Articles de algermiliana

  • Malgré la cécité, Ahmed BEKKA continue d'éclairer la société...

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    Ahmed Bekka, non voyant depuis l’âge de 14 ans, Il continue de travailler avec son handicap. Tout comme s’il était tout à fait normal, en innovant, en créant la joie autour de lui, il était également très populaire :

     

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    Ahmed Bekka fut cet homme plein d’espoir, de courage et d’abnégation. Il fut aussi cet homme qui ne savait compter que sur soi-même, et, cela depuis son jeune âge. Souvent, marginalisé et isolé. Donc, instinctivement, il était là, présent avec toujours son incapacité. Certaines familles maudissaient indirectement leurs enfants à cause de l’handicap et où la cécité qui les caractérisent. Et, lorsque le mis en cause devient adulte et même encore plus, les données changent et s’agencent complètement comme par enchantement !

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  • Pourquoi le footbal Brésilien est-il si captivant ?

    rt.jpgPar DEGHRAR Djillali, Ain Defla. AE-LFM
    ddeghrar@yahoo.fr

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    • Entre, la mécanisation du football Européen,
    • La lourdeur du football Africain,
    • La vivacité du football Asiatique,
    • Et surtout, la prouesse, la maitrise et le talent du football  Sud Américain et plus précisément celui du Brésil et de l’Argentine.

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  • Le Saint Sidi Ahmed Benyoucef

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    En homme de culte bien attentionné, Il était également ce sage et ce mythique personnage qui était d’ailleurs très écouté. Il fut un grand artisan pour démêler bon nombre de problèmes de son douar et de sa communauté. Il fut aussi ce grand technicien aux multiples prouesses dans l’agriculture et plus précisément au problème de l’irrigation de l’époque.

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  • Sidi Fredj, un lieu, une histoire ou un mythe!

    Sidi Fredj, un lieu, une histoire ou un mythe!

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    Par DEGHRAR Djillali, Ain Defla. AE-LFM
    ddeghrar@yahoo.fr

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  • Les malades mentaux...et les braves guerriers

    rt.jpgPar DEGHRAR Djillali, Ain Defla. AE-LFM
    ddeghrar@yahoo.fr

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    Tout le monde peut basculer un jour par dessus la barrière mais aurions-nous, vraiment la chance et la possibilité de rencontrer ces fameux braves guerriers ?

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  • Adresses utiles concernant l'autisme en Algérie

    A l'attention de Mr Aziz

    Fédération Algérienne des Personnes Handicapées

    • Cité les Asphodèles Bt B n° 2 Ben Aknoun Alger
    • Téléphone(s): 021 913 670
    • Fax: 021 913 108
    • Courriel: atika.elmamri@gmail.com

    Association ALIF

    • L'aide à l'insertion socioprofessionnelle des enfants en difficulté mentale.
    • Hai El Bina villa n° 98 Dely Ibrahim Alger
    • Téléphone(s): 0771 506 937
    • Courriel: alif.tamani@gmail.com

    NADA

    Réseau Algérien pour la Défense des Droits de l'Enfant.

    TAWASSOL
    Association TAWASSOL pour l'enseignement et l'intégration des enfants autistes.

    Handicap International
    Vivre debout

    Association Entr'Aide Populaire Familiale
    Association Entr'Aide Populaire Familiale en faveur des Handicapés mentaux.
    • 97, rue des frères HAYAOUINI El Makkaria Alger.
    • Téléphone(s): 021 263 130 & 0772 800 861

    ANIT
    Association Nationale pour l'insertion scolaire et professionnelle des Trisomiques.
    • 14, rue Djelloul Mechede Alger
    • Téléphone(s): 021 734 917 & 0550 437 178

    Association Aide aux Handicapés Mentaux
    Agréée par M. Le Wali d'Alger en septembre 1976 sous le numéro 112 dossier n°2.
    • 76, chemin Mohamed Bachir El Ibrahimi El-Biar Alger.
    • Téléphone(s): 021.921.715 & 021.922.005
    • Courriel: aai76@caramail.com

    Associations Autisme Algérie

    Alger

    • A.E.A. :  Association de l’enfant autiste de la wilaya d’Alger.
    • L’association de l’enfant autiste de la wilaya d’Alger ,centre culturel d’El-Biar (ancienne église) .TEL: 05 54 68 00 24

    Azzaba (Skikda)

    Association pour les parents d’enfants porteurs de TSA

    Dellys

    «Les jardins de l’espoir» Dellys, l’association des enfants autistes «Les jardins de l’espoir»

    Ain El Hammam

    ASSIREM. Centre Si Mokrane.

