Articles de algermiliana
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Les vieux : bonté et sagesse par excellence !
- Par algermiliana
- Le 13/04/2023
- Dans Le Coin de Ahmed ARBOUCHE
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En une journée glaciale du mois de février ; comme pour se complaire de la nostalgie du hameau que couvrait un brouillard épais, un enfant guettait par sa fenêtre les rares passants qui arpentaient un sentier ; à proximité de leur maison.
Un vieil homme passa avec sa brouette, s’arrêta non loin de leur maison et entra dans le jardin d’une demeure abandonnée, prit son sécateur et commença à tailler des rosiers plantés, il y’a bien longtemps, par les voisins partis ; on ne sait où.
Le vieil homme prit dans sa brouette toutes les tiges amputées, comme pour dire qu’il a nettoyé les lieux ; n’y laissant aucune trace d’immondices, avant de quitter les lieux.
L’enfant tourmenté au plus profond de lui-même par ce geste, lui paraissant osé, éprouva un sentiment de répréhension, nécessitant de sanctionner la faute commise par le vieil homme partant avec sa brouette et, emportant avec lui quelque chose qui ne lui appartenait pas. Le vieux s’éloigna pour n’apparaitre - au loin- que silhouette et, l’enfant se retira de sa fenêtre, écœuré d’avoir assisté à une scène dégoutante, qui décrit la malhonnêteté.
Le lendemain, le garçon sur le chemin de l’école, raconta à ses amis l’histoire du vieil homme à la brouette, la qualifiant d’affreuse et de violation de bien d’autrui ; tout le monde acquiesça !
Quelque temps après, le garçon ne trouva pas mieux que de narrer cette histoire à la maitresse leur demandant de décrire un personnage surprenant et énigmatique ; comme devoir de maison.
Peu d’années passèrent, l’école connut un grand changement et son paysage changea jusqu’à devenir méconnaissable ; les arbres plantés crûrent et les rosiers donnèrent des fleurs multicolores, pavoisant de manière admirable tout son environnement.
Un jour, la directrice d’école rassembla tous les élèves de son établissement pour leur faire part du changement qu’a connu leur école et des efforts consentis pour réaliser ce résultat très satisfaisant.
Paraissant émue et profondément endeuillée, elle leur parla d’un vieil homme volontaire et dévoué ; celui qui était à l’origine de ce resplendissant décor qui les entourait, puis leur annonça la nouvelle de son décès… C’était sa manière de lui exprimer sa profonde gratitude et ses sincères condoléances.
Il n’était que ce vieil homme qui avait taillé les rosiers de la maison abandonnée.
Tout le monde le louangea et regretta - tant - cet homme inconnu, si bon et si généreux, qui venait semer la beauté dans toute sa splendeur ; dans la discrétion la plus totale, au sein de l’école ; sans oublier que les rosiers de la maison abandonnée furent exubérants, à afficher un décor voluptueux, après la taille.
Le garçon qui l’a décrit - à tort - pleura à chaudes larmes ce noble vieillard, qui n’était animé que de bonnes intentions et, pour se repentir, il alla demander à la directrice d’aller aux funérailles du vieil homme, accompagné de ses amis.
Le vœu avait été exaucé pour permettre à l’enfant d’effacer son préjugé négatif et de saisir la leçon de ne jamais se fier aux apparences qui nourrissent un quelconque ressentiment pour autrui.
La directrice d’école et ses élèves cueillirent les roses les plus splendides pour former une superbe gerbe qu’on déposa sur la tombe du vieil homme… On n’est riche que par ce l’on donne aux autres !
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La peur de l’autre :
- Par algermiliana
- Le 02/04/2023
- Dans Voyage-Lecture
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La peur de l’autre : Je cherche un seul étranger dans les rues de nos villes !
On a peur ! Un sentiment bizarre et répugnant nous hante, depuis les bancs de l’école ! Nous handicape. Nous dépouille de toute force imaginaire. Parce qu’on a peur de tout, on est condamnés à vivre seuls, isolés, coupés du monde. La peur engendre en nous, inconsciemment, une pseudo-autosuffisance qui n’est que l’autre face d’un suicide perpétuel.
