont fui leurs maisons.

__Indéfendables__

Les harkis 

Le cœur tatoué par l'indéfendable reproche, sans s'en mettre un centime en poche, certains jeunes ont doublé la dose, sur la acquis de la noble cause. Ils n'ont imité que les pieds noirs, qui ont perdu tout espoir. Étant déserteurs, ils avaient perdu le nord, avant de juger leur tord.

Le droit aux harkis sincères, leur a permis de traverser la mer, pour affronter les nuisances dans la généreuse France. Sans cesse, ils ont été offensés, en leur rappelant leur sombre passé. On le traite de sous-hommes, qui doivent lutter pour être autonomes. Leur éparpillement est voulu, pour que leurs fils ne pas figurent parmi les élus.

 

__Somides négros__

Les dialectes se sont conservés. Au rythme du tam-tam, ils s'élevaient. L'oralité rappelait le souvenir des braves, qui refusaient d'être des esclaves et ce, après avoir embrassé le Christianisme.

Toute désertion menant au patriotisme se retrouvait dans les bois et les marécages, où, on ne subissait pas le matracage, réalisé par le blanc au sein de son troupeau.

Croisement signifiait nouvelle peau, pour les blancs, nommés créoles, qui tenaient les principaux rôles. Les mulâtres, qui prônaient la docilité, luttaient contre leur propre liberté. Le créole, qui engrossait ses négresses, n'augmentait que leurs détresses, lorsqu'il revendait ses jolis taureau, c'est à dire ses solides négros.

__L'essayiste__

Après son apprentissage en Algérie, Debré, qui demeurait à Paris, au seizième, 26, rue Dauphine, a été l'essayiste, qui insiste et piétine, après son élection loin de la métropole, afin de se déclarer le créole, transplanté dans la lointaine ile, où, il se voulait député utile.

Quand, l'autonomie fut discutée, il fit du tourisme sa priorité, pour sortir la Réunion de l'anonymat et réduire chez les indigènes l'assistanat, convaincu que les méfaits du racisme, ne conduisent qu'au séparatisme.

Ministre de la Défense se mêlant de toute chose, il fit de la Réunion sa principale cause. En rappelant que du chômage viennent les nuisances, il fit de la Réunion, sa petite France, sans connaissance des us et des valeurs, que conservent les hommes de couleurs. La gauche, son quotidien ennemi, ne proposait que l'autonomie. Les créoles ont changé le fusil d'épaule, ébahis par Mai 68 et son ra-le-bol. Asphyxié, il fut sans aucun égard , par la présence du centriste Gistard, qui recevait les sud-africains, imposant l'esclavage aux êtres humains et par la gauche voyant en lui un simple député. Au purgatoire Debré a été muté. Par les urnes, il fut désavoué, pour l'histoire, il avait échoué, car, l'indépendance fut remise à plus tard. Par le P.S. elle fut mise au placard.

__Les recueils rien__

Les insensés, qui se sont mis à genoux, sont des possédés, qui n'obtiendront rien du tout, en servant les gros matous, les machiavéliques, les dit-tout, qui désavouent les recueils-rien, qui se louent, pour traiter les sages de fous. Comme les tabous résistent partout, tout soit-disant fou sort ses atouts, pour éclaircir ce, qui est flou. Les désaxés n'ont jamais pris le dessous. C'est l'histoire, qui les désavoue et tel fut le cas de Djilali Kobus, qui avait cru obtenir le surplus. Avec ce sahab ouled El Khemis, les invisibles ont connu le supplice. Ce renégat, qui venait de douar Djelida, a constitué un corps de mille soldats, pour combattre la révolution, qui lui parut fragile rébellion. Sous-hommes se sont retrouvés ses partisans, face à Bougarra, soleil éblouissant, qui exigea des dupés, la tête de Djilali, pour qu'ils soient anoblis. La tête, qui lui fut remise sur un plateau d'alpha, leur a permis de combattre Fafa, afin de mourir glorieux chahids, pour désavouer le cupide, qui sema partout la méfiance, y compris chez ceux, qui servaient la France.

