Articles de algermiliana
-
Les temps durs
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 0 commentaire
D’un temps passé, je me rappelle encore … un temps bien loin qui fut si doux et si dur pour moi. Je vous invite à regarder ce bout de séquence d’un film.
Comme tout un chacun sait, toute histoire a son début. Mon ’’ histoire ‘’ à moi commence par un matin comme l’est le début d’un bruit venant de loin faisant et donnant l’air d’une musique à la fois Triste et monotone à l’écouter que s’il nous advient d’en rabaisser les yeux par humilité on peut rajouter une parole pour dire : ce ci ,c’est d’un lointain passé ,là où son temps a été dur .
Je ne vous somme ni de lire l’alphabet des ABC trop longs de mes écrits ni d’écouter ce passage infernal d’un train qui suit et fait son chemin sur des rails sifflant pour l’infini comme tous les trains qui passent , Mais je vous somme par contre d’attendre, d’attendre défiler quelques minutes après le 1er temps demandé de voir descendre un homme d’un train .Un train de marchandises qu’on appelait dans ces temps durs la »BETE » pour avoir fait trop souffrir de gens menant cette vie dure de vagabonds , le laps de temps qu’il vous est demandé d’attendre en premier c''est pour qu’enfin à un passage à niveau on arrive à voir l’'image réelle et fortuite de deux petites fillettes regardant passer un train peut inculquer en vous un sentiment à déchiffrer pour dire ensuite que les temps ont été vraiment durs quand certains visages se regardent et se dévisagent entre eux dans des temps durs .
Le regard si innocent de ces deux petites donne cet ’impression de sentiment de respect qu’elles accordent à ce vagabond clandestin qui ressent lui aussi en les regardant cette dureté de la vie que tout le monde emporte dans le cœur …
Il y aura peut être en vous un retour en votre memoire de ce passé et que vous vous dites "je me souviens que moi aussi sur un quai j'ai vu partir un train dans un temps dur….
C’était ce temps là qui m’a marqué .Ce temps où j’avais encore une G.M comme tous les garçons de mon âge qui ont eu cette joie d’en avoir à la maison et q’on se vantaient de leurs contes que nos oreilles écoutaient quand nos yeux les soirs d’hiver somnolaient en regardant les dernières cendres dans l’âtre .
. ---D’une histoire de ce temps passé en voici la mienne----.
C’était un matin ,que je m’en souviens encore. Il restera le seul dont je m’en souviens de lui en ce temps qu’il a eu cette bénédiction des matins à naitre mélancoliquement. Son temps fut par une saison d’automne. Comme tous les jours de l’an ,il est apparu après l’aube pour donner naissance à une journée finissant sa courbe au coucher de soleil un soir de l’année 60. Ce matin là bien dur et triste pour moi fut-il ce court temps d’une journée que j’en garde encore ses séquelles en moi
Me levant par ce désir matinal de boire mon café au lait auprès de G.M , que cette fois je l’ai trouvée à ma grande surprise bien prête à s’en aller sans moi . Elle m’est apparue une toute autre personne qui ne cessait de me regardait et qui s’est abstenue même à me tendre sa tendre main à l’embrasser comme à la coutume de tous mes réveils. L’idée alors à moi était de l’approcher pour lui dire ce manque du quotidien à notre matin. Je lui ai dit G.M !G.M ! , je crois que tu as oublié d’allumer le feu, comme d’habitude quand je me lève qu’en outre je ne trouve ni lait ni mon café du matin au coin de l’âtre Toute calme G.M me dit ,mon garçon aujourd hui et les jours qui viennent c’est à toi de préparer ton petit déjeuner tout seul et de ne pas n’oublie pas aussi ton déjeuner. Mais GM je ne suis pas encore assez homme pour faire tout ça Par le temps tu vas y arriver petit me dit elle .Mais G.M maintenant comme pour demain , je me vois encore tout petit à faire cette petite corvée . Pour me faire bien comprendre ce qu’elle me disait juste à l’instant , G.M me répétât , encore … Je sais cela Fiston et je sais aussi que _ça va etre difficile pour toi dans tes jours à venir et que je ne sois là pour t’aider . G.M m’avait appeler tout d’abord garçon ,puis petit pour enfin dire fiston . je regrette maintenant de ne pas lui dit pourquoi ,j’étais anxieux pour lui dire G .M Je vois toujours en toi une jolie et énergique G.M devant moi . dis moi que je ne rêve pas .
Avec une voix aussi frêle que fragile G.M me dit il se trouve que le train qui m’emmène un peu loin est en gare et qu’il ne peut m’attendre davantage pour mon long voyage nous sommes nombreux à faire ce voyage et je risque de ne pas faire le voyage avec mes amis . Mais GM je croyais que toi et moi on vivait pour le bien et le pire et qu’on ne pouvait se séparer même si les temps seront durs. Hélas mon Fiston l’être n’a jamais eu à tracer sa propre destinée, il arrive que c’est elle qui l’’appellerai un jour ou l’autre afin qu’ils suivent un chemin ensemble dans un autre tunnel de la vie.
iL fut triste pour moi de la voir ainsi partir. Mais il le fallait à son vœux souhaité depuis longtemps qu’elle partirait un jour que je ne pouvais la retenir davantage., Bien avant que le soleil ne soit si haut dans le ciel GM était déjà partie. Sa place toujours est bien restée chaude est bien restée dans le cœur de ceux qui l’ont connue
Je me rappellerais toujours de GM peut être qu’un jour qui sait ?... qu’elle me reviendra comme avant. C’est ce que j’ai pensé en ce temps là .
