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El-Gusto

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La bonne humeur et / ou : El Gusto - définie la musique populaire du chaâbi, populaire conçue au milieu des années 1920, dans les profondeurs de la Casbah d'Alger par le grand musicien de l'époque, e, l’occurrence Hadj M’hamed El Anka. Cette mélodie rythme l'enfance, de ces jeunes élèves du Conservatoire, arabes ou juifs.

L'amitié et leur amour commun pour cette musique fait oublier la misère, la faim et la soif. Cette musique, les rassemblent, les fusionnent pendant des années au sein d’un même orchestre jusqu'au conflit et ses troubles. El Gusto, raconte avec émotion et... une bonne humeur. Comment la musique a réuni ceux, que l'Histoire, a séparés il y a 50 ans ?

Préambule  

El Gusto, c’est l’histoire d’un groupe de musiciens juifs et musulmans, séparés par l’Histoire il y a 50 ans, et réunis aujourd’hui sur scène pour partager leur passion commune : la musique chaâbi. Cet article est une ébauche concernant un film documentaire à la fois français irlandais et algérien intitulé : El Gusto. Ensembles, ils fredonnent des chansons qui racontent leur vie, celle des anciens... de la musique chaâbi, celle de Hadj El Anka et les autres.

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C’est quoi au juste le style El Gusto ?

El Gusto : C’est tout d’abord, le chant chaâbi qui fut créé pendant l’occupation française. Un orchestre regroupant des musiciens (juifs-Italiens-Espagnoles et arabes), composé généralement d’instruments typiques et atypiques : Derbouka, Kanoun, Banjo, mandoline, guitare simple, ney, tar, le cheikh et environ 5 à 08 personnes. Le chant chaâbi est resté pendant très longtemps un style de musique très apprécié et même beaucoup adulé. Il est resté pendant une décennie un chant très estimé de par son tempérament surtout de par ses nuances. Ses chansons, marquent les esprits, les envoûtent et les ensorcellent. Quant à la musique, elle recèle beaucoup de teintes et d’intonations. Habituellement avec une entrée (istikhbar) renversante et palpitante suivie par des permutations et répliques alternatives et cadencées. Avec l’apport de musiciens qui obéissent à l’œil et au doigt du cheikh. Chaque geste est observé, étudié, pris en charge, même les gestes anodins sont également examinés et soignés.

Afin de ne point perturber l’osmose qui découle de l’enchainement dont elle s’établit grâce aux instruments de ces doyens. Ils sont là, les cheveux grisonnants, le geste et le mouvement d’une lenteur qui faisait très peur, mais les doigts étaient agiles et plus perfectionnés. Ces doigts ont jadis fait le bonheur de milliers de personnes. Ils incarnent le passé et le présent. Les instruments sont bichonnés, astiqués et les nettoyés comme de véritables bébés. Notre amie Safinez Bousbia (documentaire) n’a pu résister non seulement aux paroles écoutées, qui sont très condensées et enivrantes. Elles permettent à l’esprit d’être immédiatement saisi, fasciné. Donc, elle suit avec une admiration et un intérêt particulier. C’est cela le chant du chaâbi. Autrefois, et, surtout à ses débuts, pendant l’occupation, il était destiné aux pauvres et les miséreux ainsi qu’aux malheureux, aux emprisonnés et surtout aux marginalisés afin d’apaiser leurs souffrances, ce chant est un véritable pansement afin d’atténuer leurs douleurs de la misère qui a atteint des dommages  jamais exposés.

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Qui est Safinez Bousbia ?

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  Safinez Bousbia, une irlandaise d’origine algérienne, à l'époque étudiante en architecture vivant à Dublin (Irlande).La trentaine (28 ans). Elle est venue à Alger pour la première fois en compagnie de son amie Nesrine (elle aussi algérienne) qui l’a beaucoup encouragée à vouloir coûte que coûte venir visiter son pays. Elle découvre et rencontre,  pour la première, des anciens musiciens du chaâbi, une musique qui l’a immédiatement envoutée et ensorcelée. A cet instant précis son destin a pris littéralement une autre tournure voire une autre dimension. L’emballement de la musique, sa portée, la profondeur des paroles, traduites, expliquées et surtout la chaleur de l’orchestre, ont eu surement raison sur notre petite amie Safinez. Ils ont certainement éveillé en elle ses propres origines et surtout son sang.