__Oisiveté__ «Al khoulta terdi oual djrab yaadi».

La fréquentation trottin, telle que la gale, qui se contamine, donc, agis comme ton compagne, sinon change l'entrée de ta maison. Nous nous croyons devancé, par notre voisin, l'État français. Sur n'importe quel canal, ses télés ne dénonçaient que le mal, que vivait ses lycées, où, les professeurs se disaient dépassés, dès la gratifications des préservatifs et l'autorisation de l'introduction du kif. Tout en narrant la vérité, les périodiques défendaient les libertés.

L'école n'étant plus une caserne, les élèves n'ont subi aucune gêne, en une vie de château, mais, où, baissaient les niveaux. Quand, l'économie joua le vilain rôle, elle fit connaître les ras-le-bol.

Chez nous, elle a produit le hittisme, transformé en intégrisme, qui enfonça l'oisif dans la guerre, avérée néfaste et amère. Dans le vaincre ou mourir, les intelligents, qui ont préféré fuir, ont fait aimer le vie ailleurs, où, on souhaitait notre malheur.

__L'union__

Au fond de mon cœur, il y a El Khemis, qui a participé à tous les sacrifices. De Baghdad, lui est venu Sidi Abd El Qadir. Son mausolée est chéri par les martyrs. L'hôte, qui est venu après lui, est l'homme au bouclier, Sidi Boudarga, que les parents n'ont pas oublié. De la Péninsule, via Ténes, nous est venues la joie et l'allégresse, de Sidi Maamar, qui enterra le célibat. Ej Khemis a été honorée par un inconnu soldat; Sidi El Mdjahed, qui eut droit à un mausolé, vers qui, Sidi Boulfrad s'en est allé. A El Khemis, où, par BOUGARA, nous sommes honorés, nos arrières parents y sont enterrés.

A El Khemis, où, l'on aimait la lecture, nous avions acquis ce qui procure les recommandations et le pardon, ainsi l'acquittement, qui ramène aux raisons. Par celle-ci, nous pouvions nous unir. Dans l'union, nous pouvions tout aplanir.

__Le nostalgique__

En ma ville natale, où, tu es déphase, de toi, on pourra se passer. Nostalgique uniquement pour les français, vas chez eux creuser les fossés. Par ce jos, tu seras récompensé, de là-bas, tu cesseras de nous offenser. De toi, notre ville sera débarrassée. N'étant pas un censé pour être sensé, sur ta tombe viendront cracher les français, qui n'ont oublier l'heureux passé et leurs plaisirs, qui nous agaçaient.

__Ahmed, dit : Si M'hamed__

  Aucun khemissi ne pouvait se targuer avoir connu le regretté Ahmed Bougara, actuellement surnommé ; Si M'hamed.

Comme Mohammed, son frère ainé et le benjamin Madjid, il ne fréquentait point. Je ne l'ai jamais vu dans un café, y compris celui de son père, que gérait Madjid. M'hamed BOUGARASi M'hamed passait pour le sans opinion, totalement écartait des activants du M.T.L.D.

Pareil à un abonné de la S.N.C.F.A., il prenait le train tous les dimanches à 5heures du matin, qu'il quittait à Blida. Étant trop réservé, je n'ai pas cherché à l'accoster. Après minuit trente, nous redescendions du même train, lui étant plus ou moins souillé par la terre.

Ce n'est qu'en 1956 que les khemissis ont commencé à parler de lui. Pour certains, il avait pris le maquis en 1954. Pour d'autres, il avait pris le maquis en 1950, pour échapper aux arrestations opérés à travers tout le territoire, dont, celle de Ben Bella et Mahsas. Il y eut certes des arrestations à El Khemis. Ma mémoire n'a retenu que le nom de Khider, brillant footballeur et le nom de Sallaî, le fils de l'épicier Moha Mansour. Les soit-disant mieux renseignés racontaient que Si M'hamed avait pris le maquis en 1950, afin d'éviter l'arrestation de son frère aîné Mohammed, qui, en réalité, était marié à une française à Alger, où, il était inspecteur des P.T.T. Pour le ralliement rejeté de la clique à Gouget, avant l'ère du député-maire De Calan, Bouharaoua racontait que Si M'hamed avait pris le maquis, dès sa libération de la prison de Blida, c'est à dire avant l'An 1954.

