Articles de algermiliana
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De Zucchabar à Timgad
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Partenariat-Échange
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Deuxième journée.
Suivant le programme tracé de nos hôtes , le groupe de Chemora devrait au matin même rejoindre Timgad .C'est le point de ralliement en vue du départ vers les lieux de visite .
Avant même que l’aube ne pointe sa lueur pour la prière que nos hôtes de l’auberge de Chemora ont tout préparé et mis en place pour notre premier déjeuner. Ils n’ont pas failli à leur règle du programme pour nous réveiller. Ce matin là du premier jour , à 06h le café du petit déjeuner était tout préparé et à table. L’arôme d’un bon café de maison s’est bien fait sentir.Mais pour ce petit -déjeuner, moins de monde que prévu s’est levé. La fatigue du voyage a peut être contraint certains à devoir profiter de quelques minutes. A 6h30, on voyait venir les dames et les messieurs avec pleins de rêves en têtes à raconter,. Et c’était devant une tasse de café ou un café au lait que les discussions fusaient, où chacun ce temps « se plaisait à dire » d’avoir si bien dormi pour une fois dans sa vie même au gré d’un tas et tas de tous sortes de vacarmes .Cette nuit là , pour eux de vieilles bolides et moteurs à vapeurs n’ont point manqués de sortir à vadrouiller et vibrer en champ libre dans la nature . Chacun est là à raconter et à rire d’une nuit inouïe passée à entendre pour une fois dans sa vie qu' un avion au décollage tarde à prendre son envol , qu' un train à vapeur qui passe en gare, siffle trois fois sans s’arrêter, un aspirateur qui souffle au lieu d’aspirer , mais surtout une tronçonneuse qui chuchote ou un marteau piqueur dansson travail en intermittence.
L’heure de distraction passée, les dernières tasses de café des retardataires aussitôt consommées ,qu’on voit qu’il ne reste plus qu’à éteindre le feu de bivouac et lever le camp au plus vite . L’heure de départ est bien passée de quelques minutes.
Sans s’attarder..on sonne le clairon du rassemblement pour 1er départ au combat .Il est 07h , et on devrait être à Timgad 7h30 .Timgad ville est distante par sa route principale de 23 kms de notre lieu de campement Chemora.
On oublie pas le réceptionniste de l’auberge pour la remise des clés , et on remonte encore une fois contrôler qu’il n’y est pas d’oubliés dans les chambres.. A toutes les portes on frappe une dernière fois. Les chambres 18, 08 et 13 sont toujours occupées. Un dernier appel les avertit que le train s’en va et n’attend personne. Ils ne tarderont pas à nous rejoindre.07h30 notre beau monde est à bord sans qu’on ne laisse personne. Pour cette fois on laisse les petites cylindrés se reposer. On prendra le bus ensemble comme il a été prévu au programme, ce qui convient mieux pour chanter en groupe. On prend la route vers Timgad mais cette fois ci on change d’itinéraire.On y va par la RN 88 longue de plus de 50 kms mais plus praticable que la 87 avec ses 23 kms seulement en cours de construction par endroits. On rajoutera 30 mn de plus au temps réglementé mais cela évitera à crier de temps à autre au chauffeur qu’il y a pleins de passagers fragiles à ramener à bon port..
Notre guide qui se trouve en ce temps à Timgad doit bien s’impatienter de ce retard imprévu sur son agenda d’emploi du temps..08H on arrive à Timgad. Devant l’hôtel, on voit que le cortège est prêt pour le départ de l’expédition .Une land rover station wagon de la protection civile est en tète du convoi et qu’un 3eme mini bus pour nos hôtes de Batna complète le convoi.
Le plein en gaz oïl, est fait , on distribue de petites bouteilles d’eau. Les partants se divisent dans les trois bus. Tout est prêt.8h30 Le guide lance le mot d’ordre au premier véhicule de la protection civile en tête pour prendre le départ. Direction le village de Ghassira dans la commune de T’KOUT . Là où l’on va c’est aux Balcons de Ghoufis. Un lieu Touristique de la région des Aurès. nous dira notre Guide d’exception Mr AMOR chergui.