 

 

 

 

La fameuse rencontre…

Tout s’est déclenché, en 2003, lors d’une balade dans la Casbah d’Alger. Le regard de Safinez Bousbia, fut attiré par un miroir à l'extérieur d'une boutique. Elle décida d'entrer et fit alors la connaissance de Mohamed Ferkioui, le miroitier. Plus intéressé par lui raconter son histoire que de lui vendre le miroir, il saisit un album photos en noir et blanc et à chaque page, il lui racontait une nouvelle histoire. En discutant avec lui, elle découvre les annales d'une musique populaire algérienne, appelée : le Chaâbi. Sa grande fierté, à l’époque, était d'avoir intégré la première classe de musique Chaâbi, au conservatoire municipal d'Alger, dont le professeur était Hadj El Anka, père fondateur du Chaâbi. Il se remémorait ses amis de l’époque qu’il n’avait pas vus depuis plus de 50 ans.

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Émue par l'histoire de cet homme, Safinez s’est mise en quête de retrouver les musiciens qui partageaient avec lui cette passion, avant les événements douloureux qu'avait connus l'Algérie. Au lendemain de l'indépendance l'orchestre part en éclats vu qu'il comptait des musiciens étrangers (juifs, espagnols et italiens) tous partis en France en 1962.

Renaissance du groupe

Cette séparation et l'émotion qu'elle a suscitée chez le vieil accordéoniste donne à Safinez l'idée de rassembler les membres de cet orchestre après 50 ans de séparation. Elle voulait les regrouper et en faire un grand orchestre, composé de plusieurs musiciens et plusieurs instruments, ne serait-ce que pour faire plaisir à notre ami Mohamed Ferkioui, pourquoi pas un film documentaire ?  Elle avait une envie folle de faire regrouper ces anciens qui ont galéré dans divers horizons,  Au fil du documentaire, la réalisatrice retrace l'histoire de la musique chaâbi et son évolution dans la société algérienne en se basant sur les témoignages des premiers élèves d'El Anka tels qu'Ahmed El Bernaoui ou Robert Castel fils d'un des plus grands noms de la musique algérienne.

De l’époque de Lili El Abassi. Des deux rives de la Méditerranée, tous ces musiciens, âgés et malades pour certains, déploraient le fait d'avoir perdu de vue les membres de la famille musicale qu'ils formaient "à partir de là, le projet consistait à retrouver et réunir tous les membres de l'orchestre encore en vie, et non réaliser un documentaire", disait Safinez Bousbia qui estime que "le film et la musique viennent après la rencontre et l’aventure humaine.

Elle n'a pas arrêté ses prospections uniquement aux portes d'Alger. En France, elle a retrouvé les musiciens qui avaient quitté l'Algérie à l'indépendance. Loin de leur terre natale, ils ont perpétué et transformé le chaâbi. El Gusto, le film, se termine sur leurs retrouvailles.

La réalisatrice, irlandaise d’origine algérienne, a cherché  et trouvé les survivants de l’âge d’or du chaâbi (musique populaire d’Alger), qui faisait danser les musulmans et les juifs). Elle a ensuite recueilli leurs souvenirs et provoqué la formation de l’orchestre  El Gusto  dont elle a capté les premiers concerts. La forme  du film n’est pas tout à fait à la hauteur de cette histoire souvent tragique.

Il a fallu plus de trois ans pour les retrouver et les réunir. Un concert de retrouvailles des membres de l'orchestre El Gusto fut organisé, en 2007, à Marseille. Devant le succès inattendu, l'orchestre prit son envol et partagea alors cette musique dans les salles les plus prestigieuses. Elle porta à l’écran cette aventure humaine, et en 2012, le film El Gusto sortait en salle.