Actuellement, il est dit que Bougara a fréquenté l'école des Arts et Métiers d'Alger et qu'en 1948, il s'est retrouvé étudiant de l'université tunisienne, la Zitouna.

Les deux seuls khemissis, qui avaient fait leurs quatre années d'études à la Zitouna sont Bent Mohammed Ben Lakehal, dit Lamdani et le premier Shahid de la région : Kalkouli Hamdane.

Abd El Kader Bounadja et Hadjadji avait été les deux seuls enseignants formés à la Madrassa d'Alger.

L'école des Arts et Mériers d'Alger (Ruisseau) n'a été fréquenté que par Mohammde, fils de l'instituteur Liassine, natif de Dellys, où, était implante une école d'Art et Métiers. En cette école, Bougara a été le premier khemissi inscrit.

Ou'Aamrane s'est reconnu le disciple d'Ahmed Bougara, au regard de son savoir, concernant le code militaire, l'utilisation des armes, leurs fonctions et divers avantages. Pareilles connaissances ne sont acquises que dans des écoles militaires. Celle fréquentée par Bougara se trouvait à Blida, d'où, il revenait chez lui, souillé de boue. Ses premiers faits d'armes se situent à Bni Misra, dans la région de Blida.

__L'imitation__

Agis comme ton nouveau compagnon ou change l'entrée de ta maison. La fréquentation trottine, telle que la gale, qui se contamine.

Par notre proche, l'État français, nous nous sommes crus devancés. Sur n'importe quel canal, ses télés dénonçaient le mal, que vivait les collèges et les lycées et où, les profs se disaient dépassés, dès la gratification des préservatifs et l'autorisation d'introduire du kif. Tout en dénonçant l'amère vérité, les médias défendaient les libertés. L'École n'étant plus une caserne, l'élève n'éprouvait aucune gêne, vivant une vie de château, où, baissaient les niveaux, avant que l'économie ne joua son tôle, en enfantant les ras-le-bol.

Chez nous, l'Eco a produit le Hittisme, qui se transforma en intégrisme. L'islamisme enfonça les oisifs dans la guerre, avérée néfaste et amère. Dans le vaincre ou mourir, les intellectuels, qui ont préféré fuir, ont fait aimer l'ailleurs, où, on souhaitait notre malheur.

__Même conviction__

Non satisfaits d'être un peuple élu, les juifs se firent les fils de l'Absolu. Pour eux, Yahia (A.S.) ne pouvait pas être le fils d'un vieux. Avec la Vierge, ils furent moins pieux, en souhaitant aux deux cousins à la mort, afin d'augmenter leur confort.

En Palestine, où, il était un enquêteur, Luc, le faux médecin fut un grand voyageur. Pour se rapprocher des résolus croyants, il se fit appeler Jean, tout en se rivant à ses 3° Evangiles, qui paraissent à l'Église utiles. Lié à l'Olympie et l'incarnation, ce grec se voulait prophète à sa nation, mais, la bombe découverte par un jordanien, a divisé les judéo-chrétiens.

A Qumran (Qoum Imran)douze grottes ont révélé la vérité, que la fille aînée de l’Église a rejeté. Elle a remplacé "esséin" par "essénien" pour faire ignorer "Essa" aux Cisterciens, qui imitait Yahia dit Jean Baptiste, l'unique cousin du surnommé Christ.