En ce temps lointain qui fut bien dur pour moi , son souvenir m’est resté encore plus dur.
Et Comme tout train qui vient de l ’horizon pour disparaitre aussi à ’horizon sans s’arrêter je l’ai vu passer et s’en allait devant moi. Je l’ai vu partir et s’en aller un beau matin. -
Survivances d'Enfance/ Part 2
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 1 commentaire
__________
Mon histoire rappelle des agitations d'émotions que j'ai connus tout enfant en ce lieu. Même si le repérage ne peut être complet par l'oubli, j'essayerai à dire ce que Je sais d'une existence.
Assurément, en ce lieu tout proche d'un cours d'eau et d'une colline un jour et pas par hasard, je suis venu au monde. Il fut un jour ordinaire m'a-t-on dit, et il ne pouvait être autrement pour moi. Et, à tout un beau monde qui m'entourait venu applaudir l'événement, en pleurant pour la première fois ce jour là j'ai ouvert les yeux. Après bien un temps, disait-on, mes parents ont trouvé que je suis né conforme à la nature d'un être vivant comme le lait frais au premier jour. J'ai grandi alors tranquillement dans la lucidité de la vie enfantine, sans soucie jusqu'à cet âge de 09 ans. L'âge d'un enfant conforme à l'ordre normal, où l'on voit qu'on a jamais été aussi innocent qu'insouciant dans la vie. J'ai grandi et connu mon père encore jeune et beau. Mais quand je vois pour le dire, c'est que d'autres ont aussi grandi comme moi. Et comme moi, combien n'ont eu la chance de connaitre tout ça. Et si le monde était clair dans mon temps pour courir à pied, je crois que ce n'est plus le cas de nos jours à être enfant pour marcher pieds nus. Le monde de nos jours a bien changé et évolué dans un jeu qu'on ne badine pas avec les pieds. Et c'est quand on vit une jeunesse enfantine insouciante qu'on doit toujours penser pour savoir ce que ça signifie d'être d'une pureté élégante et gosse approprié dans la vie.
Bien que depuis, de nombreuses années se soient écoulées, pour l'endroit ce fut comme à tout sentiment qui suscite une vive sensation magnétique. De ce qui reste en ruines à mes yeux, cela fait bien un temps que mes parents y avaient bâti une petite maison avec son toit en tuiles rouges.
Il y avait un beau jardin qui existait, d' où sont plantés tout autour divers arbres fruitiers et ceps de vignes à la manière d'une clôture. Sans eau, il n'y a pas de vie et l''eau ne manquait point pour nous. C'était vraiment un coin réel comme d'un idéal paradis existant sur terre.
De par le monde on ne trouve que le bilby qui ne boit pas d'eau. Mais pour un être vivant comme nous, sans eau il n'y a pas de vie. Et tout comme la mer par évaporation est l'abreuvoir du ciel, le cours d'eau de l'Oued était la providence du ciel pour nous. Dans le coin, l' eau de source était notre nutriment essentiel. En abondance à proximité, sans même la chercher on pouvait la trouver. Et c'était aussi facile de puiser cette source de vie afin de nous désaltérer. Il nous fallait donc seulement qu'en baqueter avec une écuelle de terre cette eau précieuse aux nombreuses sources qui regorgent les deux rives. La pratique adaptée à l'usage était de remplir des seaux et une grande outre en peau de chèvre. Telle était la besogne particulière à ma mère dans le quotidien familial. Oh ! oui je m'en souviens comment mère tenait la anse cordée de la gourde et qu'ainsi, elle la portait pleine sur le dos. La tenir c'est une technique des mains, la porter il faudrait marcher dos courbé tout comme la comptocormie. Pour l'eau limpide et claire, à la surface on la voyait jaillir par bulles de sous le sable fin et des galets sur les berges. On était ainsi plus satisfait que gratifié et aussi éxonéré du paiement d'eau potable.
A tout hasard on voyait venir chez nous ,quelqu'un devenu tant habituel dans le coin même si on ne payer pas cette eau du ciel.
Chaque fois, Sans tambour ni trompette , venant faire sa randonnée habituelle pour une collecte d'impôts. Il fut tout un temps le seul personnage qualifié à recevoir tout le paiement des eaux d'arrosage de tous les jardin des alentours , A on le revoyait alors venir tout en zèle sans peur, sans une arme .Les gardes-champêtres ne s'aventuraient des fois jusqu'à nous qu'avec des armes à leurs ceintures. Et, c'était pour lui à dos d'un mulet harnaché qu' Il se désirait et trop solennel avec apparat tout désinvolté sur sa monture. Comme tous les gens du voisinage l'appelaient " Mkhazni taa el beylek" ,par l'usage l'agrément lui valait bien comme surnom . Sans éprouver d'embarras il acceptait le qualificatif .
C'est toujours vêtu comme un spahis qu' Il se montrait ; avec un double burnous ; l'un blanc en dessous ,l'autre en dessus noir. Ces deux vêtements traditionnels très typiques traduisent le symbole de l'élégance. .Un couvre-chef , le genre tarbouche mais bien haut avec un fin ruban noir tout autour lui ornait sa coiffe de tête. Cela incarne sa personnalité
Lorsqu'en encaissant l'argent ,Il disait tout fier qu' on ne peut dédaigner ce qui est un dû : pour lui au vu de la loi c'est l'obligation du devoir au nom du bey lek de remplir sa sacoche des dettes. . Parfois son apparition subite donnait la frayeur certes, pour les endettés que même pour les chiens.