On a peur d’un livre qui interpelle notre immobilité intellectuelle. Qui sème le doute dans nos convictions figées. On a peur d’une chanson qui désigne notre malheur et notre désarroi. On a peur d’un film qui casse un tabou ou qui contient un baiser. On a peur d’un poème qui déclame un cri vivant en nous depuis des siècles. On a peur d’un chrétien qui prie son Dieu à sa façon. On a peur d’un juif qui porte sa kippa et mange casher. Les sociétés peureuses sont les plus fragiles, les plus intégristes et les plus violentes. Elles sont le champ favori de toutes les formes de l’intolérance. Toutes les sociétés menteuses sont peureuses !
Les villes qui vivent encerclées, les portes fermées aux étrangers sont des lieux sans âme, sans rêves et sans avenir. Cet étranger qui ne nous ressemble pas et qui nous ressemble ! Différent de nous par sa culture, par sa langue, par ses goûts, par ses habitudes vestimentaires, il donne un autre sens à notre ville et à notre vie. C’est lui qui souffle un dynamisme dans ses rues et dans ses officines. Sa présence nous ouvre inconsciemment les yeux sur de nouveaux horizons.
L’université a peur de l’étranger ! Nous avons une centaine d’universités, dans chaque ville il y a une université ou plus, toutes spécialités confondues, de la littérature jusqu’à la médecine en passant par les mathématiques et l’informatique, et tant mieux, mais aucun de ces établissements censés appartenir à la pensée universelle n’a un seul coopérant parmi ses enseignants. C’est catastrophique ! La peur de l’université n’est que l’image de cette peur qui gangrène la société et le champ politique. Quand nos universités sont sans aucun enseignant étranger, sans aucun coopérant, les amphis sont sans lumière.
L’autosatisfaction universitaire est une maladie dangereuse et destructrice. L’algérianisation de l’université est une agonie annoncée pour l’enseignement supérieur.
Au nom de la soi-disant “sécurité culturelle”, on sème la peur dans toute une génération et on la prive de toute autre culture universelle. La sécurité identitaire n’est pas l’appel à vivre dans le ghetto. La ghettoïsation est la pire des prisons. Le nationalisme n’est pas une fierté en lui-même. Le chauvinisme est un assassinat de toute nation qui espère bouger et avancer.
La sécurité culturelle, ce n’est pas le repli sur soi, mais plutôt apprendre aux citoyens les langues, leur offrir des films, d’autres supports culturels, des livres, des débats ouverts et respectueux. Par cette pluralité, par cette diversité, le citoyen arrive, par la suite, à comprendre sa spécificité culturelle et à l’aimer humainement et positivement.
En réalité, il n’y a pas de sécurité culturelle, mais une acculturation permanente. Les cultures vivent en cohabitation continue.
C’est absurde : on a peur pour notre religion, on a peur de notre Dieu ! Vivre sereinement sa religion ne signifie pas combattre les autres religions ou les autres religieux. Aimer Dieu et non pas avoir peur de Dieu !
Les villes algériennes sont désertes, aucun étranger européen, américain ou autres ne déambule dans les rues et les ruelles, dans le Nord ou dans le Sud, et c’est triste. Les villes sont remplies de fantômes.
Depuis l’enfance, ils nous ont inculqué cette peur de l’autre. C’est la présence de l’étranger, autrui, d’une façon ou d’une autre, qui réveille en nous le sens de la compétition, le sens de l’aventure. C’est cette présence qui provoque en nous l’émulation positive. Le sens de l’autocorrection, de la révision.
On est nous-mêmes, fiers de nous, quand on a l’autre comme partenaire, comme miroir ! On s’ennuie sans la présence de l’autre. Le différent nous apprend à rêver, à imaginer, à voyager, à combattre la maladie de l’autosatisfaction et le chauvinisme.
___Par Amin ZAOUI___
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Le pape François et les musulmans
- Par algermiliana
- Le 28/03/2023
- Dans Le Coin de Mustapha CHERIF
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L’Homme médian est la voie
- Par algermiliana
- Le 27/03/2023
- Dans Le Coin de Mustapha CHERIF
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___________Suggestion de lecture___________
Une contribution du Professeur Mustapha CHERIF, parue le 05 Novembre 2014, intitulée: "l'Homme médian est la voie", sur: www.oumma.com
La Umma se veut ouverte à toutes les autres dimensions et à toutes les communautés religieuses et culturelles, pour viser la communauté globale : l’humanité tout entière.
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Entre hier et aujourd’hui !!!