Talonnée par Rome et ses légions, l'Église a subi les répressions. De Constantin exigeant ses conditions, les moines ont accepté son abjecte réflexion, en faisant de Essa (A.S), le père de la création. De là, découla l'affirmation, au clergé châtiant les populations, obligées d'embrasser la nouvelles religion. Malgré 3 Evangiles bourrés d'altérations, les sectes ont glané leur disparition. Aucun roi n'éprouva son exécration. Sur les croyants pesaient les interdictions, dont la lecture des Evangiles en infini falsification. Aux analphabètes s'offraient des peintures, donnant plusieurs sens à l'Écriture.

Sur l'Islam, l'Église clama sa réprobation, en la déclarant pseudo-religion, jurant que tout savant est une malédiction, que toute maladie est une divine punition et que la modernisation est une prostitution.

Vu l'interdiction de la libre expression et sans pouvoir de persuasion, les intellectuels prônaient l'instruction à leurs moyenâgeuses nations, l'Espagne étant le paraclet de l'initiation...

Pour leurs belles transformations, les musulmans ont subi l'expulsion Les juifs ont écopé la même sanction. Aux algériens, vu leurs crispations, l'Espagne tenta d'enterrer leur passion, en occupant leurs principaux bastions, afin de les exclure de toute navigation. C'est de là que se fit l'appel aux frères de religion. Du triomphe s'en suivit l'association.

Quand, le Moyen-Orient exigeait la séparation, la Régence demeurait notre acceptation, étant affaibli par de multiples incursions, permettant de multiples interprétations, couvrant les flibustiers et leurs relations, dont, Capet était le champion et dont le fils fera de l'Algérie sa possession.

__Douce Amère__

Le passé d'El Khemis, il faut l'écrire. Sans histoire, point d'avenir, à ceux, qui désirent lui appartenir. Si, chaque rue porte le nom d'un martyr, c'est pour évoquer les souvenirs de ceux ; qui, au Paradis, ont rejoint l'Émir . El Khemis est le berceau à chérir, pour que l'émigré cesse de languir. Son unique vœux est d'y revenir, de pouvoir s'établir. En pays étranger, nul ne veut y mourir. Un jour ou l'autre, nous allons partir, pour ne plus y revenir. Évoquer, c'est permettre à l'oral de s'écrire, pour rappeler ceux, qui ont cessé de servir les usurpateurs venus pour sévir.

N'oublions jamais les plus notoires, qui ont étranglé leur espoir, y compris ceux qu'on crut honnêtes et qui aujourd'hui se dénoncent sur Internet, tels que Tellier et Roland Pierson devenus avocats des colons. Au noms des rapatriés du Haut Chélif, ces deux chacals ont sorti leurs griffes. Sans citer le vocable Khemis Miliana, ils rappellent la rue de Paris et la rue de Médéa, où, a vécu la veuve Fuster, non loin du bagne des révolutionnaires, emprisonnés dans le camp de Charleville, baptisé avant la naissance du hameau Affreville.

Feu Benblidia a fructifié notre mémoire, en nous enseignant l'histoire de la région avant celle de la nation, celle de l'Émir en flamme, histoire ne figurant pas au programme. Nous gâtés et heureux sachant qu'on descendait pas des arriérés aux yeux bleus.

Sportif, Roland, qui était courtois et galant, nous paraissait coopérant. Pétainiste, comme son père était Tellier. Jusqu'à sa mort, il a dénoncé les alliés. Il a fait d'eux des gauchos, qui prenaient des Oum El Kheir au lasso. Ces tigresses étaient maintenues en leurs tanières, respectant la tradition et le savoir-faire. Aux Souamaa, se cloîtraient les plus belles, nées de nature, rebelles...

Le terrain de basket était un espace, qui a été transformé en commandement de la place. Par effraction, il a été visité par B.Boualem et Buffalo (Difalou). Ce dernier fils du gardien de la prison y laissa sa peau. Pour les alliés, voulant sortir le village de la torpeur, la mort de cet adolescent fut un malheur.

Mômes, nous avions aimé le saxo et les clarinettes, lorsque le commandant animait la salle des fêtes. Avec les différents corps militaires, les M.P. étaient sévères, aucun bal ne fut organisé par les américains. Le village, qui demeurait calme et serein, a connu l'extraordinaire Burk Lancaster, qui tenait en équilibre en l'air une charrue sur son menton de fer.

