Les feuilles mortes

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 " Tout nous échappe sans cesse, même les êtres qu'on aime.

 Mais reste la certitude que certains moments ont été ce qu'on appelle le bonheur."

 

 "Se souvenir est facile pour ceux qui ont de la mémoire, mais oublier est difficile pour ceux qui ont du cœur. "

 

Une chanson vous touche d’autant plus profondément que l’on se sent personnellement concerné par son contenu et que l’on peut apprécier la mélodie.

 

 A  Dida

Cœurdialement

 

Le Ziton

Par le ZITON

Commentaires

  • GM et Fiston
    • 1. GM et Fiston Le 21/05/2023
    Gm il est minuit passé ,et tu ne dors pas? as-tu encore mal de tes vieux os Gm.
    On ne dit pas Os ,pour une Gm ,fiston soit au moins indulgent envers moi.
    Tu sais Gm,le boucher m'en parle souvent de ses os de veau qu'il t'offre pour ce remede de tes OS que c'est devenu pour moi facile de dire OS qu'autre chose.
    Essaie la prochaine fois de dire "articulations" c'est plus commode en langage.
    Pour moi c'est facile de dire un mot de deux lettres que dire un mot de treize lettres quand le mot est kif kif.
    Arrete je t'en prie pour moi , C'est encore les articulations des genoux qui me font toujours souffrir par ce froid intense.
    Mais je te vois toute en larmes Gm, qu'est ce qui te fait pleurer encore en pleine nuit.
    Une bien triste fin d'une feuille comme celle que je vois mourir devant moi Fiston.
    Gm ,on en voit le sol plein de feuilles mortes ,est ce qu'on doit les pleurer aussi .
    Chaque feuille vit et meurt tout comme TOI et moi fiston .
    Raconte moi son histoire Gm, peut etre que je pourrai verser une larme aussi.
    Faut- il que je plus tard te raconte son histoire fiston?
    Oui Gm, quand plus tard je serai écrivain je la raconterais
    AlorsSI je commence mon histoire , tu dois saisir chaque parole..
    Par la force de la nature ,j'ai bien des oreilles à moi Gm et de cette feuille j'en garderai son histoire. .
    voila Fiston c'est l'histoire d'une feuille que ,j'ai du retirer d'un livre unique de lecture pour toi du grenier de l'école, et je ne peux te raconter que .
    Mais pourquoi juste sa fin Fiston ?
    Quand je terminerai mon histoire Gm je n'aurai plus rien à rajouter sur elle Elle sera "une feuille morte" Gm .
    Je t'écoute Gm ., je t'écoute …
    C'est l'histoire de la vie et la mort d'une feuille .
    C'est le printemps. Le hêtre du vallon s'est couvert de bourgeons, et puis, un beau matin ,tous ces bourgeons ont éclaté ensemble pour laisser passer des milliers de petites feuilles vert tendre..Elles sont encore plissées, collées mais déjà elles s'étirent au soleil et bavardent comme des pies. Raconte, raconte ,grand-mère! crient-elles toutes ensemble.. "S'il te plait ! ajoute d'un air suppliant la dernière-née qui est encore assise dans la petite coque brune et gluante de son bourgeon.
    Grand-mère, c'est une vieille feuille de l'année dernière ,qui est restée par miracle attachée sur sa branche, tout en haut de l'arbre. Elle est d'une drôle de couleur brunâtre, ridée, recroquevillée, et si sèche qu'on a toujours l'impression qu'elle va se casser en parlant. Mais quelle curieuse histoire elle raconte! C'est l'histoire de sa vie ,et ce sera aussi ,parait-il ,celle de toutes ces petites feuilles qui l'écoutent. Aussi ne se lassent -elles pas d'entendre sa voix tremblante.