Notre brave et reconnaissant chien pour ce jour là chez nous, lui souhaitera la bienvenue à sa manière, ne lui laissant un temps de boire dans la tranquillité son café et du MBESSES qu'on offre toujours pour l'hospitalité. Parfois sa venue n'est nécessairement pas pour le recouvrement des dettes ,parfois pour une répartition des eaux d'irrigation équitablement entre voisins .
Dans le contour du périmètre d''irrigation ;l'arrosage se faisait du soir jusqu'à minuit .A la clarté de la lune ,l'eau sera dirigé et distribué pour chaque rangée de plantes. Et cela pour une heure de temps pour chaque jardin dans le voisinage. Des fois pour quelques minutes de plus ou de moins on arrive à en venir aux mains . Chacun avec sa pioche en mains qui décide à la place d'une parole qui a tort et qui a raison . Mais par peur du Mkhazni , l'entente entre eux n'a été que toujours la meilleur.
Les eaux arrivaient d'une bouche d'irrigation du haut du village. Par un fossé étroitement creusé sur terre serpentant l'étendue du cheminement ,il pourvoyait tous les jardins
C'était Là notre refuge familiale, en ce lieu tout prés d'un oued, proche du village . Mes parents ont voulu vivre là dans ce coin .A des fois quand on le disait à ma mère, elle n'hésitai de dire pas trop éloigné des gens de campagne que plus prés des gens qui façonnent le pain boulangerie au lieu d'une galette de cuisson . C'était encore pas prés d'une ville mais tout prés d' un village . C'était toujours la réponse évasive de ma mère .
Et depuis d'après cette ambivalence je savais où j'habitais .Dans ce coin , je gambadais à longueur de journée avant que j'aille grandir dans un temps proche dans d'autres lieux .Et, j'en garde encore pour moi, des souvenirs de cette insouciante enfance. Ils sont ceux d'un enfant qui jouait avec son petit frère, hélas n'est plus .Un frérot comme avant tout à coté , je ne le vois plus depuis bien longtemps, mais en ce bas monde ainsi va la vie. Dans le temps Père nous voyait jouer devant lui .A tous les deux , des fois pour nous gratouiller le corps de sa saleté, il nous lavait de ces eaux du Oued de la tête aux pieds et que ,de fois il nous laissait faire cela nous même .Il disait c'est pour nous voir jouer dans notre propre jeu de vie. Dans ce temps loin des regards ,c'était notre jeu préféré .Il nous faisait beaux et le seul jeu aussi qui nous faisait peur quand il faisait froid et que ses eaux sont si glaciales. Et si des fois dans un autre jeu de préoccupation , si nous voulions sans ailes voler comme des oiseaux il nous était facile de le faire à l'aide balançoire. C'était mère qui eut l'idée à ce jeu d'enfant et de le dire au père de nous confectionner une nacelle et avec une corde. Une dérisoire planche en guise de nacelle qui faisait l'affaire pour notre assise. Et pour tout simplement réaliser ce jeu faire l'attache des bouts de corde aux deux grosses branches d'arbres d'eucalyptus. Père eut l'amabilité de le faire sans d'autre impératif.
Durant notre absence,dans ce jeu de balançoire , quant à Mère elle serait au firmament étoilé, au comble de la joie . Elle aura ainsi tout son temps de passion avec ses fameuses aiguilles résultant de gros fil de fer , à tricoter sa nouvelle œuvre de confection d'un tricot. Parfois un tricot bariolé aux couleurs divers fait du reste d'autres pelotes de laine ou le loisir à cultiver son jardin potager dans la tranquillité .
Souvent mère avait bien en elle ce qui fait notre bonheur de vivre chaque jour. Et c'était à nous de lui trouver la raison que nous avons été heureux auprès d'elle . Et pour nous la vie continuait chaque fois .Elle n' était que de la joie, l'envie, le tout dans l'instant uniquement présent . Sans doute pour demain disait -elle souvent, sait-on jamais la vie irréelle pour nous fera peur par sa motivation .
Et cette peur durant l'enfantine dans la vie pour mon frère et moi n'avait sa réalité d'être élémentaire ou facile que pour 'un fait diabolique de notre comportement puéril dans le jeu de la vie.
-
Le Coin des Amis (ies)
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 52 commentaires
_______________________________________________
Ya ma Chantal par la fente de la porte je t'ai vue passer sans frapper à ma porte du coin des amis mais ça m'a fait plaisir de sentir ta presence et en toi ce parfum "la vie est belle" de Lancome et moi qui n'utilise toujours que ce "Ploum-Ploum" j'ai failli mourir de honte .si ce n'etait ce Fiston qui m'a rassuré que ce n'est qu'une visite laconique en me disant que tu vas retourner apres ton voyage aux Ameriques voir tes ancetres ..Pour ça ya ma Chantal je te conseil de prendre le grand"Chariot " de bois et de toile de petula Clark il t'aidera à traverser les regions arides là où les indiens auront du mal à te voir . Ne te prend surtout pas comme cette Calamity Jane qui a failli laisser sa peau si elle n'avait pas pris aussi ce chariot qui tangue et qui tangue dans ces plaines qui n'ont pas de frontiere..