    Téléphone 0772 57 65 88
    Adresse électronique : assiremathailem@yahoo.fr
    Le centre si mokrane de prise en charge psychopédagogique des enfants inadaptés est crée par l’association assirem. il est composé de quatre salles, deux bureaux d’administrations, un bureau de consultation psychologique, une infirmerie, un magasin, une cuisine, une cantine, une salle de motricité et des sanitaires. Le centre a ouvert ses portes le 11/09/2011 pour accueillir 25 enfants de la région de A E H et ifferhounene repartis en quatre groupes selon leur retard mental. Ces enfants sont pris en charge en demi pension de 9h00 à 15h00.

    Béjaia

    A.P.C.E.A. Association Pour la Prise en Charge des Enfants Autistes-Wilaya de Béjaia.

    Sétif

    Les Oiseaux du Paradis.  Site:http://www.lesoiseauxduparadis.org/?cat=structures

    http://www.lesoiseauxduparadis.org

    L’Association gère plusieurs structures dans la région, localisées sur la carte google mentionné en haut de cette page

    Jijel

    « Madraçati ana ayden » est le nom de la nouvelle association fondée dans la ville de Jijel par des volontaires, des parents d’enfants autistes, dont le but est la prise en charge et l’orientation de ces enfants, assez spécifiques, dont l’intelligence une fois orientée et développée en fait des génies dans certains cas ou des surdoués.

    Batna

    Association NIDAA. Association d’enfants Autistes NIDAA de Batna. NIDAA Association of Autistic Children Republic Avenue Merouana Postal Code: 05300 Wilaya de Batna Algeria

    Tel: +213 773 213 099
    Email: tamino70tr@yahoo.fr

    Constantine

    Association WAFA .

    Skikda

    AMEN -.Pour les enfants autistes de la wilaya de SKIKDA.

    El Oued

    TEJ, EL OUED

    pour la santé. El Oued http://www.tej-sante.com/

    Guelma

    Charif Guelma Autisme, GUELMA

    Siége : 159, Rue du 18 Février ( ex 19 JUIN). Guelma. Algérie.
    Tél:  05.54.35.95.50 (international : 00213.554.35.95.50)
    07.79.27.94.37 (international : 00213.779.27.94.37)
    Tél fixe & Fax:  037.21.36.79    (international : 00213.37.21.36.79)
    Adresse Mail : charif.autismeguelma@yahoo.com

    Tebessa

     » La passerelle de l’espoir des enfants autistes  » (En attente d’agrément.)

    جسر الامل لاطفال التوحد
    تبسة
    N° téléphone : 05.56.79.15.38.

    Tissemsilt

    Association des enfants autistes de Tissemsilt.

    Oran

    ASAOR

    Classe spéciale pour enfants autistes : École Abdoullah Ibn Massoud.
    (عبد الله ابن مسعود)
    Adresse: Rond-point de la Glacière. Cité Petit. Hai El Badr.Oran.
    tel: 0555.03.82.42
    Email: autism.oran@gmail.com

    AAT Association Autisme Tlemcen, TLEMCEN

    http://www.autisme-tlemcen.com/

    Mascara

    El Ihsanne  » Ecole de la vie  »  .

