Orf de Saint Sidi Mâamar, rituel ou tradition...
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Sidi Mâamar est un Saint homme qui est mort aux environs de 1420. Généalogiquement, il descendait directement de la lignée d’Abou Bakr El Seddick. Il descend également de la lignée des Sayed Zoubir El Aouam (qu’ils reposent tous en paix). Il mourut à Lahlaf daira d’Oued de Rhiou où fut construit son darih.
Biographie et repères
L’histoire commence par…,
Sidi Mâamar Ben Alia Boumoukhla et Sidi Mâamar Benslimane Be Alia Boubakria d’El-Biyadh. Ils sont issus tous les deux de la même famille. A la mort d’Abou Bakr El-Seddik (radhia allaho aanho). Ils quittèrent l’Arabie pour venir s’installer en Tunisie et plus précisément à Tunis.
Vers 1730, Abou Abbès de la dynastie des Hafsides renverse son frère et s’empare de Tunis, il s’attaque à Sidi Mâamar Boubakria qui va alors fuir vers le sud Algérien et plus précisément à El Bayadh. Les Sidi Mâamar descendent des tribus des Bensmalia Lalla Sfia, Ouled Sidi Medjdoub et Ouled Sidi Chikh.
Certains estiment que Sidi Mâamar Benslimane Boubakria serait mort à Arabaouet El Bayadh au XIVe siècle. D’autres estiment qu’il est mort au environ de Tlemcen (5 km) où son darih existe de nos jours.
Au XVe siècle, un Sidi Mâamar, un érudit et enseignant serait venu du Sud Algérien, il aurait eu un garçon qu’il aurait du confier aux chououlhs de l’époque afin de parfaire son éducation et le laisser dans la région de Ammi Moussa (Oued Rhiou) avant de retourner chez lui. Ce jeune garçon deviendra un saint qui s’appellera désormais Sidi Mâamar Boumoukhla qui plus tard est devenu l’auteur de l’orf de Sidi Mâamar.
A sa mort, il sera enterré à Lahlaf (Oued Rhiou). Cette région est réputée par le rassemblement des saints et des oulamas qui viennent spécialement dans cette région afin de pouvoir développer et s’enquérir d’un savoir plus intégral et plus affiné et cela au niveau de la fameuse zaouia de la ville Mazouna.
La région de Oued Rhiou en comptes énormément de koubbâas (mausolées), érigés à titre posthume en hommage à ses vénérés saints qui ont élu domicile dans la région du bas Cheliff chez les béni Zeroual (région comprise entre les Hamri et Oueld Maalla) probablement à cause peut être de la fameuse école réputée (zaouia). Nul ne peut contredire ou démentir justement le rôle Ôh combien indispensable et nécessaire de ces saints pour la diffusion, l’expansion et le rayonnement de l’islam.
Il fut muté dans la région de Heumis située entre les localités de Bouzghaia et Ouled Farès (Chlef) pour y enseigner les préceptes du coran.
La dot (Sdak) qui, auparavant, se fixait en fonction du niveau de la vie social de la famille et de l'l’exigence du père de la mariée. Grâce à ce Saint Sidi Mâamar, cette dot fut uniformisée pour tout le monde dans la région. La nouvelle dot qui se résumait à un sac de semoule, un pot de bde beurre, un mouton; Une estimation en argent également remise au père de la mariée pour la l la préparation des repas chez la mariée, en plus il est remis l'équivalent de la valeur d'une pièce pèce d'or de quatre douros (20 centimes). Le montant de 4 quatre douros représente actuellement est de l’de lordre de 50.000 000DA à 60.000DA. (selon le niveau social des familles).
L'application de ce principe par les familles porte le nom de l’Orf (rituel) de Sidi Maamar (reconnaissance ou tradition).
A y bien penser, ne serait-ce-t-il pas là une certaine osmose et un grand élan de rapprochement entre les familles et aussi entre le pauvre et le riche ?
Sidi Mâamar Ben El-Alia, s’est établi à ammi Moussa, après il avait rejoint les contrées de de Heumis localité se trouvant entre Bouzghaia et ouled Farès (Chlef) et ses environs pour ensuitee se se faire connaitre et s’identifier à travers toute la région.
