Articles de algermiliana

  • Stevie Wonder OVERJOYED

    Les yeux fermés même "éteints", mais il chante merveilleusement bien!

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  • Autisme

    Premiers signes de l'autisme et moment où les enfants commencent généralement à présenter des symptômes

    Selon les chercheurs, la détection précoce des signes de l'autisme et une intervention précoce peuvent grandement améliorer les résultats.

    Par Mrs. Charlotte Smith, Senior Trending News Reporter, 22 avril 2024

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  • Les retraités(ées)

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      Cette frange de la population qui a tout donné à notre pays,sa jeunesse,sa force,sa matière grise,son savoir-faire vit dans l'anonymat le plus total.Elle vivote tant bien que mal.La pension qui lui est allouée ne suffit meme pas à honorer les charges mensuelles(électricité,gaz,eau, loyer...) .Elle souffre le martyr à chaque rendez-vous (fetes de l'aid,rentrée scolaire, mariages...) si bien qu'elle s'endette le plus souvent jusqu'au cou pour satisfaire les besoins les plus élémentaires des membres de sa famille et bonjour les dégàts. Cet état de fait est dù en partie faible pécule alloué mais surtout par l'IRG qui le réduit à une bagatelle.Jugez-en!Le salaire est soumis doublement à un fort impot à la source:en étant actif puis en étant retraité.Que reste-t-il de ce salaire de la honte?rien qui puisse faire vivre dignement.Beaucoup de familles ne vivent que du produit de leur retraite.Qui de nous ne s'est pas posé la question ,un jour, pour savoir comment vivent ces familles.Comment arrivent-elles à boucler les fins de mois?
    L'état a instauré une révision annuelle de la pension de retraite ce qui constitue une fin en soi mais le pourcentage instauré cette année est loin de satisfaire les espoirs fondés.Les 5 % alloués cette année se sont rétrécis comme une peau de chagrin, ce qui a laissé tous les retraités sur leur faim.Les virements se font de date à date sans tenir compte des différentes échéances(ramadhan,rentrée scolaire ...), ce qui se traduit par un sentiment de déception, de frustration et d'impuissance. Inutile de décrire les longues files d'attente devant les bureaux de poste.Des personnes agées, le plus souvent malades qui font le pied de grue a longueur de l'année.Un spectacle désolant.Après le retrait du pécule que reste-t-il à ces braves retraités?Rien, le vide absolu.On les rencontre au niveau des squares, des jardins . Certains, les plus chanceux, entrain de jouer au domino ,d'autres qui fouillent un journal et le passent à d'autres.Ailleurs ces retraités sont choyés.Ils sont regroupés dans des clubs et passent, le plus souvent leur temps entrain de voyager,de faire le jardinage, la lecture...On les envie.Leur société les respecte et les juge à leur juste valeur .Les retraités(ées) sont, chez nous, des potentiels morts.Ils ne peuvent prétendre aux avantages des oeuvres sociales car on leur prete un imminent départ vers l'au delà .Ces retraités(ées) sont nos pères,nos mères et nous meme. Je termine en lançant un vibrant hommage à ces retraités(ées)pour leur abnégation, leur patience et leur courage pour vivre dans la dignité sans quémander.A quand un ministère des retraités(ées)?.Allez chiche alors.

  • Best of Fayrouz, Aatini Nay....

     

    De Keryma pour Mourad ZOUAOUI

  • N'oublie pas d'aider toi aussi...