Ce fiston n'arrete pas de me dire que si tu peux nous apporter un bison avec toi ,l'AID est proche et vu que notre coin des amis est rempli de locataires ça lnous ferait plaisir de le feter ensemble. iL me dit que le BOUZELOUF on te le laisse c'est la plus grosse part qui ne peut etree divisible ; Je trouve comme toujours que son idée est formidable . Sans lui parfois je me dis "que puis-je faire seule dans la vie"_______________________________________________
Au 26 eme d’un mois d’automne allant terminer une année moribonde, deux génies sont là à parler d’un evenement qui va suivre et épanouir par un son miraculeux toute une ville.
L’horloge de leur ville va sonner de nouveau les douze coups complets d’une journée .
Lotfi : penses tu cher ami qu’elle va tourner dans le bon sens comme avant
Toufik : oui j’en suis convaincu mon ami , j’ai bien placé la grande aiguille sur la petite
Lotfi : je ne te parle pas d’ aiguilles Toufik mais du mécanisme qui l’entraine.
Toufik : On a mit tout notre savoir faire et pour ça je crois qu’on a rien laissé au hasard
Lotfi : avant notre opération ce qui me tracassait tant c’était bien le réglage du balancier
Toufik ; On a bien eu du temps à trouver ce positionnement du centre de gravité du balancier
Lotfi : oui la précision était bien liée sur un réglage minutieux effectué uniquement sur le balancier
Toufik : avec tes lunettes je te voyais comme ce chirurgien bistouri en mains faisant preuve de patience devant un malade moribond
Lotfi : il me fallait bien avoir cette patience avec cet écrou de vissage :
Il me fallait Devisser pour faire retarder – visser pour faire avancer
Toufik : je te voyais faire ce travail avec la peur au cœur au moment de l’allongement ou le raccourcissement du balancier
Lotfi : Mais là , tu m’as bien secondé ,car ce travail ne peut se faire que d’une façon efficace et que lorsque l’horloge aie trouvé son emplacement définitif .
Lotfi : Quand je pense que notre ville va enfin rattraper son temps perdu .
Toufik : moi aussi tu sais
Lotfi : On peut redescendre maintenant
Toufik : j’espère que l’echelle est toujours à sa place tu penses qu’on ne nous a pas oublié.
car depuis le temps qu’on est en haut on pensait peut etre en bas qu’on perdait notre temps là –haut ._______________________________________________
Essalamou aala Hassen Esadik.
Hassen, comme Toi et moi ces derniers temps, nous nous sommes permis de nous balader à notre guise sur un terrain qui n’est attribué à quiconque de nous deux où nous n’avions même pas eu la peine de demander avis d'entrer dans leurs coins à Meskellil et à Miliani2Keur.
Je crois à mon avis qu’on a un peu trop exagéré tous les deux de la bienveillance hospitalière bien connue des trois jours de coutume chez nous à être tolérable pour l’hôte à son invité. Or, qu’au-delà de ces trois jours et trois nuits l’invité doit se dire en lui-même c’est le moment pour lui de déguerpir.
Hassen Sadiki, ne me dis surtout pas que tu l’as fait exprès sous prétexte que tu n’aies à ce jour entre les mains ce passe partout comme tous les autres.Belhakma oua redha, ne t’en fait pas pour ça, quelque soit la réponse que tu vas me donner cela ne sera plus pour toi un problème encombrant dans les jours qui viennent.
En personne secourable, j’ai constaté en réfléchissant nuit et jour sur ton cas qui relève de ce principe de charité que vraiment tu n’as pas où camper au point d’être le seul SDF du 22ème siècle de notre temps à n’avoir toujours pas de coin. Vu ton statut de tout nouveau émigré en disant « émigré », je crois ya Hassen que je ne t’ai pas fait peur, je n’ai pas voulu dire l’autre mot triste et funèbre « harrague » qui aurait bien pu te déranger). Mes démarches à qui de droit ont pu aboutir et donner leurs fruits. Pour te soulager juste un peu en attendant autre chose de plus confortable, j’ai pu trouver un coin pour amis. Un coin idéal pour nos prochaines discussions ce Coin, qu’on l’appelle « le Coin des amis» du site c’est pour ne pas se perdre en tournant en rond.
Il y a aussi ceux qui doivent remercier la Chère AlgerMiliana de les avoir « caser » DANS UN SEUL BLOG et ils sont un peu bien nombreux.
Tu t’imagines Hassen résider dans un blog de 23 Coins avec des amies et des amis sans que personne ne se voit et que tous nos jours de l’année passent en harmonie c’est impensable à nos jours. Mais alors là ! Tu verras tout un miracle que : Chacun est dans son coin d’appartement. Chacun a sa propre porte avec pancarte nom et prénom dessus. A la seule condition Hassen que c’est exigée aux locataires qu’ils soient exposés nuits et jours aux risques et périls d’avoir à l’improviste des invités qui leurs rendent visites et qui leurs frappent à la porte pour discuter.Comme j’ai un coin comme eux, je les connais tous, que je peux te les citer un par un. Pour commencer, je vais du haut vers le bas (si je dis du haut ce n’est pas référence comme on le suppose pour ceux qui sont comme on nous le dit superposés au paradis). Ici c’est tout à fait différent du 22ème coin le plus haut au 1er coin du rez de chaussée à ras du sol, ils sont tous pareils.