Le regretté Nekoud Abdaqa El Boxeur, qui était l'unique traducteur, dans la vaste région de Miliana, était le plus proche de Benblidia. Ce pédagogue ne se souciait que pour les écoliers. Grâce à lui, nous avons visité les avions bombardiers,qui atterrissaient sur le champ des Abbassi Ces Boukera représentaient les khemissis, en tant que garant des commerçants et des malheureux juifs renaissants et non reconnaissants.

Tradition et mémoire obligent. Épineuse, la première est une tige sur laquelle les feuilles s'érigent. Sur chacune d'elles les faits se rédigent. Ces feuilles sont la mémoire, rassemblées, elles racontent des histoires:celles des traîtres aux sinistres visages et celles des illustres personnages, tel que Bougara, dès son jeunes âge. Auprès des siens, il n'était que de passage, car, là, où, l'attendait l'ouvrage, il s'en allait vers l'apprentissage, pour acquérir le savoir et le courage. Retenons les multiples témoignages, qui diffèrent de ceux de Tellier et Pierson, les deux défenseurs de la mafia des colons. Bougara a tué leur poule aux œufs d'or. Bougara les a mis dehors, après sa mort, car, ils n'étaient que de joyeux pompeux, qui ignoraient tout des quartiers miséreux.

Autre aveu, leurs paras s'expliquaient en plantant des têtes sur des piquets, pour dire que tel raïs a trépassé. Notre bien aimé Bougara ne fut que blessé. Comme son corps n'a pas été rendu, face à l'oubli s'érigea sa statue.

__Envasés__

Les têtus, qui s'accrochent au sabotage, n'ont point dénigré la langue page d'un Azzoug, inconnu dans leur voisinage, bien que dépendant d'un site, qui s'engage. Les lâches, qui n'ont pas caché leur rage, ont vilipendé un témoin de leur parage et dont les souvenirs sont un défiant témoignage, concernant la colonisation et ses dommages. C'est à la colonisation, qu'ils rendent hommage, pour faire de la glorieuse révolution un outrage.

Sous des pseudos, ils n'exigent pas le partage. Envasés dans leur marécage,c'est la vieille Qamira, qu'ils aménagent et où, la crise a augmenté le chômage.

L'eldorado, qui n'offre plus la belle image, refoule ceux, qui crachent sur leurs visages.

__L'influence__

Certains, qui, avant la combattante Algérie, avaient libéré de nombreuses colonies, ont fini par rechercher leurs profits. De là découla la nationalisation de ce qui enrichit, sans toucher au lopin de terre, qui appauvrit. Mais il y eut lieu des faits accomplis, dénoncés par le ministre Madaghri, qui ne visait que les colons ayant fui.

Illogique parut le retour des biens d'autrui, pour les jeunes fellah, qui se disaient trahis. Ces jeunes étaient sous l'influence des atteints de nostalgie, les dépourvus du bayane, qui certifie. Ils accusaient le pouvoir d'avoir menti, alors que les terres étaient louées aux nantis et aux héritiers, encartés dans l'unique parti. Les ignorants de Hizb Frasa s'étaient amplement enrichis, sans ouvrir les frontière aux chômeurs du parti, qui n'a produit que l'anarchie.

__Responsables__

Le gangstérisme est devenu une passion, qui rapporte plus que toutes les exigeantes professions Pour les barbus, il est devenu une irritation. Le retour au calme a mis fin aux dégradations, pour que se ressentent les altérations. Le site,qui permet la libre expression, a permis aux pseudos, les provocations, qui autorisent des agitations, contre ceux, qui regrettent la colonisation. Pareil regret aurait atteint une portion de la population. Selon Azzoug, qui en a fait une publication, les khemissis réclament l'humiliation, vécue durant 132 années d'occupation. Le pseudo se suffit d'un point d'exclamation, pour clamer : défaitisme et séparation. C'est la culture reçue par les esprits, que le journaliste Azzoug a traduit, où, tout un chacun encourage l'anarchie, afin que les ratés puissent tirer profit, en s'appropriant le bien d'autrui. Ce vœu est devenu un gros souci. L'inverse se trouve entre les mains de la bourgeoisie, qui soulevait les populations aigries.