    N'oublie pas d'aider "C'est l'hiver et c'est le soir, mais quand on a juste un peu plus de vingt ans, on ne pense jamais à reporter un voyage, je décide donc de faire près de deux cents kms alors que la nuit a commencé à répandre son obscurité sur les villes où la vie semble avoir cessé depuis longtemps. Les kilomètres se gagnent peu à peu, sans radio ni aucune musique sauf quelques refrains d'Aznavour, de Brel ou de Mathieu... ou d'autres best of de l'époque qui me venaient sur la langue et que je fredonnais en boucle pour me tenir compagnie en cette nuit très fraîche mais à vrai dire agréablement douce pour moi qui venait juste d'avoir mon permis et conduisait déjà ma R4 toute neuve des années 70. Quelques cigarettes tirées de temps à autres et une petite pause de rien du tout pour avaler un café presque froid qui est resté au fond de ma thermos que je prenais depuis quelques temps avec moi au boulot ... Une ou deux autres pauses pour laisser le moteur se reposer comme l'exigeaient les voitures d'autrefois... Et après un peu plus de 23 heures, ma belle stoppa d'un coup!!! Quelle chance pour moi qu'elle ait choisi le centre d'une belle ville côtière pour m'annoncer une panne d'essence !!! Aux environs de minuit, je savais que je n'avais pas le choix , je me dirigeais alors vers un bar dans cette rue, je frappe à la porte et on m'introduit après quelques interrogations. Je regarde tout autour de moi mais personne ne me regarde !!! Je décide d'aborder un monsieur debout contre le comptoir qui n'hésite pas à se retourner vers moi pour me permettre de lui raconter ce qui me fit venir dans ce lieu où je ne connaissais personne. Sans prononcer un seul mot, me fait signe de le suivre dehors et là, il me demande où était ma voiture. Je pointe le doigt sur ma R4 que j'avais poussé au bord du trottoir. Le monsieur prend alors la clé de sa Fiat qui ironie du sort était garée juste derrière ma beauté bleue et me permet d'en puiser du carburant. Je finis l'opération sous le regard serin de mon hôte... Je le remercie pour ce geste et en même temps je lui demande combien je lui dois?? Mais mon sauveteur dans un large sourire empoigne fortement ma main et me souhaite un bon voyage et ne manque pas d'ajouter "n'oublie pas d'aider toi aussi toute personne qui vient te demander de l'aide" Il tapa de sa main gauche sur mon bras droit et partit me laissant à jamais le souvenir d'un ANGE avec son visage illuminé dans cette nuit si obscure!!!...

    Narration d'un proche alors que moi je n'étais qu'une enfant.
           ___Joyeux Ramadhan___

  • Téniet el-Hâad et les montagnes du Meddad

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    Téniet el-Hâad et les montagnes du Meddad...

    Mes souvenirs de toujours !

     

    De l’Algérie avant le 1er Novembre 1954, je n’ai en mémoire que des souvenirs d’enfance. Mes souvenirs de cet âge innocent sont profondément enracinés dans un terroir que mes ancêtres ont fécondé des siècles durant. Le village de Téniet el-Hâad et les montagnes du Meddad éveillent des sensations dans une nature sauvage, voluptueuse, odorante et provoquent en moi de fortes émotions.

    Téniet el-Hâad, le "col du Dimanche", mon village natal, fût tour à tour une capitale de tribus belliqueuses, un noyeau de résistance à la colonisation, un centre administratif de l’Algérie française... pour redevenir un village rebelle ! Sa vocation française prit corps dès 1843 lorsqu’un poste militaire, appelé alors bordj, y fut installé pour protéger les populations conquises et couper les communications entre les troupes de l’Émir Abdelkader. Il fut consacré centre de colonisation le 2 Août 1858 et devînt le siège d'une commune mixte, chef-lieu de canton et, plus tard, sous-préfecture du département d'Orléansville. Ce qui distinguait Téniet des autres “villages de colonisation” était le peu de colons qui s'étaient installés dans la région. La terre était pauvre et ingrate et les habitants européens, plus de 600 étaient des fonctionnaires, des entrepreneurs et des forestiers. Le contentieux né des appropriations de “terres indigènes” étant inexistant, les relations entre les communautés étaient harmonieuses.

    Mon imageMais c'est surtout la montagne du Meddad et sa forêt de cèdres qui ont immortalisé Téniet. Guy de Maupassant écrivait : “Mais ce qui m'a laissé au cœur les plus chers souvenirs en cette excursion, ce sont les marches de l’après-midi le long des chemins un peu boisés sur ces ondulations de côtes d'où l'on domine un immense pays onduleux et roux depuis la mer bleuâtre jusqu'à la chaîne de l’Ouarsenis qui porte sur ses faîtes la forêt de cèdres de Teniet-el-Haad”. (Allouma, de Guy de Maupassant. Texte publié dans L’écho de Paris des 10 et 15 Février 1889, puis dans le recueil La main gauche).

    Il s’agit du Parc National des Cèdres du Meddad, connu sous le beau nom de “Paradis des Cèdres”. Il se trouve à quatre ou cinq kilomètres au nord de Téniet, dernière étape avant les immensités désertiques sahariennes. La plupart de mes souvenirs d’enfance sont étroitement liés à cette majestueuse montagne couverte de cèdres. J’en connaissais tous les recoins, tous les mystères, toutes les odeurs... elle était aussi le paradis des enfants.