    RUE BENTHABET ABDELKADER EX ROUTE DE L’ABATTOIR BP 22
    Mascara, Mascara (29), Algérie

  • La saleté et le civisme des citoyens

    rt.jpgPar DEGHRAR Djillali, Ain Defla. AE-LFM
    ddeghrar@yahoo.fr

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    La plus part de nos rues, de nos cités, de nos quartiers et surtout de l’ensemble de nos villes sombrent déjà dans une espèce de puanteur avec une odeur nauséabonde rendant nos rues et nos habitations infréquentables, avec en plus une prolifération des mouches et autres insectes nuisibles avec le temps une abondance de maladies liées à ces déviations.

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  • L'autisme

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      Il m’a fallu beaucoup de temps pour me décider à écrire cet article à cause de la branche de la médecine de cette spécialité. Cette pathologie renferme plusieurs spécialités alors que par le passé je faisais participer uniquement le Dr Abdallah Ayouni. Cela été très difficile, pour moi, d’associer à la fois plusieurs médecins dans un même papier. J’allais abandonner mais au vu de certains lecteurs qui m’ont sollicité de faire un article sur le sujet entre autres notre chère « Hortense » Alors j’ai dû réfléchir longuement, afin de préparer ce document, pour cela. Il a fallu se rapprocher et discuter avec un ORL, un épidémiologiste, un neurologue, un psychiatre, un pédiatre et le président de l’association des autistes à Ain Defla. La pathologie l’exige.

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  • M'Bohi, le gardien et aussi l'homme volant

    rt.jpgPar DEGHRAR Djillali, Ain Defla. AE-LFM
    ddeghrar@yahoo.fr

     

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    De Boubekeur à M’bolhi en passant par Abrouk et Cerbah, les araignées. Noires d’une épopée et aussi celui d’un sport appelé Football.

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  • Persévérance, Sacrifice et Patience...

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    Ahmed Bessekri fut cet homme qui à l’instar de son parcours riche en enseignements, avait transcendé toute son énergie, sa détermination voire son abnégation pour venir à bout de sa déficience physique (pour ne pas dire handicap). Afin de réaliser et atteindre son principal objectif qui est celui de lutter et combattre tout seul une maladie très complexe définie comme une paralysie de ses membres. Franchir et traverser toutes ces épreuves furent une étape très pénible, à cela s’ajoute les approches inquiétantes et incertaines de certains praticiens n’étaient pas du tout rassurantes et encourageantes. Pour retrouver ne serait qu’une mince lueur d’espoir. Pourtant, le miracle s’était produit. Le comment et le pourquoi, nous le saurons à travers la lecture de ce texte.

    Pour en savoir un peu plus, notre cher Ahmed Bessekri avait bien voulu répondre à nos diverses questions afin non seulement de nous éclairer sur sa maladie mais également de nous permettre de  réaliser ce document:

    Profil d’Ahmed Bessekri

    hebergement d'image  Né le 26 janvier 1955 à Ain-Defla. Homme corpulent pas très gros ni obèse, légèrement trapu, mais convenablement ancré sur ses deux pieds. Possédant une taille moyenne, ne dépassant pas la soixantaine, généralement calme et très courtois, arborant une conduite pondérée, dotée d’un calme olympien. Discret dans sa vie de tous les jours et distrait avec les amis ne disait rien sauf lorsqu’il est convié. Il est en quelque sorte très réservé, sa maladie lui avait inculquée à se comporter toujours de cette manière et non autrement. Dégageant une hygiène corporelle remarquable et toujours bien vêtu. Des vêtements pas à la mode mais choisis selon les circonstances, aussi en fonction de sa corpulence, de la couleur de ses cheveux et aussi celle de sa peau. Toutefois, il était en quelque sorte quelqu’un qui savait apprécier la vie et encore plus ses escales.

    •  Cursus scolaire primaire     : Ecole de garçon Mahrez Khelifa (centre-ville d’Ain-Defla) de 1960-1965.
    •  Moyen                                    : Au niveau du CEG d’IBN-SINA (Ain-Defla), 1966-1970.
    •  Secondaire                            : Lycée Ferroukhi Mustapha ex Alphonse Daudet (Miliana) de 1970-1974.