-
L’attente d’une mère
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 5 commentaires
Je l’ai vu bien des soirs sur ce quai, qu’on disait d’elle «C’est son endroit, Elle est là à chaque soir d'un jour ». Immobile, l’air absent à voir sans cesse ces longs et interminables rames de fer venant d’un l‘infini. Et en cette fin de journée là , aussi glaciale soit elle, la pauvre mère était là encore à attendre dans l’espérance comme toute mère angoissée à voir apparaitre pour elle le visage de son fantassin tout jeune d’une fenêtre d’un train du soir... Les rumeurs d’anciens fantassins lui ont fait entendre que tous les nouveaux soldats de retour à leurs mères aiment bien sortir de loin leurs têtes d’une fenêtre d’un train et saluer leurs proches avec leurs belles casquettes. On lui avait dit bien des fois qu’on contait cela en soirée pour un retour d’un fils longtemps absent à sa mère. Mais pour elle, on disait aussi que tout l’espoir qu’elle souhaiterai c’est Le voir descendre un soir d'un wagon avec sa démarche habituelle trimbalant son veston, ayant l'air d'un simple voyageur. Elle aimait tant le voir comme ça , elle l’a vu grandir comme ça .
On dit aussi d’elle qu’en venant chaque soir à ce quai, Elle n’en oublie jamais d’allumer dans la cheminée du fond de sa maison le petit feu de bois pour réchauffer comme toutes les fois la petite casserole de lait que le fils aimait tant prendre et qu’elle aimerait le lui tendre de ses mains au retour attendu . Ce soir là elle l’attendait toute heureuse comme elle le faisait tous les jours, mais elle avait peur que la bougie laissée ainsi allumer derrière elle ne soit suppôt au temps à ne vouloir tenir trop longtemps son retour et ne s’éteigne. Elle en a eu peur alors que l’ombre trop sombre de la porte n’enveloppe le seuil de leur maison.
Elle leva les yeux implorant le tout puissant que la lueur de ses yeux pour elle reste encore éveiller et que cette lueur reste encore éclairer le temps qu’elle revoit au loin les pas de son enfant .
Ce soir là ne fut point comme les autres, le petit benjamin tant attendu était revenu, descendant son pas de la dernière marche du train ,il avait une coupe de cheveu différente de celle qu’à connue de lui sa mère. Courant dans la joie vers elle.IL a bien reconnu sa bonne maman parmi tant d’autres. Mais Pour elle le temps a pris de son âge ,qu’il a fallu qu’il soit prés d’elle pour sentir vraiment son cœur
*On dit que Le cœur angoissé de toute mère en attente pour son enfant est comme ça…*. -
Barrage Ghrib / Djendel
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 74 commentaires
-
Image reflétée
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 0 commentaire
Au préambule de mon histoire, c’était par un jour qui me peinait et je voulais cacher ma solitude loin des regards, là où l’âme offusquée souffrira moins à l’endroit du repos espéré, mon attention fut attirée au moment où l’homme de dos, que Je voyais assis devant moi commença à jouer de son harmonica. Des jérémiades que l’on entend, que seul un habitué à cet instrument saurai en souffler un air pour être plus plaintives. Il semblerait des mélodies sortir de ses années d’adolescence qu’il n’a peut être pas oublié. A moi, elles me rappellent ce que mes souvenirs en gardent toujours d’elles leurs réminiscences d’époque. Assis comme lui, J’étais là à l’entendre jouer ses complaintes. Ce qui plaisait tant pour moi en cette circonstance c’était leurs diversités mélancoliques. D'autres personnes de passage attirées aussi par leurs enchantements ont fini d’approcher quelques pas vers nous ". Quand il eut finalement terminé à jouer des airs et des airs de chant connus de lui de son lointain passé " qu’il voulu que quelqu’un d’autre que lui ayant vécu son temps lui en fera entendre aussi un air pour voir un monde ailleurs. Il se tourna vers moi et comme s’il me connaissait déjà me tendit l’instrument qu’il tenait encore dans le creux de la main. Cet homme que toute une vie m’éloignait de lui à un bout de temps seulement, me tendait ce qui pour lui représentait tout d’un bijou d’antan jalousement conservé et qu'en outre est tout ce qui lui en reste de souvenir d'une jeunesse. A le regarder, Il avait mon âge et me ressemblait jusqu’à dire mon sosie. Sentant que je le dévisageais, il fit semblant de cacher son visage qu’il est advenu pour moi tout un autre homme voulant vis-à-vis de moi cacher son passé. Mais comme dans l'esprit de chacun, cet apparent qui se reflète et sort du miroir nous a déjà lui et moi rejoint et accoler. A l’instant d’après, je n’étais plus le même. J’étais comme lui. Je me sentais envahi par cette étrange nostalgie m’emmenant dans un lieu que je connaissais depuis toute une enfance. Acceptant son offre en prenant l’enjeu pour un amusement de jadis, j’ai voulu me revoir aussi à l’ âge de jouer un air de cet instrument antique. J’ai sitôt tendu la main à la demande de l’homme. Celle-ci dû rester tendue en attente que mon cœur lui tienne compagnie. Et ce cœur accepta finalement de suivre ma main. J’ai vu alors sourire les yeux de l’homme et mon cœur s’ouvrir à l’ immense plaisir qui s’offrira. Mon cœur aurait bien suivi ma main si les doigts de celle-ci ne se sont soudainement refermés bien avant de saisir l'instrument et c’est là subitement que le miroir entre nous d’un coup se brisa . Ensuite.., ensuite, …Il n’y eut plus rien aucune image, aucun regard aucun son, , seul le battement de mon cœur qui bat, qui bat de plus en plus fort en moi ne sachant plus où doit -il s’orienter pour se consoler encore une fois. Le bonhomme disparu ne me laissant même pas le temps de lui dire un mot. Je l’ai désespérément cherché à le trouver et à pleurer ensemble nos moments du passé…