Traditionnellement, les orchestres  Chaâbi sont composés de 5 à 10 musiciens. Or, pour la première fois, El Gusto présente un orchestre d’envergure (grande ampleur) (une vingtaine ou plus de musiciens), qui transpose la joie et la bonne humeur des quartiers populaires dont ils sont issus (« Gusto » signifiant « la bonne humeur »). Ensemble, ils fredonnent des chansons qui racontent leur vie, celle des dockers, des mariages, les ambiances des cafés. Certains des musiciens ont été étudiants de la première classe de musique, dirigée par le fondateur de la musique Chaâbi – Hadj El Anka - les autres appartiennent à la nouvelle génération des musiciens du Chaâbi. Ces descendants, issus de différents exils, soutiennent la préservation de cette musique comme celle de leur propre histoire. L’orchestre El Gusto définit ainsi la musique Chaâbi d'aujourd’hui: un art populaire en constante évolution.

L'histoire est belle, sans doute plus que le film lui-même, un peu appliqué. Par moments, les souvenirs déchirants de la guerre ressurgissent, quand un musicien explique comment il est resté invalide après avoir été torturé par les troupes françaises. Le chaâbi était aussi la musique des fêtes & mariages).

Ces spectres restent en lisière d'un film qui vise d'abord l'optimisme et permet au moins de rencontrer une série de figures extraordinaires qui rappellent que l'Algérie n'a pas été seulement un champ de bataille.

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                                 El Gusto, Safinez Bousbia et les photos de l’orchestre…

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Par DEGHRAR Djillali

Commentaires

  • Mohamed
    • 1. Mohamed Le 27/01/2018
    Bonjour Monsieur Djillali.
    et là il n'y a eu que le jour et la nuit qui ont changé de pole ,le mot BON est bien resté pour nous.

    L’ experience d’amitié nous a mené à dire qu’un mot aimable vaut bien que tous les cadeaux offerts et plus et c’est surtout quand il sort de notre bouche .
    Je n'aurais été plus triste si vous n'aviez employé ce mot gymnastique si bien employé de votre part à mon egart.
    Dans mon ecrit je n'ai nullement cité votre bon article par contre j'ai voulu savoir ce que voulait dire el gusto et voilà je tombe sur ce musicologue qui sait apprecier la musique chaabi en donnant son propre avis sur l'orchestre el gusto je l'ai cité ,je crois qu'il n'y a aucun mal jusqu'à me faire une seance de gymnas pour comprendre la vraie portée d'un gout pour etre si ravi de me voir tout content .
    Vous m'en parler d'une jeune fille où je vois que tout le merite lui revient d'avoir pu reunir tout un monde plein d'harmonie qui a bien voulu faire un retour à ses sources de jadis. je ne peux me contredire de l'avoir citée ..
    Je crois que les choses sont bien claires maintenant.
  • deghrar djilali
    • 2. deghrar djilali Le 27/01/2018
    Monsieur Mohamed , bonsoir

    Ya khouya Mohamed,.Personne, je dis personne ne peut et ne pourra ni échanger ou déformer comme vous le dites la chanson chaabi.
    Il est ancré dans les moeurs et les esprits des gens. Cette jeune fille avait voulu rassembler tout ce beau monde uniquement; au départ,pour faire plaisir à Mohamed Ferkioui le miroitier.Ensuite vint l'idée de monter un grand orchestre. Rappelons que la jeune femme Safinez Bousbia est née à Dublin et passé toute sa jeunesse en Irlande. Donc, à mon avis les données sont claires

    Djilali qui vous remercie amplement et merci
  • Mohamed
    • 3. Mohamed Le 25/01/2018
    Bonsoir monsieur Djillali
    IL faut bien dire la vérité un jour ou l’autre, oui j’ai fait un peu de gymnastique comme vous le dites mais à mes doigts seulement et sans trop de peine pour écrire un mot et le comprendre mais je dois vous dire aussi que là où j'etais pleinement satisfait de mes doigts c'est que j’ai jamais emprunté une plume pour écrire un mot. Que meme si on doit l'emprunter pour écrire un tel article comme le votre on doit s'attendre à repondre à des critiques bonnes ou mauvaises et qu’on doit bien les accepter.
    et ce que j'ai ecrit ne vous touche ni de pres ni de loin .CE musicologue a dit ce qu'il pense il y a belle lurette avant meme que votre ecrit ne soit étalé que l'orchestre /EL GUSTO EST UNE DEFORMATION DE L'HISTOIRE DU CHAABI.
  • Kéryma
    • 4. Kéryma Le 25/01/2018
    Bonsoir Djillali,