    "Est-ce vrai ,grand-mère ,que tu as été aussi verte que nous?
    ----Bien sûr, mes petites! Au printemps dernier, j'étais toute jeune et verte. Quand j'ai fait craquer mon bourgeon, j'étais bien la feuille la plus grosse et la plus robuste de tout le hêtre.
    ----Et puis, et puis …
    ----Et puis,je suis devenue une grande belle feuille ,toute lisse. Ah! Qu'il faisait doux et chaud au soleil ,pendant l'été. Le ciel était bleu ,bleu… Il y avait un petit oiseau qui venait tous les jours chanter sur ma branche . Quelle vie !Quelle belle vie !
    -----Est-ce que ce sera bientôt l'été ,grand-mère? ----Mais oui, l'été est bientôt là .Vous verrez comme il est beau. Mais ensuite, hélas ! viendra l'automne.
    ----Comment sait-on quand c'est l'automne, grand-mère ?
    ---Ah! soupire la vieille feuille. On le voit bien vite. Le ciel n'est plus si beau ,le soleil est moins chaud.
    " Et votre robe, votre jolie robe deviendra jaune.
    ----- Jaune ! crient toutes les feuilles stupéfaites .
    ----- ,Jaune , reprend tristement grand-mère .
    " D' abord d'une couleur jaune de citron pale , puis d'un beau jaune d'or. Ah ! comme nous étions fières de nos robes dorées! Ensuite elles sont devenues rouges, rouge écarlate, et c'était encore plus beau…Puis le vent a commencé à nous faire danser…
    ----Danser ! répètent des voix incrédules
    ----Au début, c'était bien amusant ,et nous trouvions cela charmant . Mais le vent est devenu de plus en plus fort.Il nous secouait ,nous secouait toujours plus,tellement que nous étions bien fatiguées de danser. Et comme il faisait froid !... Nous en tremblions sur nos tiges .
    " Et puis un matin, le vent s'est fâché .Il a soufflé, wouf !sur notre pauvre hêtre ,et j'ai vu une à une mes compagnes qui s'en aillent…Ensuite, mes petites, je suis restée toute seule en haut de ma branche.
    Et l'hiver est venu.
    "Cent fois j'ai cru que ma tige allait se casser .Et ma belle robe rouge est devenue brune et fripée. J'étais vieille … Alors j'ai connu des heures bien tristes ,jusqu'au jour où une hirondelle m'a éfffleurée,en passant ,de sa queue fourchue. " C'est le printemps ,le printemps ",criait -elle en volant.
    "Le printemps ! Je ne pouvais y croire . Mais oui ! Le soleil brillait ,les oiseaux se remettaient à chanter .Peut-être allais-je redevenir verte et jeune comme l'année dernière ?
    Le hêtre s'est couvert de gros bourgeons luisants, erunet je vous ai vues naitre une à une.
    Mais j'ai gardé ma vieille robe brune" .
    Moi je n'aura pas peur du vent, se dit la petite feuille .Comme j'aimerais avoir une robe dorée et m'envoler dans le ciel! Comme j'aimerais danser toute la journée! Ah! quand donc viendra l'automne?.
    L'automne vint plutôt qu'on ne pensait. Un matin en se réveillant ,la petite feuille vit que sa robe ,comme celle de plusieurs de ses compagnes ,était légèrement teintée de jaune. "C'est l'automne, c'est l'automne !s'écria-t-elle tout excitée. ---Ah! dit la vieille en les regardant .Oui, voilà l'automne. Pauvres petites!"