Avec un beau sourire aux lèvres , que même ses yeux sous des lunettes de vue ont eu à donner le reflet de leurs joies dans son visage ,il nous dira On vous emmène à GHOUFI un lieu où quand on le voit et quand on la vu l’on dira:Voir Ghoufi …Et le revoir. -
EL AALAOUI
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Sous cet air de musique populaire, on entendit deux bonnes têtes qui ne finissaient pas à se parler entre eux.
- Et Chantal de dire à Moha bravo Med pour cet air populaire bien de chez vous.
- Moha lui dira C'est une danse traditionnelle "El Aalaoui" de AIN TEMOUCHENT et de tout L'ORANIE.
- Je crois que c'est facile de la danser dira Chantal, il me suffit seulement de bouger le corps et taper du pied.
- ET ce que Moha voit à l'instant fut l'incroyable et dira à Chantal tiens mais tu es déjà entrain de le danser et tu danses bien sur cet air lointain.
- Chantal riait ,riait riait tout comme tout dans un fou rire pour lui dire je ne peux plus me retenir maintenant Moha.
- Moha, le nez en l'air comme un grigou ne trouvait quoi lui dire que de se montrer galant pour lui dire : " Est ce de ton rire ou de cette danse que je dois te retenir Chantal ".
- Chantal toute folle encore de danser encore lui dira ni l'un ni l'autre, mais la danse est magnifique, c'est quand est ce une prochaine fête chez vous Med.
- Eh Moha compris qu'il était maintenant dans de beaux draps comment faire admettre aux hommes qu'une femme peut tenir une canne et danser comme eux El Aalaoui.
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l'histoire de Carmenzita
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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L'histoire de Carmenzita (Histoire vraie)
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CHANTAL nous manquera Gm...
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Ce jour là Une triste nouvelle arriva, L'annonce de la nouvelle dit "Chantal l'Amie du Site nous quitte".
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Survivances d'Enfance/ Part 4
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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L’oued Cheliff bien auparavant était un courant d’eau important avec risque de crue soudaine. Si L’évènement d’une crue se produit, c’est pendant les turbulences maussades d’hiver et avec l’abondance du ruissèlement des eaux des coteaux et pentes périphériques. La montée brutale du niveau des eaux se fait aussi par extension sur les berges. À forte raison qu'une pluie torrentielle tombe plusieurs jours, qu’aussi bien le grand barrage Ghrib en temps de pluie et neige n'arrive plus à retenir ou à maintenir toutes les eaux accumulées dans son lac de retenue d’eau. Et dans l’état où s'accentue davantage le déluge il sort de son lit .Ses eaux se mélangent dans l’aspect d’une liquidité boueuse de couleur brunâtre. On voit la crue dans un écoulement de précipitation en forte augmentation d’ hauteur. IL devient par son ampleur impressionnant.
Du lieu de notre petit « chez soi », à seulement quelques enjambées à faire, quand les fortes pluies entrainent des crues cela nous mène des fois à assister à la montée des eaux de l’oued. Au grand étonnement, on est là attiré par l’événement du spectacle phénoménal de flots ininterrompus qui défilent avec force et violence entre les deux rives. On sera là devant l’habituel cours d’eau paisible dans son évolution qui en devient par le temps qui cours subitement cruel, il n’est plus à pénétrer ou à s’approcher davantage. Les deux rives des côtés, ne seront plus distincts à voir avec l’augmentation du niveau d’eau surélevé au-dessus d’eux .Les eaux s’ajoutent continuellement les débordent. Et Implacablement la masse gigantesque des eaux de crue qui circule, arrache et emporte tout ce qui est sur son chemin. C’est quasiment comme un rouleau compresseur qui passe où que rien n’arrête ou ne résiste. Parfois il apparait désolant de voir tout ce qu’il emporte.