    Tout comme Meskellil je n'ai pu visionner les vidéos, mais, mais je suis allée sur youtube et je me suis régalée!!
    Le cha3bi n'est pas uniquement pour les hommes, les femmes sont capables de le chanter aussi bien et l'apprécier, bon là les femmes sont bien placées pour faire les youyous et c'est très beau (je trouve).
    Mes parents Allah yerham'houm écoutaient très souvent ech3abi , seulement il faut savoir une chose que ces chansons pour certaines, sont intraduisibles car beaucoup d'incongruités dans les textes. (ce, qui peut faire le charme de la chanson cha3bi aussi). Cette information un grand connaisseur en chanson cha3bi me l'a dit un jour! Et puis il y a ce langage particulier du cha3bi, personnellement il y a des mots que je ne comprends pas, est-ce de l'argot algérien? Possible.

    Bonne soirée ,
    Kéryma,
  • ddghrar djjilali
    • 5. ddghrar djjilali Le 25/01/2018
    Monsieur Mohamed, bonsoir

    je suis content pour vous d'avoir pu et grâce à l'article d'avoir fait tte cette gymnastique pour bien comprendre la vraie portée d'el gusto. et c'est bien pour toi.Je suis content pour vous.

    Djilali
  • djilali deghrar
    • 6. djilali deghrar Le 25/01/2018
    Meskellil, bonsoir
    Ravi de voir que vous vous intéressez au chaabi, je pense que c'une musique d'hommes par contre peu de femmes l'apprécient

    El Gusto est un mot espagnol qui veut dire certainement la bonne humeur ou autre chose comme cela, cela s"écrie avec "u" parce que c'est espagnol et cela s'écrie avec "o" parce que c'est la traduction directe, on l'écrit comme cela se prononce.

    Dommage d'avoir raté la vidéo et le film, c'est intime et c'est profond on se sent en famille.

    Djilali et encore merci
  • Mohamed
    • 7. Mohamed Le 25/01/2018
    Comme j'ai fait un peu l'espagnol sans le parler je me suis rappelé de ce mot « el Gusto « et que je me suis dit mais ce mot là on l'a entendu dire et redire maintes fois par notre prof d’espagnol et qu' il le répétait sans cesse el Gusto !!! el Gusto . Mais pour le prononcer il disait el Ghusto !!! el Ghusto et bien à haute voix .
    On croyait que C’était pour nous le faire entendre mais nous ne l'avions jamais compris pour l'apprendre . le temps a passé et voilà que ce mot revient pour moi en actualité.
    J’ai vu maintenant que je dois au moins pour le parler chercher ce que dans Wikipedia veut dire ce mot pour le recopier et l’écrire sans fautes
    Alors sans peine à ce travail de recherche j’ai abouti à ce que je voulais et j'ai trouvé que "el gusto" veut dire gout en terme"hispanique".
    Donc en ce temps là Notre prof d’espagnol voulait tout simplement nous faire apprendre pour prendre vraiment part à son cours entendre de sa bouche que c'etait le gout et pas autre chose qui nous manquait le moins .
    Tout satisfait de ma découverte après tant d’années dans mon ignorance que me voilà en allant plus loin dans ma lecture j’ai trouvé un article qui parle de ce « el gusto « par un certain Nacereddine Baghadi non pas le sportif bien connu dans les arènes du sport mais un musicologue .DE son avis propre il dit que el Gusto est une déformation de l’histoire du Chaabi .
    L’article a été publié sur une page d’El Watan le 07-08 2012 par Fayçal Metaoui . D’apres l’ avis de ce musicologue il faut entreprendre des actions pour contrecarrer cela .
    Non pas qu’il veut parler à venir en travers de ces retrouvailles d’amis après tant d’années, mais à cette musique née à la Casbah qui prend d’après lui la dérive .
    Ce musicologue le dit aussi en ces termes : cet orchestre el gusto ne fait pas dans le Chaabi .IL fait de la chansonnette.
    Comme je ne m’y connais rien en musique je n’ai fait que copier et coller ce qui a été dit dans un article j'ai peur quu'on me reproche d'avoir à parler de ce qui ne m'interesse pas car j’ai eu ma claque un jour et il m’en a bien couté d’avoir dit à un fan du chaabi qu’au bord de la mer on doit écouter « laissons la plage aux romantiques » au lieu d’écouter « bahr ettoufane. »
  • Meskellil
    • 8. Meskellil Le 24/01/2018
    Je viens d'essayer de visionner les vidéos mais elles sont, nous dit-on, bloquées dans ce pays, donc en France! Tant pis pour les zmigryas, et saha fi elli fel Bled! Ben ya pus ka s'rabattre sur YouTube en espérant qu'elles sont disponibles. Il y a quelques temps, on pouvait les regarder!
  • Meskellil
    • 9. Meskellil Le 24/01/2018
    Bonsoir Djilalli,
    Bonsoir à tous,