Responsables des premiers incendies, les parvenus se méfient. C'est par eux, que tout se qualifie. Leur gestion provoque le tournis, car, ils connaissent les nommés "pourri". La justice sera avec eux et c'est tant mieux.

__Tradition__

Sans vouloir reconnaître la France, il disait avoir aucune référence, après avoir consulté les vivants et les morts, que l'égalité était le poing fort. Pour être explicite, il montra son poing. Parmi les auditeurs, certains ne le comprirent point.

C'est en son programme, qu'il se trompait, car, c'est dans la fraternité que se forge la paix. Nul ne pouvait enterrer la tradition, qui passe de génération en génération. Le fellah ne se voyait pas hors de sa djélaba et ne souhaitait pas émigrer la-bas. Sous la botte, il avait appris à vivre avec le souhait d'être un jour libre. De la narration, son unique culture, il ne cherchait que la glorieuse aventure, celle, qui le conduirait au Paradis. De nos jours, nos enfants affrontent l'interdit, pour démissionner de leurs missions, afin d'embrasser d'autres traditions.

__Pseudonyme__

L'ignorant se déclare réelle vermine, en usant de Casanova comme pseudonyme, en qui, il voit un tombeur de femmes. Le hâbleur, consumé par les flammes, ignore tout des périls de Casanova. Cet imposteur avait son doctorat. Le pseudo, bonimenteur est le prétentieux, incapable de satisfaire ce qu'il veut. Sous ce pseudo, il défie ses maîtres, ses grands pères, qui l'ont vu naître. Sous son pseudo, il se fait méconnaître. Par qui, veut-il se faire admettre. Par ce surnom, il demeure l'inconnu. Entre les longerons, il se rue. Attelé à un ânon, il se verra dessous. Il sera le mulet recevant des coups...

__Friville__

Ma ville, ma grande, ma belle a été dépourvue de ses hôtels. Ceci est une une déclaration de rejet, avouée par ceux, qui se sentent étrangers. Dans l'égoïsme, les parvenus se sont engagés. Avec, les anciens, ils refusent des partager.

Dans ma Friville, El Khemis respire, lors des fêtes de l'Aïd El Kebir. Friville voit les malvenus fuirent, pour rejoindre leurs villes ou douars, pour attirer sur les regards, à qui, ils promettent un gite dans ma ville, qu'ils nomment Friville.

__A Florent Parny__

Savoir sourire, réel plaisir, à la bien aimée, qui passe, pour qu'elle garde ma trace. Aimer, c'est attendre de retour, l'égard et le grand amour. Être aimé est l'espoir, d'être le reflétant miroir.

Qui donnera par erreur, ne goûtera jamais le bonheur, tant que persistera le vide, qui augmentera les rides. Il faut se voir, pour y croire, ce, qui ternit le miroir. Le savoir souffrir, c'est vouloir mourir, en silence et sans murmure. Mon soleil renaît de ses cendre, avec plus d'amour à rendre, en tirant un trait sur le passé. En ma vie, je ne fais que passer. Le vieux, qui maintient jeune son cœur, ne recherche que le bonheur, celui d'autrui et le sien, ainsi que celui de tous les algériens.

Le coup de foudre, balle reçue en plein cœur, n''est pas ressenti par la ou le tireur. En pareil cas, on a qu'à demander la main ou bien avouer son béguin.

__Baraka___

A Carnaval, on a donné une origine païenne, pour mettre fin aux querelles chrétiennes. Un mois après les tristes et onéreuses fêtes de Noël, les protestants de plus en plus rebelles, démontraient hors des temples le réel : les veaux évoquait le repas de la Cène, vers la baraka, les riches y allaient sans gêne. Après, le jeûne, les apaisés se rendaient vers un monticule, pour griller Judas le ridicule.