Alors, les fervents pratiquants abordent des sujets relevant généralement de leur mode de vie et afin de régler les conflits internes qui y résultent entre familles et entre voisinages par rapport à l’islam et à leur quotidien pour les soumettre au cheikh.
Vers le cheikh pour recevoir les réponses à leurs questions très souvent intimes ou bien particulières. Très vite, cette manière de se réunir auprès du cheikh, après chaque prière, pour non seulement développer leur quotient intellectuel sur les préceptes de l’islam ou bien créer un débat sur lequel d’autres questions d’ordres purement habituelles relevant du quotidien viennent se greffer à la discussion.
Durant cette période, les femmes étaient en quelque sorte monnayées et cela se passait à travers toute la région. A cette époque, les femmes étaient « vendues » par leurs parents de manière plus au moins corrompue ou altérée à un point comme de nos jours malheureusement. Ceci allait aussi déterminer quel serait la fille du village qui allait être au summum. Des pratiques d’ignorances relevant d’une situation sans précédent !
Actuellement, cette pratique existe et s’est largement répandue et développée et est même bien ancrée dans l’esprit des citoyens. Cette manière de faire indigna les présents. Le jeune théologien était devant le fait accompli d’un côté et de l’autre inconvenante et choquante à cause des notables parce que au fond, il était tout le temps leur invité, il ne voulait pas choquer les gens parce qu’il était trop jeune. Cependant, les réponses apportées étaient en fonction des orientations du coran et les hadiths du prophète Mohamed « Salah ellaho aleihi oua salem ».
Le jeune Saint Sidi Mâamar avait regardé, scruté soigneusement et longuement les présents. Ces assidus avaient les yeux tous ronds et perplexes, ils attendaient avec véhémence et impatience la ou les solutions contenues sur le coran. Alors, Sidi Mâamar se contenta de répondre par ces phrases simples directe et très convaincantes : « Si j’étais quelqu’un qui avait une fille à marier, alors je la donnerai avec 4 douros (un louis d’or) et un znag de doum (un bouquet de doum d’un palmier nain ».
Les uns ont accueilli ces intonations avec une grande satisfaction ainsi avec un réel plaisir et bonheur, les autres paraissaient inquiets et enveloppés de stupeur et d’étonnements. Néanmoins ils furent eux aussi, par la suite, heureux et content parce que cela provenait du coran.
Les assistants se levèrent, l’air hagard, immobiles, s’observèrent pendant un long moment suivi d’un silence puis se tournèrent tous en direction du saint. Ensuite, ils se regardèrent et fixèrent le théologien puis ensemble ils ont applaudi longuement en signe d’acceptation. Les phrases sorties de la bouche du saint ont marqué à jamais les présents.
Le Saint Sidi Mâamar venait d’influencer, d’une manière importante, le cours des événements.
Le Saint Sidi Mâamar avait dit ces phrases qui restèrent longtemps respectées, suivies et étaient appliquées de nos jours. Chaque père ayant une fille à marier ne pouvait exiger une dot supérieure à quatre douros. La modeste dot était déjà connue et appliquée par tous.
Cette mesure que certains nantis critiquent encore aujourd'hui visait en fait à priori, à permettre à deux jeunes de condition sociale différente de s'unir sans que la fortune ne soit un critère préalable à l’union de ces jeunes.
Autrefois, les jeunes de nos jours comme ceux d’ailleurs étaient confronté à la cherté des unions en mariages, notre théologien avait légalisé cette pratique et les filles d’alors qui sont restées des jeunes grandes filles jusqu’à 40 ans et plus. Donc, les jeunes pouvaient se marier grâce à l’ingéniosité du cheikh. Le rite de Sidi Mâamar s’étend de la région de Ténès jusqu’à Cherchell et dans d’autres petits villages et villes où les fidèles se sont déplacés.
La traditionnelle pose du henné est accompagnée de chants traditionnels. Après, on déplace la mariée pour l’emmener chez sa belle famille.