    Mais la petite feuille était ravie. --"Grand-mère, est ce que je vais commencer à danser?" Justement le vent s'approchait à ce moment. "Tiens voilà une feuille qui veut danser! "dit-il. Et il souffla doucement sur l'arbre ,où toutes les feuilles se mirent à bouger, à se saluer, à se courber sur leur tige. La petite feuille trouvait cela délicieux. De jour en jour ,sa robe devenait plus jaune ,et puis ,un matin ,sa robe fut rouge écarlate. " Ah! pensa -t -elle, je vais bientôt m'en aller !".
    Ce jour-là,le vent souffla de toutes ses forces. Et tout à coup, la petite feuille se sentit saisie ,emportée: frrrt ,sa tige se détacha doucement ,elle s'envola dans le ciel. " Je pars, je pars ! cria-t-elle ..Adieu, grand-mère!"… Mais il n'y avait plus personne sur la branche .La vieille feuille avait disparu depuis longtemps sans qu'elle s'en aperçoive.
    Elle en fut un peu triste, mais à ce moment il y a eu un grand coup de vent .Trois de ses compagnons vinrent la rejoindre, et elles se mirent à tourner en rond ,comme des folles à toute vitesse. C'était le jeu le plus amusant qu'on ait jamais connu. Elles couraient, couraient, couraient dans l'allée, sautaient et voletaient un moment ,puis se remettaient à se pourchasser. Enfin deux d'entre elles ,fatiguées, renoncèrent à jouer et se couchèrent au bord du chemin. La petite feuille, elle, était infatigable. "Allons voir le monde!" cria-t-elle à l'amie qui lui restait…
    Le vent les prit dans sa grande main et les souleva cote à cote. Vlan! il les lança dans le jardin.
    La petite feuille et son amie sautèrent par-dessus la haie et se retrouvèrent en plein champ."Que c'est amusant de voler! criait la petite feuille. Regarde, regarde, nous allons passer un ruisseau!!".Mais sa compagne était trop fatiguée. La petite feuille la vit dégringoler, tomber sur l'eau et s'enfuir comme un bateau entre les herbes.
    Elle aurai voulu la suivre du regard ,mais elle fut elle-même emportée par une énorme bouffée de vent . Elle s'envola haut ,haut pardessus des prés, des jardins ,des maisons. "On doit me prendre pour un oiseau ",se disait elle avec fierté..
    Elle arriva au-dessus d'un jardin inconnu, franchit un mur couvert de mousse et soudain comme le vent l'abandonnait, elle tomba doucement sur une main …Oh! Quelle jolie feuille !dit une voix de jeune fille. Elle vient tout droit du ciel .Je la garderai toujours… .La petite feuille sentit qu'on la prenait délicatement par la tige. Elle fut posée bien à plat sur la page d'un livre ,et clac! Le livre se referma. Le beau voyage était fini…
    Mais qu'il faisait donc sombre dans ce livre!"Ce doit être cela, l'hiver ,se dit la petite feuille.Ah!c'est bien triste ! Grand-mère avait raison !"
    Pendant des années, elle dormit entre les deux pages.
    De temps en temps, une dame prenait le livre, l'ouvrait, et regardait la feuille rouge avec tendresse et melancolie.Puis le livre fut oublié, plus personne ne vint l'ouvrir.
    Un jour, pourtant ,la petite feuille revit la lumière.
    ---"Ce doit être le printemps", pensa t -elle .
    Elle vit une chambre claire, une cheminée où brillait un grand feu. Une voix de jeune fille qui disait: "Maman aime beaucoup ce livre .Mais pourquoi y a-t-elle laissé une feuille sèche?" .Une main prit la petite feuille et la lança dans la cheminée. La flamme s'en saisit .L'espace d'une seconde, se tordit pour crier adieu ,adieu à ce monde .Puis elle devint elle-même une belle flamme brillante, et bientôt il n'en resta plus rien .