Mais, Est –il vrai qu’un cœur doit suivre aveuglement une main. Était-ce pour lui par instinct. Ou voudrait-il être pour moi témoin. J’y ai tellement pensé et à me le demander je me disais en moi même:
Pourquoi : Ce cœur en moi a –t- il suivi ma main. Etait- ce pour lui par instinct ? Pourquoi : cette main, s’est elle tendue et s’est refermée: Ne voulait elle pas un témoin ?. Mais quels souvenirs en moi, tous deux après ont-ils voulu éviter? Et depuis, j’en suis encore à me le demander. Ni cette main, ni ce cœur ne me l’ont dit A leur secret, j’en suis resté bien abasourdi . C’est dû à l’âge qui n’a plus son temps me suis-je dit, ou peut -être à des souvenirs de regrets ? Mais Garderaient-ils encore longtemps pour eux seuls ce secret. Le saurai je un jour de ce cœur ? Si ce n’est point pour lui un plaisir, c’est encore moins pour moi un malheur. Et pourtant en moi je n’ai pressenti aucune douleur. AH ! Que La vie à nous deux était bien de joie sans secret dans nos vingt ans. Je m’en rappelle et lui aussi d’ailleurs, pour nous deux, de çà il y a bien longtemps. Quand je vois Mon âge qui avance au-delà des soixante et lui avec, on ne sait pour eux quand est ce l’arrêt. Aurais-je au moins le temps de savoir ce secret de lui et moi de lui dire mes regrets.
j’y pense, j’y pense encore…à ce jour de peine , que J’essaie d’oublier cette histoire et il n’y avait que cette chanson bédouine que j’aime beaucoup en l’écoutant de temps à autre me fait revenir un peu à la raison que je ne suis plus au temps passé à penser au reflet du miroir . -
Le retour de notre soleil de nuit
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 3 commentaires
Le soir tout à fait à l’heure du crépuscule, comme à l’habitude des jours qui passent, je le voyais entrer devant moi tout accablé de fatigue. Et à cette fois encore sur ses vêtements de travail une fine couche grise de poussière de la pierre rocheuse parait les couvrir. Son visage luisant laissait voir en lui la récente sueur coulante d’un trajet d’un chemin de retour et ses joues amoindries font penser à celui qui l’endurance d’un travail fatigante le marquait .Mais heureux je l’étais à l’instant qu’il soulevait le voilage en guise de rideau de la porte et franchir le seuil. Heureux à le revoir enfin parmi nous.
Notre soleil de nuit était là. Enfin revenu. J’allais comme mes frères ressentir un temps de nuit qui allait revenir pour un autre soir prés de la chaleur d’un père. « Es-Salaam alaikoum » dira t il. Paroles de paix qu’il n’a jamais omis de dire à nous sa petite famille chaque fois en entrant ou sortant à une obligation d’absence. Se donnant ensuite une fois à l’intérieur, cette peine à retirer l’éternelle et indispensable lampe à carbure pendue à son épaule. Sitôt enlevée cette lampe, il n’hésitera pas à l’accrocher au clou du mur planté et tordu comme un crochet en guise de pendoir. Sa musette faite d’étoffe que maman avait cousu de ses propres vieux tissus parait comme celle de cuir qu’on trouve chez le bourrelier. Père l’avait déposé un peu plus loin sur le petit tabouret de bois où il devait s’assoir, que mère à l’instant s’empressa de prendre et la changer de place, En la soulevant, elle constata qu’elle était un peu lourde à ses habitudes .Elle pensa que le père n’a rien mangé et que la petite gamelle à l’intérieur est encore pleine de ses haricots qu'elle a si bien préparé pour lui. Peut être que’ c’est pour nous qu’ il voulait les garder. Nous voir le soir avant de dormir bien rassasier. En ces temps, nous vivions une vie qui n’était facile, peu commode et très exigeante ,et cela donnait trop de soucis à père avec le maigre salaire que la mine attribuait à son personnel. Comme toujours à son retour, elle n’en dit pas un mot pour le moment. Maman voulait qu’il se repose .Ce temps de repos qu’on a tant besoin après une journée de dur labeur. Elle nous le disait souvent .Sitôt débarrassé de ses ustensiles de travail qu’il ôta aussi sa veste .Et c’est à ce moment que parfois on l’entendit dire sa parole vénérée à chaque fois qu’il lui fallait accomplir ses prières de la journée ;« naatou hak Rabi » donnons au Miséricordieux son Dû et de là se dirigea vers le sceau habituel d’eau prés de la grande cruche du coin de la cuisine. De dos, son corps paraissait mince si ce n’est ses épaules qui tenaient encore sa camisole qui sortait maintenant de son pantalon et lui tombait jusqu’aux genoux. Il s’approcha du sceau en versa un peu de son contenu dans un gobelet qui commence par le temps à prendre une autre forme d’usure en rouille .Le gobelet en métal est tout ce qui restait d’ une boite de concentré de tomate qu’on ne jetait pas et qu’on utilisait ce temps là à d’autres fins domestiques. Tout d’abord