La jument qui est censée la porter de sa maison de la jeune fille à celle d’épouse. Une fois arrivée, on lui change de tenue. Cette fois ci elle est vêtue d’un caracou de velours travaillé en fetla, portée par une arrière grand–mère. Munie d’un panier chargé de sucre en morceaux, de figues sèches et d’amandes, elle jette les victuailles aux convives.
En parallèles, deux dames se chargent de préparer, sous des yeux chargés de curiosité la fameuse rouina, élément clé de noce, Il s’agit de blé grillé et moulu, mélangé avec du sucre, d’eau de fleurs d’oranger, dont on forme des boulettes pour les distribuer aux présents.
Là encore, des chants traditionnels de la région sont débutés et rigoureusement suivis par de nombreux « invités » connaisseurs. L’ambiance est vraiment à la fête, et si pour quelques-uns je me souviens aussi que la jeune fille fait le tour du village la dernière semaine avant de rejoindre sa belle famille : Une manière de dire au revoir à tous les voisins et famille du village; bien sur on lui offre des cadeaux et surtout on l`aide à la confection du SKHAB ce collier parfumé...
Et si beau qu`elle doit emporter dans son trousseau, cette parure odorante est faite de perles de pâte odoriférante. La réalisation des perles nécessite des clous de girofles, des graines parfumées. Après avoir broyé les ingrédients en fine poudre, on les malaxe avec de l’eau colorée au safran, on y ajoute des parfums, du musc, et d’autres essences.
Quand la pâte est à demie séchée, elle est divisée en petites parts égales façonnées en pyramides. Une fois durcie, on les troue de part en part pour être enfilées une première fois avec de l’alfa et former un collier. Elles sont alors mises à sécher dans un tamis.
SKHAB Collier parfumé
Le futur beau-père, qui fait attention au protocole, informe l’assistance que la troupe musicale locale de zorna devra les rejoindre dans quelques minutes. Les deux familles se contactent par téléphone mobile pour s’enquérir de la situation. Le futur beau-père ramène le burnous et consulte ses proches sur certains détails qu’il ne faut pas oublier. Pour mener à bien la cérémonie chez la mariée. Voilà que les femmes, les jeunes filles accompagnées et entourées par quelques maris et fils sortent du domicile du futur époux pour emprunter un itinéraire qui doit les emmener vers la maison de la mariée.
Chants, rires et youyous ponctuent cette procession le long des rues très mal éclairées de la ville. Des fenêtres s’ouvrent, quelques familles arrosent de parfum cette procession heureuse. Beaucoup de retrouvailles et de discussions entre les dames lors de cette marche.
La malédiction !
Le problème ayant trait à la malédiction est souvent colportée et interprétée par des personnes qui généralement souhaitent et aiment (sans le savoir) voir se développer davantage ce rituel qui apporte beaucoup de bien aux familles.
Découragement et « vente » des filles
D’ailleurs, après, beaucoup de nantis voulaient décourager les gens pour la pratique de cette procédure et s’élancer dans la célèbre « vente » de leurs filles, elles y sont presque parvenues puisque pas mal d’individus se résignèrent à la pratique du Orf considérant la chose à la dérision et que c’est en quelque sorte de la « hchouma » (honte) en commençant à poser des questions décourageantes en vue de faire reculer ces familles et procéder au programme de la vente et de la spéculation.
Par exemple tout en ricanant: « Veux-tu avoir 3 épouses pour 120,00DA »? Quel est le montant de 4 douros ? Beaucoup de questions surgissent furtivement pour anéantir le procédé de Sidi Mâamar afin de s’engouffrer dans des voies douteuses, louches et difficiles. Ces pistes brisent et détériorent carrément la société. Elles perturbent énormément et permettent aussi d’accroitre la division et où l’ingratitude donnera encore des effets de destructions à grands pas.
Les gens se demandent actuellement que vont faire 60.000DA ? Oui c’est vrai que c’est très peu Néanmoins, les mariages de nos jours sont accompagnés de frais trop exagérés qui généralement observent un abus très excessifs et démesurés. Donc, les citoyens sont les véritables responsables de cette exagération et c’est eux qui ont favorisés ces folies. En conséquence, c’est à eux de trouver la parade nécessaire et appropriée pour revenir aux temps de clémence.