    Mais et si c'est l'IREEL de ce que tu viens de me raconter Gm on ne devra pas pleurer tout le temps comme tu le fais .
    Toi ,Tu trouves toujours quelque chose d''irréel dans mes histoires ,fiston
    Si Tu me donnes juste une preuve que les feuilles parlent et meurent je vais croire ton histoire Gm.
    Je t'ai raconté de tout mon cœur l'histoire des "feuilles mortes" et croire comment une feuille nait et meurt dans la nature.
    D'accord Gm, cette fois ci je vais fermer les yeux et te croire ,mais tout ce qui est du réel après entre toi et moi ,on en parle plus Gm..
    Enfin tu te décides fiston à dire ta vérité en plein jour .
    Mes paroles ont été toujours une verité Gm sois -en certaine.
    Tout ce que je souhaite c'est q'Alger-Miliana puisse t'entendre aussi pour filtrer tes paroles du vrai au faux
    Tu penses vraiment qu'elle le fera Gm.
    Les jours qui viennent vont nous le dire Fiston .Et pour ça je suis bien devenue patiente MAINTENANT;
  • BELFEDHAL Abderrahmane
    • 2. BELFEDHAL Abderrahmane Le 19/05/2023
    Dans l’ombre de ma vie solitaire,
    Je me perds dans les méandres de la tristesse,
    Le cœur lourd, chargé d’une peine amère,
    Je marche sans but dans l’obscurité qui m’empresse… extrait d’un poème via internet.
    A toutes et à tous bonsoir… deux poèmes… deux états émotionnels…un poète partagé entre la joie et la tristesse. Nous allons d’ici peu effectuer un voyage solennel la ou les souvenirs heureux s’entrelacent dans une brume insouciante qui s’efface au petit matin. Demain dès l’aube a l’heure ou blanchit la campagne…et c’est l’ouverture vers le chagrin et les douleurs déclenchées par la perte cruelle de Léopoldine, cet enfant bien aimé du grand poète Victor Hugo… criant tout haut , la poésie a laissé entendre « et mes larmes , telles des gouttes de chagrin ont envahi mon âme assombrie ». Le dictionnaire Le Robert définit la tristesse comme un état affectif pénible et durable, envahissement de la conscience par une douleur morale qui empêche de se réjouir du reste. Le dictionnaire Larousse de son côté définit la tristesse : l’état de quelqu un qui éprouve du chagrin, de la mélancolie et de l’affliction. Jean de la fontaine a dit : Sur les ailes du temps, la tristesse s’envole…Deux poèmes…Deux états émotionnels… Un seul poète… Le père de la légende des siècles. Poète des ombres et des lueurs qu’en est-il de tes profonds chagrins ? Dans une méditation de désespoir et de déception, le poète nous livre ses émotions…Majestueusement le livre des temps s’ouvre à nous ! L’amour filial en lettres de feux et de douceur, avait déjà outre passé l’aube des rencontres.
    Demain, dès l’aube, a l’heure ou blanchit la campagne,
    Je partirais. Vois-tu je sais que tu m’attends.
    J’irais par la foret, j’irais par la montagne.
    Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
    Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
    Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
    Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
    Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
    Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
    Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
    Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe,
    Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur… voilà un voyage qui prend fin. La fin du poème nous apprend que cette personne à laquelle le poète s adresse et qu’il part retrouver est en fait morte… Dans l’annuaire des poésies, les âmes poétiques ont laissé entendre : Je marche sans but dans l’obscurité qui m’empresse, et mes larmes, telles des gouttes de chagrin, ont envahi mon âme assombrie.
    Le même auteur dans un éclat de bonheur nous invite à suivre pas à pas ses éclats de joie qui illuminent sa vie…
    Dans chaque sourire, je trouve un écho,
    Des éclats de joie qui illuminent ma vie,
    Les rires éclatants, un véritable cadeau,
    Réchauffant mon âme l emplissant d’harmonie,
    Les matins doux, baignés de lumière,
    Réveillent mon esprit avec douceur,
    Et dans le chant des oiseaux, une prière.
    Une symphonie céleste qui apaise les âmes.
    Chaque jour est une promesse de bonheur,
    Un chemin parsemé de moments précieux,
    Je savoure l’instant sans peur ni rancœur,
    Et je célèbre la vie dans toute sa splendeur.
    Les deux poèmes du même narrateur font état de sentiments controversés, la tristesse et la joie la main dans la main montrent à quel point nous sommes exposés à de différentes situations de la vie capables de déclencher en nous aussi bien la tristesse que le bonheur. Wikipédia définit le bonheur comme un état émotionnel agréable équilibré et durable dans lequel se trouve quelqu un qui estime être parvenu à la satisfaction des aspirations et désirs qu’il juge importants. Que dire de cette dualité baignant entre joie et tristesse ? Quelqu un a laissé entendre : le bonheur ça se crie, La tristesse ca s écrit. Qu’en pensez-vous ? Une réponse m est parvenue…Si tu partages ton chagrin, tu auras la moitié de ta tristesse, si tu partages ta joie, tu l’auras en double. Les feuilles mortes retrouveront certainement la joie de revivre avec les premiers éclats du printemps. Les feuilles mortes écrites par jacques Prévert mettent en relief la beauté éphémère et fugace de la nature, symbolisant ainsi la fragilité de la vie et des moments qui passent. Cette mélancolie illustre avec force la fin d’une histoire d’amour. A l’image des feuilles qui tombent des arbres, les moments de bonheur à leur tour peuvent disparaitre à chaque instant. La chanson garde quand même une lueur d’espoir, car même si l’amour est perdu il est possible de trouver la beauté dans les souvenirs… Cette beauté dans les souvenirs me renvoie à une si belle citation de notre chère amie Noria qui a laissé entendre dans une profonde douceur : Les souvenirs sont là, toujours aussi beaux, aussi forts, aussi jeunes, aussi longtemps que la mémoire demeure… Il reste quelque part une interrogation, une blessure, un abandon qui reviennent en nostalgie… Cette citation est en nette relation avec la lueur d’espoir qui se manifeste clairement dans les feuilles mortes, car même ramassées à la pelle elles gardent jalousement leur beauté dans la fusion des souvenirs … Je ne ferme pas mes volets, ni sur les feuilles mortes, ni sur la belle citation de notre amie et au fond de moi-même humblement je m’aligne a une autre citation qui confirme tout ce qui a été dit… « Chaque moment vécu est un précieux voyage sur le temps du destin ». Les feuilles mortes se ramassent à la pelle…Tu vois je n’ai pas oublié…Cette chanson de Yves Montand a été également interprétée par Edith Piaf, sur une musique composée en 1945 par Joseph Kosma.
  • kéryma
    • 3. kéryma Le 08/11/2018
    Bonsoir l'ahbeb,