     

     

    Etudes supérieures

    • De 1975 - 1976 Bab Ezzouar (Alger) Biologie.
    • De 1976 –1977 Formation au niveau de l’ITE à Chlef.
    • Précous dans l’enseignement en 1978-1979.

    Autres attraits                        :   

    • Service national de 1979-1981.
    • Dans l’enseignement de 1981-1985.
    • Surveillant général de 1985-2008.
    • Retraité à partir de 2008.

    2010 : Date fatidique

    La mise en retraite tout le monde y pense et on en parle, chaque concerné songe sérieusement comment va passer la fameuse mutation en bien ? Ou en mal ? L’esprit est complètement taraudé, comment vais m’y prendre ? Est ce que je vais continuer à travailler ? Vais-je continuer mes propres travaux à la maison ? Ou bien je vais profiter de ma retraite pour aller visiter la famille, visiter des villes ou revisiter d’autres que j’avais prévu, désiré et souhaité les revoir. Ou tout simplement replonger dans mes souvenirs et projets de jeunesse. En 2010 et plus précisément le 7 novembre 2010, notre ami Ahmed Bessekri avait justement choisi de terminer certains travaux dans sa maison. Lorsqu’en reculant, il est tombé, à la renverse, dans le vide d’une hauteur de 4 mètres. Le gros de sa chute fut supporté par sa tête. Transporté en urgence vers l’hôpital d’Ain-Defla.

    Intervention chirurgicale

    hebergement d'image  La gravité des blessures forcèrent les toubibs de l’époque à le transférer, en urgence, vers l’hôpital de Franz Fanon de Blida. Résultat : plus de 15 jours dans le coma (réanimation). Une opération neurochirurgicale qui avait durée plus de 4 heures par le spécialiste Dr Bouzidi Zoheir en neurochirurgie. Touché à la 6ième et 7ieme vertèbre et qui avait comme conséquence et complication un entassement des vertèbres avec écrasement de la moelle épinière suite à une chute, le patient était atteint au niveau de la nuque. Le résultat de l’opération neurochirurgicale fut le suivant :

    • Atteint au niveau de la 6ième et la 7ième vertèbre.
    • Coma pendant plus de quinze jours
    • Quatre de ses membres paralysés
    • Directement installé au niveau d’un fauteuil roulant.
    • Nécessitant une rééducation pendant plus de10 mois.

     A la sortie de l’hôpital, le praticien Dr Bouzidi Zoheir avait recommandé au patient et surtout à sa famille certains conseils pour passer au mieux la rééducation du malade. Bien sûr, cette rééducation sera  appuyée par des visites de contrôles médicaux accompagnées également de bilans et différentes radios. Pour le suivi médical et surtout afin de constater de visu les éventuelles changements et/ ou améliorations du patient.

     

    Période de rééducation

    hebergement d'image  Une rééducation de 9 mois fut observée avec des contrôles médicaux de la paralysie de l’ensemble des membres. Cette période fut longue et difficile. Imaginer une personne en bonne santé se trouve du jour au lendemain cloitré dans son lit avec une paralysie de ses quatre membres ? Impensable et inconcevable mais il fallait y vivre avec. Je voyais défiler les jours, les semaines et les mois sans pour autant ne constater aucune amélioration. La famille  qui paniquait et qui offrait inlassablement leurs soutiens et leur disponibilité, j’étais en quelque sorte comme une personne dans un vase clos et je ne voyais rien venir.  Alors j’ai décidé de me prendre en charge moi même c'est-à-dire sans l’assistance de mes proches et de mon entourage.

     Ayant tracé un programme qui me semblait logique me permettant de ne compter que sur moi-même. Cela a été, certes, pénible et douloureux. Néanmoins, je faisais tout moi-même, je ne voulais l’aide de personne. Ma famille autour de moi, médusée et déconcertée, était dans le désarroi mais moi je continuais et je répétais dans ma tête sans cesse : « ça passe et ou bien  ça casse ».