Le peuple et les apôtres, vêtus de haillons, formaient plusieurs bataillons, encadrant Luc et ses six compagnons, Pilate, Corneille est légions, le nain Shaoul et quelques romains, Hérodia, sa fille et leur commun se donnant la main. Tous étaient reconnaissables à leurs habilles, y compris Barnabé et les grands rebis.

L’Église de Rome a infiltré ses fans, afin de produire des chants profanes, sans éliminer le mardi-gras, qui était carême et qui demeure demi-jeûne.

__Bonaparté malparté__

Sur le sol de la donneuse de leçon, Qamira aime glorifier les colons. Pour qu'ils soient satisfaits, elle fit passer l'Obélisque pour un trophée. Ramenée par le mal parti du Caire, l'Obélisque devait immortaliser son énième guerre. Elle devait décider l'Europe à la concorde, contre les ottomans et leurs vaillantes hordes.

N'étant comparé ni à Hitler et son allié Mussolini, par les français, cer ex-italo (1) a été anobli, après avoir passé pour traîtres : Ali et Yahia, ses deux premiers maîtres.

La Corse a été achetée après la naissance de Bonaparte.

__Hors d'ici__

L'émigré ne s'appuie point sur autrui. En ville, on ne regarde que lui. Lors des festivité, il s'ennuie. Il rentre chez lui avant que viennent la nuit. Sans aucun bruit, son mélange de légume cuit. Le lendemain, la même vie s'en suit. Partout, il ressent qu'on le suit. Partout, l'inquiétude le poursuit. Sans ami, la baisse du moral le détruit. Veilleur une moitié de la nuit, au réveil, son cerveau le retire d'un puits. En retard, de son meublé, il s'en fuit, pour rejoindre un patron non-réjouit...Ainsi, sera la vie, pour tout jeune, qui vit hors d'ici.

__L'abattoir__

Pour ne plus évoquer le système, qui exile et qui tue, sans réflexion, ses séquelles doivent être abattues.

Le code de l'indigénat, dicté par l'illogique loi, ne permettait à l'indigène aucun choix. La mémoire n'a pas besoin d'autorisation, pour dire que le racisme est une sanction, imposée à l'arabe et sa religion, de par les juifs et leurs trahisons.

Par la grande porte, l'Algérie est entrée dans l'histoire, avant que Mendes-France la transforme en abattoir, car, avant le 8 mai, sans procès, Bouras a été fusillé. Non de sa ville, Miliana, hélas, il y avait eu la tuerie de Marguerite, en plus d'inlassables poursuites. Au profit des P.N. n'osant pas se risquer, toutes les terres ont été confisquées. Le fils de l'harki cherche à s'expliquer, pourquoi de nos jours, il est embarqué.

__ La Racaille__

Imparfait mensonge est le coup d'éventail. Duval mérite d'être nommé racaille. C'est assis sur son trône, que le Bey des bey reçoit, tout négociateur dépêché par son roi. Le roi ou le Dey ne raccompagnait un subalterne. Au grand vizir revenait cette peine.

C'est le Dey, qui invite le commis à s'asseoir. Du turc, l'usité est sans savoir. Le Dey ignorait l'arabe et le français. De son traducteur, il ne pouvait pas se passer. Par lui, les difficultés étaient corroyées. Le Duc ne négociait pas avec un dévoyé. A supposer que Duval a été grège, le Dey n'aurait pas quitté son siège, pour repousser l'insolence avec un éventail. Le Dey était entouré d'une élite de taille. Autrement l'incivil aurait quitté le sérail. Pour éviter la pire des pagailles, le roi aurait reçu une accusation, devant nuire l'émissaire de sa nation. Comme, il n'y eut aucun incident, le Dey ne s'attendait point au surprenant débarquement.