Aux diverses choses flottantes qu’on voit en surface de la masse d’eau prodigieuse qui crée l’inquiétude, s’ajoute du bétail. Dans ces circonstances d’un mauvais temps, les pluies intenses de courte durée momentanément engendrent toujours un danger, et bêtes et bergers sont toujours pris au dépourvu d’un retour des pâtures. Dans les eaux tumultueuses on remarque pas mal de bêtes sans vie, d’autres dans leur dernière lutte contre la mort on les voit inlassablement à la recherche du rivage. Et toutes ces pauvres bêtes dans un courant irrésistible, sont entrainées avec branches, troncs déracinés.
Pour une crue de l’oued, le spectacle qui se manifeste et émerge à la surface de l’oued devient fascinant à contempler. Au loin, on restait, pendant des heures regarder à distance l’afflux surabondant des eaux. L’ardeur des' flots qui avancent et qui s’élargissent davantage jusqu’à interférer une puissance qui va de l’avant et que rien n’arrête. Le spectacle alors ébranle la vue, qu’il est tellement effrayant et terrifiant. Intentionnellement au risque on nous apeurait, c’était par crainte qu’on s’approche trop de la rive. Mais à toute audace murement réfléchie, qui ne risque rien n’a rien. Les gens du voisinage venaient aussi comme nous voir et constater où la crue a bien pris ses limites pour le raconter plus tard.
Les événements tragiques de l’oued et de ses crues sont restés poignants dans les annales qui se racontent toujours. Même à nos jours on trouve ces faits chez ceux qu’à l’époque leurs parents leur ont racontés. Dans la chronologie de ces circonstances, les exemples survenus abondent. On raconte un fait parmi tant d’autres qui parait incroyable mais vrai. L’histoire dit que l’oued au cours de sa crue a emporté et entrainer avec lui le ramassis tout entier d’un gourbi. Le plus spectaculaire et comme du jamais vu il fut encore plus charmant. Sur le toit de chaume du fartas en naufrage, sur ses deux pattes se tenait bien hardi un coq à scruter l’horizon, sa crête en l’air bien haute comme un bonnet point mousse. Téméraire comme une vigile dans un nid- de -pie à observer où va la dérive et à donner sans cesse des signaux de détresse par ses cocoricos .il se tenait droit debout ; Hélas, le chemin ne fut pas bien long encore. Après maints appels le gourbi en biens et âme fut engloutis et le corps du malheureux coq n’a jamais pu être retrouvé.
C’était ça l’Oued Cheliff à l’époque avant que les eaux du barrage n’aillent après dans des conduites de canalisation se jeter dans des bassins artificiels qu’on appelle piscine ou plutôt baignoires dans lesquelles des gens aisés prennent des bains ensoleillés.
Figure 1et 2 vue du Barrage Ghrib sur les hauteurs de Djendel
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Incroyable contact
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Incroyable fut-il un contact ! Que celui d’un jour d’un mois d’Avril
Celui qui fut pour une ‘’méconnue ‘’ telle que moi Vincent Chantal
Ou encore, fille désavouée d’avoir laissé un (mon) cœur en terre natale
Où Là mes cheveux s’élevaient au vent en un queue de cheval
A mes anges d’enfants, sans surcroit, sans aberrance
Comme l’est un conte se racontait de moi toute mon histoire d’ enfance
L’histoire à moi en pleurs disait à leurs ouïes
De mon pays tant aimé et, éloigné j’y ai passé une vie inouïe
Là où votre Chantal petite encore, était lycéenne en tablier à Alphonse Daudet
Et nullement comme on le dit pour un recueil Barodet
Mes anges opinaient mon recueil, il était de mon cœur
Où cette joie de lui en a libéré de moi mes pleurs.
Tout grâce à une Noria qui comme dans un conte de Fée
Une fille épeurée d’un temps, devenue Grand –Mère, ce jour fut retrouvée
Aux retrouvailles... C’était moi la fille « Chantal »
Accueillie à bras ouverts, lire une page de son histoire comme dans un récital. -
Reste prés de moi
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Reste près de moi, G.M ne t’en va pas encore …