    Elle était le champ de nos escapades interminables vers le Kef Siga et son sommet le Ras el Braret, qui culmine à 1.787 mètres. Les chemins forestiers y étaient bien tracés et couverts d’herbes fraîches et vertes, douces aux pieds. De là-haut, le regard se promène dans un paysage alpin, sensation visuelle que j'ai retrouvée plus tard en Suisse ; le Meddad avait même son chalet, le Chalet Jourdan ! A cette altitude, les cèdres sont superbes : les branches les plus élevées prennent la forme de champignons, de parasols, de dômes ; les autres branches semblent plonger vers le sol. Puis c’étaient des courses effrénées sur les pentes du Kef Siga vers le Rond-Point des Cèdres et nos jeux de cache-cache. Il était le lieu de prédilection de nos jeux d’enfants qui ne demandaient que des objets simples, billes, noyaux d'abricots, osselets et toupies de bois.

    “Un monde à la mesure de nos rêves”

    Les seuls habitants du Parc étaient le garde champêtre et son adjoint. Nous les évitions autant que possible pour échapper aux nombreuses règles qu'ils voulaient nous imposer. A l’exception des pique-niques du weekend et des journées où les villageois fuyaient vers la montagne pour trouver un peu de répit lors des chaleurs caniculaires de l’été, il n’y avait pas âme qui vive au Meddad. Nous étions en liberté dans le paradis des cèdres. L’immensité du Meddad nous appartenait, nous devenions les pionniers d’un monde à la mesure de nos rêves. Comme il n’était qu’à quelques minutes à bicyclette du village, nous y allions souvent, parfois plusieurs fois dans la même journée et il était devenu l'asile idéal de mes nombreuses heures d’écoles buissonnières... C’est encore au Rond-Point des Cèdres, centre d’un pré recouvert par un épais tapis d’une herbe moelleuse et odorante, que je volai mon premier baiser à une jolie vacancière. Le Meddad accueillait une colonie de vacances renommée et possédait une source ferrugineuse carbonatée, analogue aux SPA d'Europe, qui attiraient beaucoup d’estivants et de touristes. La saison touristique au Meddad était aussi celle de la chasse aux baisers et la rivalité entre toute une ribambelle de don juans en herbe était farouche.

    Mon imageLa place du village est l’autre réserve de mes souvenirs d’enfance. Elle était le lieu de nombreuses rencontres de la communauté ténietoise. Téniet semblait vivre continuellement à l’heure de festivités : fêtes nationales et locales, mariages, baptèmes... la place, transformée en jardin public pour une grande part, prolongeait le parvis de l’imposante église de style gothique. Tout en longueur, le jardin était clôturé d’une grille impressionnante terminés en fer de lance. Un pavillon en forme de parasol avait été érigé pour abriter les musiciens lors des concerts en plein air. Des dalles plates et polies constituaient la piste de danse entourée de bancs rustiques et de plates-bandes fleuries. Le long de la grille qui ceinturait la place et le jardin, des dizaines d’arbres taillés à hauteur d'homme semblait isoler les participants à la fête du reste du monde.

    Les Ténietois étaient avides de bonne chair et de musique. Toute rencontre était prétexte à festin! En fait, elle devenait un concours gastronomique au cours duquel chaque famille cuisinait ses meilleures recettes. Les plats, plus appétissants les uns que les autres, les sucreries et les pâtisseries s’amoncelaient sur la table commune ; nous goûtions à la cuisine de tous les coins de France comme l’omniprésent couscous... la journée finissait toujours en dansant et la soirée prenait alors des allures d'un bal populaire où plus d’une cinquantaine de familles européennes et trois à quatre familles d’Algériens “francisés” envahissaient la piste de danse. Les enfants faisaient leurs premiers pas, gauches et hésitants, sur les airs d’un accordéon ou ceux d’un vieil électrophone et sous l’œil attendri de parents fiers de leur progéniture. Je revois aussi, de l’autre côté de la barrière, les douzaines d’autres enfants moins fortunés, essayant d’escalader la haute grille, que les deux policiers du village, gourdin à la main, gardaient à distance. J’avais bien l’impression qu’ils auraient voulu être associés aux flonflons de la fête.

    Tous ces lumineux souvenirs m’ont longtemps semblé être autant de rêves fracassés mais le cri d’espoir d'un écrivain algérien raisonne toujours dans ma mémoire “rendez-moi ma vallée qu'un ancêtre inventa

  • DE YENNAYER A LAADJOUZA

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    Yennayer, Yennar, Nnayer , ou encore Rass El-âam, Laâdjouza,… Autant de déclinaisons en amazighe ou arabe algérien, pour désigner une même célébration, à savoir le passage au nouvel an Amazigh, « amezwar n usugwas ».