Commentaires

  • Khalfi  wahiba
    • 1. Khalfi wahiba Le 09/12/2018
    Rabi yerahmek cher papa tu nous manques beaucoup ta fille qui t aime
  • LOUANCHI
    • 2. LOUANCHI Le 11/11/2013
    HARKIS LES CAMPS DE LA HONTE DAILYMONTION
  • jamel
    • 3. jamel Le 23/02/2013
    merci .....merci.......et merci
    vous ete un PLUS pour ma chere el khemis et vous honorez sa population pour votre ecrit
  • Chantal
    • 4. Chantal Le 06/02/2013
    Bonjour Mohamed Khalfi. J’ai lu avec beaucoup d’attention et d’intérêt l’histoire d’El-Khemis telle que vous la relatez. L’autodidacte que je suis ne possède pas vos connaissances historiques. Par contre, bien que farouchement « anticolonialiste » (ce qui me vaut l’inimitié - mais je l’assume - de certains français, y compris, dans ma propre famille à l’exception de mes enfants et petits enfants qui partagent mes convictions) je ne suis pas tout à fait d’accord, si vous me le permettez, avec certaines idées que vous développez. Je veux parler, en l’occurrence, d’Albert Camus. Vous dites, je vous cite : « Même le communiste Albert Camus avait changé. Il s'est dénoncé en son livre "L'étranger". Il a même dit qu'il préfère à la justice sa mère. Celle-ci est Fafa, qui nous imposait la misère. Bonne fête à toutes les mères en priorité à l'Algérie, la mère prospère ». Avant de poursuivre, je dois vous dire que j’avoue mon inculture … je ne sais pas ce que veut dire « Fafa ». Par contre, lorsque vous dites qu’Albert Camus avait changé. Je ne le crois pas. La phrase que vous citez, sortie de son contexte, pourrait le laisser penser. Mais en préambule, il faut se souvenir qu’à une certaine époque Albert Camus été presque le seul à traiter les Arabes d’Algérie en égaux. Par ailleurs, dans son roman, l’Etranger, il raconte l’histoire d’une homme, Meursault, accusé du crime d’un Arabe. Mais il faut souligner que Meursault est condamné non pour son crime mais pour son comportement asocial. Il présentait l’image déprimante d’un homme qui n’était pas « grandi » ni moralement ni culturellement. En ce qui concerne la phrase que vous citez prononcée par Albert Camus, il faut resituer le contexte. Albert Camus venait de recevoir le prix Nobel à Stockholm en 1957. La guerre d’Algérie (que l’on appelait « les évènements d’Algérie ») faisait rage. Après avoir reçu son prix Nobel, Albert Camus avait donné une conférence devant des étudiants. Au cours de celle-ci, un jeune Algérien l’a accusé d’avoir signé des pétitions pour des pays de l’Est mais jamais pour l’indépendance de l’Algérie. Albert Camus dont la mère vivait à Belcourt dans ce quartier populaire d’Alger qu’elle aimait tant et qui craignait sans cesse pour sa vie (car il faut rappeler que la maman d’Albert Camus était très attachée à l’Algérie - et aux Algériens - et qu’elle ne voulait pas en partir) répondit à cet étudiant la phrase suivante : « En ce moment, on lance des bombes dans les tramways d’Alger. Ma mère peut se trouver dans un de ces tramways. Si c’est cela la justice, je préfère ma mère ». Sans doute ne partagerez-vous pas mon analyse mais je tenais à apporter cette précision même si je le sais, Algériens ET Français sont souvent « partagés » en ce qui concerne cet écrivain. Bonne journée.
  • khalfi   fateh
    • 5. khalfi fateh Le 06/12/2012
    salut cousin et oncle
  • Nasser-Eddine M.
    Cher Maître,
    J'ai lu avec intérêt vos écrits sur la ville d'El-Khemis et ses enfants. Je me suis bien régalé.
    Je voudrais juste vous demander l'autorisation de publier quelques passages sur ma page facebook tout en mentionnant qu'ils vous appartiennent. C'est juste pour les faire connaitre et partager.
    Merci d'avance.
    Longue vie
    Nasser-Eddine Maouche

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