avant de se laver, il enlevait son couvre-chef de chéchia qui avait prit une autre couleur dans le gris. Je le voyais ensuite faire cette pratique en règles d’ablutions à chaque soir qu’il revenait du travail de la mine. Apres ses ablutions, il mettait son autre chéchia « aaraguia » plus propre et blanche , un tapis était là que ma mère lui tendit, fait de palmier nain bien usé aux bordures et où à trois endroits bien distincts l’usure commençait à se faire. C’était aux endroits devenus par le temps noirâtres des genoux et du front Là où le poids d’un poids d’un homme adopte l'attitude du khouchou' (humilité) et se prosterne. C’est d’un pas non chalant comme si toute une fatigue engourdissait ses jambes qu’il se leva et se dirigea vers sa banquette habituelle . Une table basse « meida » l’attendait, un café fumant toujours à l’attendre et où son odeur agréable qui se dégage lui était efficace pour une détente., un bouquet de basilic est mis de coté sur la table. Une tasse de café à son retour’ était la plus délicieuse offrande qu’il désirait et préférer prendre au moment de son repos. Père ne fumait pas, il disait toujours que c’est mauvais pour la santé .Mais prenait juste une fois entre ses deux doigts une pincée d’une petite boite métallique qu’il inspire par une seule de ses narines .A la minute qui suit, on l’entendait éternuer, et là il dit à maman c’est bon de s’éclater et se sentir en forme. Il m’appela à m’assoir tout prés de lui, m’accouder sur l’un de ses genoux .Père me demandait souvent de lui raconter ma mésaventure du jour et surtout mon travail en classe .Dans cette attitude, j’avais pris l’habitude de me consoler avec cette tendresse. Elle sèche mes larmes à chaque fois que je me sentais opprimé de la présence d’un père toute une journée et à l’attendre qu’il descend du haut de la mine.
-
Le Mensonge par l'écrit
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 0 commentaire
____________________________________
Tout ce ci est rapporté par GM ,sur un texte écrit par quelqu’un de très connu d’elle et de son fiston . C’est sur une des pages quelque part que j'ai eu à lire moi et mon beau fiston ce texte écrit par un personnage qui se dit me connaitre et que j'ai tenu à ce que vous le lisiez aussi.
Ce texte dit :
Le mensonge par l’écrit
Aujourd’hui je tiens à vous parle du mensonge joyeux, un mensonge qui rend rend service au rire.
A vous de voir si j’ai raison de vous en parler pour une fois que je vous dit cette vérité.L(idée à moi de mentir c’est quand parfois Torturé par l’ennui et la solitude, je raconte une histoire propre à moi mais sans tromper mon monde.
L’histoire me concerne même si je ne cesse de mentir pour ne pas me mentir.
Mais Mélanger un décor, à travers un voile c’est presque dire un mensonge, ou plutôt c’est cacher une vérité en l’habillant de velours.
Et là ,Mentir c’est décevoir.
C’est ce qui m’arrive parfois à dire des choses sur GM et Fiston et Quand il m’arrive à créer une histoire, je la monte de toutes pièces dés lors que j’arrive à la croire ou à ne pas la croire je me sens mentir à mon reflet dans un miroir. Mon mensonge est là devant moi et me joue des tours que je ne peux accepter même si c’est un mensonge joyeux
Je parle d’eux tout mon temps comme si ce n’était pas un mensonge. Mais en vérité tout ce que je dis en eux n'est que pur mensonge. Fin de citation du texteET Quand j'ai lu le contenu de ce texte ,j'ai répondu à ses écrits par un commentaire pour vous mettre en garde aussi voici mon commentaire
1- GM et Fiston (site web) 07/03/2018
Bonjour à toutes et à tous, c’est la première que je vous dis bonjour et je ne sais pas pourquoi je vous dit bonjour au lieu de vous dire bonsoir.
Aujourd’hui Si j’interviens c’est pas pour vous parler d’une vérité mais d’un mensonge et seulement pour répondre à celui qui s’est torturé par l’ennui et la solitude pour écrire sans cesse et à raconter des mensonges sur moi et mon fiston .
Je veux bien qu’il raconte ses histoires mais « chouia » pas comme ça ;il n’a qu’à creuser sa tête.
J’espère que vous n’allez pas prendre son texte sur le mensonge au sérieux , puisque tout ce qu’il dit sur moi n’est que tromperie.La dernière fois il est arrivé à venir me voir et m'a proposée à lui jouer des rôles .IL m'a dit en ces termes voila je t’ai choisi un autre nom à toi et ton fiston des noms qui conviennent à ma nouvelle histoire qui va bientôt paraitre . Pour ça il m’a montré une histoire de malade intitulée « les guérisseurs de notre temps » qu’il veut publier très prochainement.
Voici son joli texte de mensonge sur moi et fiston :
« les guérisseurs de notre temps ».
. GM et fiston ont pu enfin ouvrir leur cabinet médical
Et de la façon conforme à la hiérarchie, ils ont décidé qu’ aux horaires de travail.
La GM appellera son fiston : infirmier
Et que le fiston appellera sa GM : Docteure
C’est pour admettre entre eux cette formule bénéfique dans cette relation de travail entre famille :« chami ,chami oul bagdadi baghdadi «
…. Au 1er jour ils n’ont eu qu’ une seule consultation à faire mais ils ne se sont point découragés. Au 2 eme jour de leur nouvelle aventure, que tôt le matin on vint frapper à la porte de leur cabinet C’est le même malade qui s’emmène.