    Cette réjouissance cyclique qui remonte à une époque qui se perd dans la nuit des temps, fait partie des rituels populaires qui ont survécu contre vents et marées, pour s’imposer comme une source identitaire rassembleuse. Mais si Yennayer a toujours été fêté, la datation du nouvel an berbère est plus récente.

    C’est au début des années 1970*, que l’Académie Berbère (Agraw YimaziƔen) a choisi un événement historique marquant, pour symboliser l’an zéro du nouvel an amazigh. Cet événement, c’est l’accession de l’Aguellid Sacnaq ** 1er (-950 à -929) au trône égyptien pour devenir le fondateur de la 22ème dynastie pharaonique.

    Cependant aucun indice historique, ne vient attester que Imazighen avaient commencé à chiffrer les années à partir de cet événement affirmé.En dépit de l’absence endémique d’écrits, qui ont desservi la connaissance de l’histoire du peuple amazigh, son attachement aux traditions a permis, un tant soi peu, de compenser ce handicap, grâce à la passerelle inter générations.

    Toutefois les us et coutumes relatifs à Yennayer, ne semblent pas évoluer à la même vitesse ; si le volet culinaire se perpétue sans peine en s’adaptant aux nouvelles habitudes gastronomiques, ce n’est pas le cas d’autres traditions qui sont délaissées ou simplement en passe d’être oubliées : ainsi en est - il de la maison qui se voulait totalement nettoyée comme pour la purifier (ce qui n’est pas sans nous rappeler cette coutume de la population de la Casbah d’Alger, à l’approche du ramadhan “dalla essaboune”) ou encore de l’imposition d’achever ce jour là, tout ouvrage manuel entamé.

    Si ce patrimoine commun que nous tenons en héritage du passé subsiste encore, les générations suivantes, désormais gérantes de cette mémoire, ont la lourde responsabilité de non seulement le préserver, mais surtout le valoriser.

    Son inscription sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité et sa reconnaissance comme fête nationale officielle, ne seraient donc que justice.

  • le spectre de l'obscure...

     

    Le temps des vagues

    Le laboratoire du totalitarisme et du fascisme est sans conteste l'obscurantisme religieux sous toutes ses formes. L'obscurantisme, cette bête immonde, au processus de développement vicieux, lâche et violent relatif dans l'absolu d'une société encline aux difficultés économiques et sociales. Un ancrage puissant et dangereux pour les nations et les peuples.

    L'Algérie a connu ses méthodes et ses fluctuations, ses jérémiades et ses inconsistances... Un travail lent et pernicieux d'une quarantaine d'années pour aboutir à dix années de souffrances, d'anarchie et d'holocauste.

    Dix années identifiées sous le fameux sobriquet de « décennie noire ». Alors qu'on ne vienne pas nous dire, là, sont les préceptes de notre sacrée religion, ou bien les bases de la culture des pratiques de la religion musulmane. L'Islam, victime, devenu fond de commerce d'individus, « tartuffant » une justice à deux temps, une égalité à géométrie variable. Nous imposant un respect de règles d'un islam travesti, détourné, conçu et cousu selon des recettes et des programmes aux perspectives ternes et sanglantes. Entre quelle main est tombé notre Sacré Coran ! Ces colifichets d'interprétation importés durant les années 70 par une horde d'incultes et d'ignorants, sous le sceau de la coopération, soutenus dans leur besogne par une meute d'inconscients avides de pouvoir en Algérie.

    L'islam n'à rien avoir avec les projets assassins de ces individus. l'Histoire leur imposera la facture.
    En 1970, la mode est à la minijupe. Des énergumènes ne trouvent pas mieux que de partir en croisade contre de jeunes petites filles dont le seul tord est d'exhiber leurs fraîcheurs et leurs innocence, en portant un habit conforme aux règles des époques et des évolutions : A leur âge. On les séquestre dans des ruelles sordides. On badigeonnait leurs jambes d'eau de Javel, de goudron ou de tout autre produit irritants, par moment caustique.
    Vinrent, quelques années après, les Hijabs... les Djilbabs...et les Nesf Essags. La collection se complète et puissamment.
    Si vous jetez un coup d'œil sur un groupe de jeunes dames, devant un arrêt de bus, la ressemblance frappante avec les pingouins d'une banquise lointaine vous cisaille les neurones et tétanise votre pensée.