     Cette méthode m’a poussé à redoubler les efforts indispensables tout en restant éveillé et conscient. Dans ma tête, je savais que tout cela allait aboutir à quelque chose  mais je ne savais pas de quelle manière, mais je continuais et je priais Dieu sans cesse pour qu’il me donne la force, la foi, la patience et surtout le courage afin de poursuivre dans cette voie. Ma fille Fella qui m’adorait beaucoup, pleurait de me voir dans cette situation, elle voulait être tout près de moi et m‘aider dans mes éventuels mouvements.

    hebergement d'image  Mais je refusais toujours, je voulais coûte que coûte subvenir tout seul à mes obligations de tous les jours. C'est-à-dire aller ou bon me semblait avec l’appui de ma canne Canadienne. Aller tout seul dans le petit coin. C'est-à-dire être autonome, avec bien, sur les difficultés que cela allaient engendrer. Certes, c’était difficile et rude. Devant ces gênes, ma fille éclate souvent en sanglot. Un jour, et devant ces situations qui perdurent. Je lui ai demandé de m’accompagner dans ma chambre. Je l’ai embrassé et passai mon bras autour de son cou. Je lui ai expliqué que pour réussir mon programme de rééducation, il faudrait que cela se fasse ainsi. Tu as remarqué pendant les deux premiers mois, aucune amélioration n’est apparue. C’est vrai que ce n’est pas beau à voir ma fille mais il faut s’y faire avec pour qu’on puisse aboutir à un résultat et d’ailleurs ce ne sont que les recommandations du toubib. Pendant longtemps, ma fille Fella ne pouvait supporter le mal que j’endurais tout seul. D’ailleurs toute la famille en subissait les conséquences mais ma petite Fella en était vraiment la plus touchée. Avec le temps, elle s’est semble-t-elle accoutumée à la réalité des faits.

    Persévérance, sacrifice et patience

    Après dix mois de calvaire, de persévérance, de sacrifice et de patience, je commençais à faire remuer graduellement mes phalanges, ensuite mes pieds. La famille était heureuse et surtout ma petite Fella qui en était très ravie. Le Dr Bouzidi Zoheir, qui actuellement avait ouvert une clinique au niveau de la ville de Khemis Miliana et opère au niveau de la clinique ouanchariss. Il  n’en croyait pas ses yeux mais il était heureux. Il a ajouté que j’étais un miraculé. Cet état de fait m’avait beaucoup encouragé à faire davantage d’efforts et de sacrifices. Pour mieux me rétablir et gagner en confiance. Et depuis quelques temps je sors pour faire les courses, rencontrer des amis comme un être tout à fait normal sauf que je trimbale toujours avec ma canne Cannadienne. Quelques séquelles sur mon handicap d’origine, néanmoins je me porte à merveille. Ma petite Fella est actuellement en deuxième année universitaire et elle est très contente de me voir ainsi.

    Société…

    Le regard des gens était semble t-il trop pénétrant pas moqueur mais donnant l’impression reflétant beaucoup trop de la pitié. Ceci n’encourage pas bien les patients. A l’avenir, pour encourager certains malades, il faut leur parler et discuter si comme s’ils n’étaient pas malades ou bien atteint de quoi ce soit. Ceci, leur donnera la possibilité de se sentir normaux. Ils n’ont pas besoin de compassion. Un sourire vaut mille fois le regard mal placé (l’évitement). Et, il vous le sera rendu avec beaucoup d’amour, de franchise et de loyauté. La société peut jouer un rôle prépondérant envers ces malades mais il faut se comporter  intelligemment,  parce que, ces malades, sont généralement froissés par ces regards répétitifs désobligeant pour certains, mal à l’aise pour d’autres, à cause de leur maladie, d’où leur refus ou des comportements un peu biscornus. 

    Conclusion

    Je lance un appel à tous les malades, maladies diverses et spécialement celles de la neurochirurgie, il ne faudrait jamais baisser les bras et s’avouer vaincus. Il existe beaucoup d’alternatives et abondamment de chances et possibilités pour venir à bout de votre mal. Il ne faut jamais baisser les bras et laisser le temps vous détruire et détruire davantage votre famille et votre entourage. Il suffit d’avoir la force et la foi pour faire changer les choses.