    Le Ziton, ceux qui sont sensibles à cette chanson diront des coeurs sont tombés en lambeaux comme des feuilles d'automne pour une raison ou pour une autre, un vent violent peut-être ..moi je dirai que cela n'arrive pas qu' aux autres!!
    Très belle chanson, non non elle n'est pas triste elle atteint les âmes sensibles citées plus haut,

    Merci Le Ziton,

    Kéryma l'écorchée le temps d'une chanson
  • ferhaoui
    • 4. ferhaoui Le 08/11/2018
    lire dans le commentaire :.......... quant à moi je suis. face une toile blanche....suite
  • ferhaoui
    • 5. ferhaoui Le 07/11/2018
    bonjour tout le monde. quant à moi ma chere p'tite soeur messkellil je face à une toile blanche! bref,! en effet c'est un belle chanson à texte que seules les grands artistes comme ives m, ,aznavour ferrat ou gilbert b, savaient si bien interpréter c'est des artistes musiciens qui avaient plus d'un tour dans leur répertoire cette chanson en question je me suis retrouvé plein dedans(les années lycée abdou, ferroukhi et batuta , l'hotel de la renaissance ou je logé , miliana et ses verts maquis) bien mieux encore c'est un vrai coup de souvenirs de milianah grandeur nature d'antan chaque mot, une note musicale raconte un fait , une histoire ou ami (es) des élèves... c'est fascinant de voir défiler tant de choses de souvenirs lointaines à travers une chanson en tout cas, après des qui se sont pss merci à notre ami le ziton pour se bonus pour nous. oran l'ami, ferhaoui.
  • Chantal
    Merci le Ziton pour le partage de cette chanson qui vous ressemble par sa sensibilité et son authenticité. Dommage que vous vous fassiez si rare sur le site !

    Bien amicalement à vous !
  • Meskellil
    • 7. Meskellil Le 07/11/2018
    Et c’est une mélodie intemporelle maintes fois chantée par des poètes que l’on aime parce qu’ils savent nous toucher au plus profond de notre être, et parce que cette poésie si mélodieuse s’adresse au cœur qui, lui, se rappelle. Mélancolie, nostalgie qui viennent se dire au présent dans un doux et tendre rappel de ce temps-là, celui où nous étions amis alors que les feuilles mortes se ramassent à la pelle.

    Je suis à la fenêtre et je vois ces peupliers à la parure jaune or dont la cime frémit doucement au souffle faible du vent. Hier, les feuilles se détachaient des branches, voltigeaient avec beaucoup de grâce en une dernière farandole que le souffle d’un vent plus puissant éparpillait, poussait au loin. Ce matin, il a plu, le vent s’est apaisé, les feuilles imprégnées, alourdies d’eau ne peuvent pas voler, elles s’attardent encore un peu au pied de leur arbre…

    Le Ziton, c’est une belle visite que vous nous faites avec ces mots poétiques et cette chanson éternelle qui ne connaitra ni le souffle du vent sauf celui bienheureux qui la souffle vers nous, ni non plus ces horribles souffleuses, machines bruyantes s’il en est qui tentent, souvent vainement, de rassembler ces feuilles pour en faire je ne sais quoi. Un grand nombre de feuilles leur échappe, ce qui me remplit de joie. Je l’ai déjà dit il y a peu, il y a des chansons au parfum d’éternité et celle-ci aussi en fait partie. Merci Le Ziton pour cette entrée automnale aux couleurs du cœur et bien sûr pour le choix de cette sensible interprétation de Montand.

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