    Une honte sous laquelle se dissimule peureusement des corps d'une Eve courage. Une image hideuse cachant et déformant une anatomie de rêves. Enfin....Le temps des vagues
    N'a-t-on pas entendu déclarer par un dirigeant du FIS à une époque pas très lointaine et sur les ondes des radios et télévisions internationales, dans un discours au peuple Algérien : « Les Algériens doivent s'attendre à des changements dans leurs façons de s'habiller et se nourrir ».

    Des importateurs richissimes se dévoueront à cette pensée-directive, en important massivement des kamis et hijab et djilbab....Distribués gratuitement à l'entrée des mosquées. On nous fait gouter le « Zenjabil ». Une plante qui pousse ailleurs qu'en Algérie. Présentée comme un médicament et utiliser en tisane, devient un danger pour la santé publique dont les vertus, défendus par ces mêmes personnes ne. ... sont plus à démontrer ... Des reins qui sautent en quelques gorgées... et Mitterrand reçut le leader du FIS comme on reçoit un chef d'Etat avec tapis rouge, fanfare, les champs, l'Elysée... et du Kalb Ellouz Mahchi !

    L'Etat Algérien lâché, bousculé, banni, des rencontres internationales s'appuya sur la population. Un peuple sage, un peuple en or ... et vivement que nos sœurs, mères, et femmes soient au pouvoir ...

    Le résultat est affligeant : plus de trois cents milles morts ...Des milliards de dollars de perte économique... Il est évident que le jour ou la démocratie, la laïcité dont la France en est tellement jalouse soient respectées à travers les lois de la République, même chez nous, la Burka et compagnie disparaîtront automatiquement.

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  • L'AFRIQUE, ce Continent...

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    L'Afrique, ce massif continent a toujours attiré la convoitise des pays occidentaux par la richesse de son sol ,de son sous-sol et de ses réserves halieutiques. Dès les premières heures les européens se sont empressés de la conquérir. Les autochtones menant une vie paisible, simple et naturelle se sont vus bouleversés par la furie de ces gens "civilisés" qui sont venus d'ailleurs. Tout a été utilisé pour mater et mettre au pas ces africains qui sont différents par la religion et par la couleur de la peau (emprisonnement, tortures, exécutions sommaires en public pour la dissuasion, assassinats collectifs, déportation "Nouvelle-Calédonie", viols, confinement et parcage des populations, esclavage...). Les Africains ont beau résisté mais rien n'y fit : les forces en présence étaient inégales et disproportionnées. Presque tous les pays occidentaux ont participé, sans gloire, au partage du butin (espagnols, français portugais, belges, allemands, italiens, anglais et même américains). Tout ce monde s'est servi en spoliant les terres fertiles et en confinant les populations dans les montagnes, les déserts arides et les marécages. Les américains se sont intéressés à la main-d’œuvre gratuite en déracinant des familles entières pour en faire des esclaves pour leurs plantations.

    L'Algérie n'a pas échappé à la règle en payant un lourd tribut. L'Algérien a toujours vécu libre et indépendant. Il ne supporte pas l'asservissement et la soumission. La résistance a été farouche. Toutes les franges de la société ont participé à la lutte de libération, exclus, les collaborateurs avec le colonisateur. Près d'un demi siècle après, avec l'apparition de la pandémie de coronavirus il se trouve qu'il existe des gens à l'esprit revanchard, nostalgique qui pensent qu'ils ont toujours une tutelle sur leurs anciennes colonies. A l'image de ces deux illuminés pseudo-médecins qui proposent, le plus sérieusement du monde, de tester les résultats des recherches effectuées sur le vaccin du covid-19 sur les Africains. Rien que cela ! Hippocrate devrait se retourner dans sa tombe devant l'ampleur du scandale. L'esprit raciste et colonisateur est toujours présent dans les esprits de ces malintentionnés. Ce caractère ou plutôt ce gène récessif qui habite leur ADN, resurgit à chaque occasion. Plutôt que de proposer leur aide à ces Africains qui n'ont plus rien, colonisation oblige ! Il les considèrent comme "des animaux de laboratoire, des cobayes" comme ont fait leurs ainés avec les essais nucléaires au Sahara Algérien et à Muroroa en Polynésie.

    Messieurs réveillez-vous, le train est parti et sachez que l'Afrique est libre et prospère pour peu que des énergumènes comme vous, la laissiez tranquille. Grâce à Allah vous ne représentez que vous même.

    Á BON ENTENDEUR !