Histoire, fierté et civilisation
Les gens doivent se réveiller mieux encore frotter astiquer leur subconscient de ces futilités et de ces glissements afin de bien vouloir affronter la réalité de la vie selon les préceptes de l’islam et surtout de par notre culture ancestrale. Avons nous déjà oublié ce que nous étions il ya de cela quelques années ou quelques siècles ? Notre passé ? C’est notre force et c’est aussi notre trajectoire vers l’avenir. Sans notre passé on risque de se perdre et dériver tout en croyant qu’on dérive sur une eau fraiche est exquise alors que la cascade est toute proche.
Cet état de fait relève d’une situation saugrenue ou bien nous méritons ce qui nous arrive ! Si cela s’avère vrai, alors l’éducation de nos ancêtres et celle de nos pères est devenue totalement un véritable fiasco.
Ce qui est vraiment bizarre et incompréhensible dans notre société, c’est qu’on encourage ce qui est mauvais et on condamne, on décourage et on démoralise cependant ce qui est bon et généreux, tolérable et recevable. Notre société est devenue tellement excentrique ? Que l’on n’arrive pas à la comprendre ni à la reconnaitre.
Un dicton disait que deux individus qui se trouvaient devant un roi pour être récompensés pour services rendus. Le roi disait au premier : « Demande et ta demande sera exaucée, par contre, ton ami recevra le double. Le premier après avoir réfléchi longuement avait répondu au roi : « Votre altesse, la seule chose que je peux vous demander en guise de récompense est : enlever moi un œil » le roi surpris puis avait compris la parade par contre son ami perplexe est devenu pétrifié !!!
Constat
Donc, à priori, si ces exagérations disparaissent ainsi que ces sautes d’humeurs négatives, les données pourront changer un jour en transformant ces pratiques comme celles qui existèrent auparavant.
D’ailleurs, le mode de vie avait pris lui aussi un sacré coup à cause de ces individus, qui sont responsables de cette hausse des prix et encouragèrent de manière indirecte l’inflation. Qui ne cesse, d’ailleurs, de grimper mais la chose la plus invraisemblable c’est que les prix des produits ont toujours tendance à grimper toutefois sans pour autant jamais reprendre leurs prix d’avant.
Les statistiques démontrent que pour une population avoisinant les 35 millions de personnes, Ils existent environ le tiers (11 millions) de jeunes filles ainsi que les séparées (sans mariages) et presque autant ou légèrement en moins de 6 à 7 millions) pour les garçons célibataires.
Cette analyse démontre un déséquilibre flagrant de la société, celui aussi du chômage. Alors, les faux riches ont complètement désarçonné le bateau qui commence d’ailleurs à chavirer.
Cause
Parce que ces faux riches, généralement, ne savent pas du tout conduire tout simplement un bateau, Malheureusement leurs ambitions les poussent à faire des choses insensées et incompréhensibles et dans beaucoup de cas similaires. Comme par exemple conduire un bateau sans en connaître les choses préliminaires de la navigation.
Temple de culte et tombe du Saint Sidi Mâamar
Commentaires
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- 1. Baki Le 28/09/2016
Sidi Maammar ben Alia, est un descendant de Sidi Mehrez de Tunis qui lui même est un descendant de Abderrahmane ben Abi Bakr Esseddik.
Abderrahmane, après avoir quitté sa tribu, les Bani Saad, en Arabie Saoudite, s'installa dans le sud de l'Egypte. Par la suite, ses compagnons et leurs familles se scindèrent en deux parties. L'une se dirigea vers le Cham (Syrie - Palestine ) et l'autre partie se dirigea vers l'ouest : Libye - Tunisie.