    Ah le cha3bi, et El Anka, son maître absolu ! Tout un art de vivre, là aussi ! Une sublime poésie ancienne mise en musique alimentée de diverses influences dont la musique andalouse. Le cha3bi, populaire par excellence, a su s’imposer développant ainsi son cachet propre, unique en dépit de ses détracteurs puristes de la musique classique d’El Andalous. Une langue populaire et un vocabulaire très riches que la métaphore fleurit, souvent si complexes que seuls ceux initiés ont le privilège de comprendre pleinement. Je suis allée voir le film à sa sortie, et aussi assisté un des concerts du groupe El Gusto. Il n’y avait pas l’ensemble des musiciens à ce concert, je suppose que c’était difficile de réunir tout le monde à chaque fois, mais le plaisir n’en était pas moins grand, surtout avec les youyous qui me donnent toujours la chair de poule dans ce type de manifestations en France. El Gusto, c’était surtout une merveilleuse aventure humaine, l’histoire d’un élan humain fort ou la joie de se retrouver après tant d’années. Un défi de taille d’arriver à rassembler autant de musiciens et d’offrir ce patrimoine commun où les frontières de toutes sortes étaient balayées. Festif, léger ,rempli de joie et de bonne humeur, une rencontre humaine hors du commun parque complètement improbable !

    Merci beaucoup Djillali, j’ai apprécié votre texte et j’ai eu aussi beaucoup de plaisir à le lire et le relire, c’est un thème qui me parle. Bravo pour cette belle et originale initiative, pleine de fraîcheur et de mélodies cha3bi.

    Au fait pourquoi écrit-on el gusto alors qu'on prononce el gosto. El gosto s'apparente aussi un peu à sosta un mot italien non, dans le sens tranquillité, bien-être selon la traduction d'amis Italiens?
  • Brahim doudi
    • 10. Brahim doudi Le 24/01/2018
    Ah, comme c'est agréable d'écouter de tels morceaux de chaabi.Ya si EL Djilali, tu nous as trouvé notre point faible qui est le chaabi, merci beaucoup d'avoir pensé à nous.

    Brahim
  • abdelkader berkouci
    • 11. abdelkader berkouci Le 24/01/2018
    Salut Monsieur Djilali,

    Merci de nous avoir relaté cette histoire de chaabi. Surtout avec cet orchestre dépassant la trentaine et ces fabuleux musiciens, vieux, certains obèses,d'autres maigres aux gestes très lents mais aux doigts très agiles.

    Tu nous a fais revivre un temps radieux et agréable.nous vous sommes très reconnaissants
  • el gusto
    • 12. el gusto Le 24/01/2018
    A ceux qui sont intéressés à voir le film El Gusto



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