Toc Toc Toc
Tiens, 05 heures, et on frappe déjà à la porte,?
- Ah ! C'est peut être un malade bien grave Docteure.
- Dis moi infirmier, ça ne t'embêterait pas de mettre ta blouse et de voir qui c’est? c’est peut être notre 1er cas d’urgence.
- , Mais Docteure cette fois c’est votre tour d’ouvrir la porte pas la mienne!
- Avec cette subite angoisse que j’ai eu hier avec notre 1er malade j’ai bien trop peur que je n’arrive pas à me lever infirmier .Son cas bizarre a laissé en moi le stress,
j’y vais Docteure mais pour cette fois ci seulement , et je trouve que Le seul moyen pour nous est de laisser la porte ouverte pour les jours à venir…
-,explique moi infirmier ,cette raison qui te pousse à laisser la porte ouverte …….
C'est que Docteure , pour ne plus aller ouvrir une porte à un malade et que vous n’ayez plus d’angoisse ni ce stress qui demandent une adaptation dans notre cas nouveau de travail! », mal en point Sans trop attendre le malade entre aussitôt et met fin à leur discussion.
« Bonjour, Docteur, j'ai un problème je ne peux plus tenir ma tête c’est tout comme hier
« Ah ! Tu tombes à pic on a aucun rendez avant toi.
on peut dire qu’avec toi ,on a tout notre temps pour qu'on ne soit pas dérangé !
Docteure, je souffre et j’ai souffert toute une nuit sans fermer l’œil donnez moi un remède au plus vite je vous en supplie
Alors ! Qu’est ce qui ne va pas chez toi encore
Ça ne va pas pas du tout je me sens tout autre Docteur ?
Est-ce que tu as pris ton médicament avant de dormir comme convenu, ce médicament était tout donné pour ton cas
Avec Ce médicament , ça n’a pas marché du tout Docteur et j’ai trop mal encore à la tête.
Tu peux me dire où exactement ce mal s’entend et te fait encore mal
- Ça s'entend pas ,Docteur ça se ressent et ça se resserre continuellement à l’intérieur de ma tête
Ouh là là ! C'est très grave à ce que je vois.
Est-ce tellement grave Docteur j’ai peur, j’ai tellement peur de mourir
On va voir d’abord avec ta tête mais avant tu dois te détendre et rester calme.
Si vous voulez mon avis docteur , on devrait lui dire qu’il a déjà perdu ses facultés avec son angoisse
- , je suis d’accord avec toi pour lui annoncer sa maladie ,? mais pas à lui dire qu’il est cuit?
Qu’est ce que j’ai docteure dites le moi ,je vois que vous vous êtes bien en embarras sur mon cas
Je ne sais ce que vous avez mais mon infirmier dit qu’il ne vous reste que peu de temps à vivre
Oh mon dieu !oh mon dieu je savais qu’ils allaient me dire ça
Infirmier on va avoir du boulot avec lui il commence déjà à délirer- docteur est ce que notre patient doute qu’il n’a plus de tête en lui , !
Je le pense aussi Infirmier retire lui ses vêtements et allonge le on va l’examiner sans tarder
Tu as raison docteur Viens un peu là, toi ! Retire ça ! allonge toi et ferme tes yeux
« Ouh là là ! dites à votre infirmier d’être un peu doux Docteure .
Écoutez ,monsieur si vous voulez qu’on vous soigne , taisez vous laissez vous faire et détendez vous
On peut commencer infirmer :
Je suis tout à fait prêt Docteure
, commençons Alors ….
• Pouls infirmier ?
• Pouls plus rapide, Docteure
• Tension artérielle infirmier ?
• Tension artérielle plus élevée Docteure
• Bouche infirmier ?
• Bouche sèche Docteur
• Sensation infirmier ?
• Sensation de suffocation Docteure
• Maux de tête Infirmier
• Angoise,stress ,peur ,panique agitation Docteure
• Transpiration infirmier ?
• Transpiration élevée Docteure
• Visage infirmier ?
• Visage devenant blême Docteure
• Respiration infirmier ?
• Hyperventilation Docteure
• Autres indices qui vous paraissent douteuses sur son cas ,infirmier ?
• R.A.S Docteur sauf des tremblements sans cesse au niveau des genoux
• On peut dire que notre malade n’est pas malade du tout, on va le rassurer que tout va bien
• Mon cher malade , Je vais vous poser deux questions seulement et vous allez me répondre
• Est-ce que vous avez toujours l’impression d’avoir mal à votre tête
• Oh oui Docteur mais sans bonne raison.
• . Est-ce que vous vous êtes aperçu qu’on s’est aperçu que vous n’êtes pas malade
• je trouve difficile de répondre à cette question docteure
• Je répète ma question d’une autre façon pour vous dire que votre mal est incurable si vous persistez toujours à mentir . Fin de l’histoireEst-ce que son histoire sur nous est finie GM ?
Elle fini là ,fiston
GM te rends tu compte qu’on est devenus nous aussi des menteurs à part entière comme lui. Celui qui écrit et nous donne des rôles dans ses récits .
• Je le sais fiston maintenant et je vais le dire tout haut….. pour qu'il ne trompe pas les gens comme nous .
GM et si on lui dit que c’est très vilain. peut etre qu'il s’arrêtera .Le temps nous le dira Fiston ,espérons le pour nos têtes.