Ces gens se mélangèrent par des alliances parentales aux berbères des monts des Ksours. Les Ouled Sidi Cheikh sont les descendants de Sidi Maammar Ben Alia. -
- 2. djilali deghrar Le 30/05/2016
TALI Maamar,
cet article conforte l'histoire de sidi Maamar,son rituel ainsi que ses frères,ils sont venus d'El Bayadh mais leur vraie origine c'est Arabie Saoudite comme ce fut mentionné sur l'article. Si vous avez d'autres questions à poser n'hésiter pas à m'écrire sur mon e mail que voici ddeghrar@yahoo.fr et merci encore.
Djilali DEGHRAR -
- 3. TALI MAAMAR Le 28/05/2016
je suis une TALI MAAMAR, mon arriere grand pere fut sidi maamar enterre dans une petite ville compagnard " AL MAAMIR ", wilaya de Bouira, et mise a part quelques informations concernant par exemple les rituels de la nouvelle mariee je ne connais pas l histoire de mes racines et je ne sais le rapport entre mon arriere Grand pere " sidi Maamar " et celui de Al Baid
J'ai entendu dire qu ils etaient 07 freres separer, et chacun a pris la route dans une des villes de l'algerie et fonderent une famille qui s'agrandie avec les annees
En ce sens je voudrais bien avoir l histoire vraie et complete , merci d'avance -
- 4. Tali maamar Le 10/01/2016
Essalam alaikoum
Je suis un descendant directe de de sidi maamar dont la zaouia est à bouira, il y a une baladiya qui s'appelle sidi maamar ou il y a le darih.
Ma question : y a t il un lien avec sidi maamar de l'ouest d'algerie?
Merci -
- 5. Cher ami Le 02/01/2016
Monsieur
*je suis en train de réaliser un livre sur la ville de Ténès et il me manque l'histoire de Sid Maamar je vous prie de bien vouloir me transmesttre une copie afin de l'inclure dans le livre avec bien sur votre nom et prénom compte tenu que c'est votre travail
Mohamed El-ouahed journaliste poete
merci -
- 6. karizma Le 26/09/2015
bonjours. S'il vous plais quelqu'un peut m'aider je suis perdus je ne sait pas quoi faire...... ma famille n'est pas de sidi maamar mais mon futur mari l'est ... qu'elles sont les traditions que doit effectuer une bru qui n'est pas de sidi mamar mais son mari l'est????? ma belle mère m'a dit que je doit rentrer dans la sale des fêtes pieds nus mais c'est tout se qu'elle m'a dit ... je veut savoir s'il y a d'autres rituelles que je doit faire ...... merci d'avance..... -
- 7. ZOUAOUI mourad (12/01/2014) Le 05/07/2014
MR/ Deghrar djillali,
Vous me discreditez gratuitement en portant atteinte à ma personne par
des propos diffamatoires ,ce qui m étonne beaucoup de votre part !!
Bien que je suis en possession de mon droit de réponse ,PAR RESPECT
A NOTRE FAMILLE DU SITE ,je préfere éviter de rabaisser le niveau
et polémiquer avec vous ...........!!
La critique et l autocritique sont une methode d amelioration constante
de notre niveau culturel et idéologique ........
RABI YEHDIK OUA YAFIK.
MOURAD ZOUAOUI -
- 8. Meskellil (12/01/2014) Le 05/07/2014
Bonsoir cher ami et grand frère,
Ce n'est pas un cri de colère, mais juste un agacement face à la persistance de propos que j'estime inappropriés et non fondés dans leur teneur, et ce malgré les différents appels à la modération des internautes.
Je vous espère en forme et en pleine dynamique créatrice. Je vous souhaite un bon séjour à Miliana. Très bonne soirée -
- 9. ferhaoui (12/01/2014) Le 05/07/2014
bonjour ptite soeur meskellil ,pourquoi ce cri ! de colère ....au reste me voilà tout heureux, parce qu'un grand miroir que j'ai fait accrocher dans mon atelier reflète exactement une belle toile qui dit beaucoup de choses...plus tot qui en cache bien des souvenirs...une minute de reflexion suffit à me désenchanter. à bientot peut-etre l'ami ferhaoui, oran. -
- 10. Meskellil (12/01/2014) Le 05/07/2014
Les textes publiés dans la rubrique « éclairages et perspectives » s’adressent aux lecteurs de ce site. Ils sont au nombre de 26.
25 d’entre eux ont été généralement bien reçus par les lecteurs du site, et ont même suscité des débats autour des thématiques proposées, des compliments, des éloges... Que du positif, ça a permis peut-être à la rubrique de se pérenniser, tant mieux!
Pour le 26 ème texte, rien ne va plus !!
Ce qui m’interpelle, c’est la relance systématique de la polémique à chaque nouveau commentaire. Cette attitude belliqueuse commence à être pesante, et à questionner sérieusement.
Ecrire, c’est s’exposer, c’est prendre des risques !! L’auteur, quand il écrit doit se préparer à recevoir de bonnes critiques comme de moins bonnes critiques à partir du moment où il publie ses textes. Dès cet instant, le texte ne lui appartient plus à lui seul, mais également au lecteur. Il y a eu des commentaires avec droit de réponse, ce qui a été fait. Pourquoi revenir encore et encore dessus.
La critique doit-elle être toujours consensuelle, complaisante ? La critique constructive est une communication qui permet de corriger, d’améliorer, d’avancer. Si l’auteur offre des textes à ses lecteurs, il doit être en mesure d’accepter leurs critiques constructives, sans tomber dans l’agressivité et les expressions et autre vocabulaire déplacés comme il nous a été donné à voir. Si le lecteur est tenu de respecter l’auteur, ce dernier est aussi tenu de respecter le lecteur.
Si le consensus devient la règle, le risque est de gommer toute « aspérité », de museler tout son « discordant »… La suite, on la connait tous... -
- 11. CHENGAB KHALED (12/01/2014) Le 05/07/2014
Allez-y comprendre quelque chose dans cette cacophonie....On a beau vouloir prendre sur soi et se taire,force est de constater qu'il est difficile de rester muet devant pareil entêtement.On nage en pleine Obsession de Narcisse lá. -
- 12. DeghrarDjilali (12/01/2014 ) Le 05/07/2014
Oui c'est vrai, je suis honnête et sincère jusqu'aux os , cependant pas dans le sens de votre bourde sur le plagiat.
Néanmoins , je dois te dire une chose, peut être la brise de Marseille vous a dépeint et alors votre vrai masque apparaît en balançant souvent d'une manière indirecte (parce que je connais bien la personne) moi je ne suis pas comme lui malin et rusé essayant d'apparaître comme quelqu'un de compréhensif et de civilisé, et la dernière comme théologien c'est tout à fait le contraire de ce qu'il veut réellement nous faire croire.
SVP, écartez vous de mon chemin et ne me remerciez pas sans pour autant me dire des mots gentils qui sont voilés et ne représentent pas la vérité.Sur ce je termine. -
- 13. Chantal (12/01/2014) Le 05/07/2014
Quel plaisir et quel bonheur Mourad, Djillali et les autres … de constater que vous avez mis un point final à cette querelle. Vous êtes tous autant les uns que les autres indispensables à ce site par vos richesses intellectuelles et humaines. Quant à nos faiblesses - car nous en avons tous - l’important est de savoir les reconnaître et de les "dépasser". Bonne journée à tous. -
- 14. Benabdellah Mohammed (12/01/2014) Le 05/07/2014
ESSALEM àtoutes et à tous.La grandeur des Hommes se traduit toujours par le méa culpa de soi-meme.Notre religion nous recommande de ne point cultiver de l'animosité envers notre prochain et de se précipiter pour demander le pardon.Le nuage d'été s'est estompé pour laisser la place à une sincère amitié, durable dans le temps et l'espace.Tout est bien qui finit bien.Bravo aux acteurs! Bonne journée. -
- 15. ZOUAOUI mourad (12/01/2014 ) Le 05/07/2014
BONSOIR MR/ DEGHRAR DJILLALI,
PERMETTEZ-MOI DE VOUS DIRE TOUT MON RESPECT ET MA CONSIDERATION
POUR L HONNETETE ET LA SINCERITE DONT VOUS VENEZ DE FAIRE PREUVE
AU DELA DES CONTROVERSES ET DES POLEMIQUES VOUS RESTEREZ A MES
YEUX ,TOUJOURS,UN GRAND HOMME.........
AMICALEMENT.
MOURAD Z. -
- 16. ferhaoui (11/01/2014 ) Le 05/07/2014
bonsoir ma chère kéryma ok! a condition avec toute la grande de notre site sans oublier notre charmante noria, avec plaisir j'accepte l'invitation j'adore le baghrir qu' on arrosera sans excès de miel. et surtout sa saveur et son odeur diffèrent au gré de la femme qui le prepare....l'ami ferhaoui, oran. -
- 17. DeghrarDjilali (11/01/2014 ) Le 05/07/2014
Salut tout le monde.
Je remercie tt le monde, et vous avez démontré que êtes des braves et cela je le savais.et merci beaucoup de vos attentions.ceux qui sont ici en Algérie et d'autres qui sont éparpillés dans ce monde.
Avant de clôturer ce dossier ouvert en tout cas pas par moi., parce que j'ai l'impression que nous nous conduisons comme de véritables enfants gâtés.
Laissez moi vous donner la véritable définition du mot plagiat:
"C'est une reproduction, voire une copie conforme d'un texte"
Les personnes qui écrivent des livres ou des articles se penchent régulièrement sur des ouvrages, font beaucoup de recoupement, beaucoup de filtrage et lisent beaucoup de livres similaires au sujet choisi pour enfin présenter et ou "pondre " un résumé , une synthèse sous forme d'un article.
Et tous les écrivains ou journalistes du monde se comportent de la sorte.Et ce n'est point du vol ou sur l'honnetêté intellectuel.
Je me suis senti agressé dans ma peau sans avoir fait du mal à quiconque alors j'ai répondu.
Tous les amis de l'association du lycée vous passe le bonjour, il y avait une réunion élargie sur le bilan moral et financier de l'association.au lieu de nous quereller essayons de voir comment on doit l'association sur le plan cotisation et autres parce que sans cela, cette association va perdre de tte sa ferveur.
Djilali qui vous embrasse tous et je m'excuse du désagrément causé par moi et par mes amis.
merci et encore merci. -
- 18. keryma (11/01/2014) Le 05/07/2014
Cher ami Ferhaoui Bonsoir,
Tu es toujours égal à toi-même, j'admire ta sagesse, j'espère que tout est rentré dans l'ordre! Nul ne supporte les conflits!
Allez les garçons (vous deux)!
J'ai fait un tas de baghrir, je vous en donne beaucoup plus que les autres!
L'ami Ferhaoui pour toi aussi et pour tout ceux qui en veulent!
Amitiés,
Kéryma, -
- 19. ferhaoui (11/01/2014) Le 05/07/2014
bonjour la grande famille! bonjour kéryma que du bonheur...tout semble etre finalement rentré dans l'ordre dieu merci c'est avant tout le voeu et j'en suis certain de tous nos amis internautes. quant aux conflits de circonstance, souvent malheureusement par des mots qui pretent le flanc, et provoquent oh! combien de faux débats, et de surcroit entre des personnes de qualité de haut niveau qui me sont très chers et croyez moi loin de toute langue de bois ce ne sont pas des fleurs, mais une réalité l'ami ferhaoui, oran -
- 20. Abdelkader Daoudi (11/01/2014 ) Le 05/07/2014
Bonjour Aziz,
Thank you for your kind and heartwarming words. I hope that you are doing fine.
La grosse vague de froid exceptionnelle qui a paralysé la partie nord du pays est finalement passée. Selon les dernières nouvelles, elle se dirige vers le vieux continent. I will cross my fingers and hope that it will miss the location where you are.
Because I know as you do that home is where the heart belongs and beats to the colorful sounds of its streets, mountains and valleys, I invite you to enjoy this timeless and priceless song http://www.youtube.com/watch?v=9j0L57HJkm4 so our hearts never stop beating to the sounds of our sweet home despite the long and winding roads we took.
So long and take care for now.
With my warmest regards,
Abdelkader Daoudi
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