- Par algermiliana
- Le 18/03/2023
- Dans Le Coin de Ahmed ARBOUCHE
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Il me vient à l’idée qu’il n’y a pas mieux que de caricaturer la vie de nos jours, en disant : « Il n’y a pas meilleure besogne que celle du berger, il ne parle pas ni, ne palabre, il ne se dispute pas et ne critique personne ; il a tout au plus un seul ennemi potentiel qu’il ne verra peut-être jamais dans son monde pastoral, dans son paradis champêtre : le loup »!!!
Je ne sais par quel mobile je suis interpellé pour faire une corrélation entre deux mondes : hier et aujourd’hui.
Voyant les publications sur les pages de facebook, tout le monde fustige le mode d’être de la société et, nos amis accrochent, à foison, leurs plaintes truffées de frontières invisibles, donnant naissance à des dissensions, litiges, frustrations etc… en direction de, je ne sais quel ennemi ; il reste impersonnel et indéfini… Caché derrière ces étranges pronoms « il, elle ou lui » auxquels on endosse toute la responsabilité des « crimes » commis.
Les chemins d’hier étaient - certes - parsemés d’embuches, escarpés, sinueux et rocailleux mais, offraient cette opportunité, à permettre de construire - avec ces pierres - des citadelles, des allées de jardins, des cheminées et, des âtres doux pour se chauffer l’hiver.
Les chemins d’aujourd’hui me rappellent ce coureur cycliste qui emplissait sa sacoche de punaises et de clous, à semer (contre toute morale) sur Le macadam propre et impeccablement aménagé, pour que ses poursuivants « crèvent » et, faire crever, aussi, toute éthique ; de même que tout esprit d’émulation constructive qui offre une latitude saine et honnête aux dialogues. Ô Mon Dieu !!! Comme les temps ont changé !!!
Presque personne n’est épargné, une véritable nébuleuse du mal-être s’empare des gens pour crier leur désarroi. Tout le monde connait le mal mais personne n’y remédie ; tout le monde vous parle des leçons traitant de la cohabitation, de la concorde, de l’homogénéité, allant jusqu’à citer les versets coraniques et le hadith ; nous sommes tous à réprimander pour les failles que nous occasionnons aux engrenages qui régentent la société.
Je vais même jusqu’à dire ; que nous sommes des incrédules et de mauvais musulmans.
Il s’impose d’y remédier dans l’immédiat pour tricoter cette homogénéité sociale et recouvrer cette glorieuse épopée intarissable d’éloges pour permettre de redorer ce blason qui a perdu son éclat… A l’effet de renflouer notre société de naguère ; vivant dans l’harmonie, la convivialité et le respect des valeurs morales assurant notre bonheur.
(texte et dessin A.Arbouche 2023
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Le passé.....un mal nécessaire
- Par algermiliana
- Le 09/03/2023
- Dans Le coin de Said BELFEDHAL
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L’homme est chargé de temps qui défile et se consume. Il est là, à la recherche d’un sens lui donnant l’envie de vivre et d’accepter à son échelle cette notion si abstraite et toute relative de la temporalité. A-t-il d’abord inventé le présent, ce moment où l’on doit tout imaginer en quête de nos besoins face à l'inexploré ? Et le futur est-il venu ensuite parce qu’on a découvert l’aptitude de passer le temps à faire des projets…trop souvent inachevés ? Le passé, nous échappant tout le temps, s’accomplit-il à nos dépends et nous dépasse ? Mieux qu’aujourd’hui et demain, hier en nous éclairant, ne nous renseigne-t-il pas sur la gravité de nos maladresses ? Certainement autant sur nos richesses à peine effleurées ! Toute la correction, tout le mérite viendraient donc de là ! Que pèseraient alors le présent et l’avenir dans la balance du temps sans le poids et le témoignage du passé ?
La Terre entière tourne autour de ce postulat…
Belfedhal Saïd
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Histoire de laboureur
- Par algermiliana
- Le 29/12/2022
- Dans Le Coin de Ahmed ARBOUCHE
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Métaphore incitant à ne considérer comme vertu que le bien ; seule voie qui procure le charisme à la famille humaine. Texte, dessins et écriture par moi-même.
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Cette vérité qui se parle dans le noir
- Par algermiliana
- Le 25/08/2022
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Ce jour là, contraint comme bien des fois par l'ennui indifférent à rester entre quatre murs avec Gm , que dans une obscurité où pas même un rai de lumière ne filtre ni ne se voit à travers une fente ou persienne j’étais prêt avec célérité à redire encore n'importe quoi de mes délires mensongères à GM.
Dans l'obscurité elle y croit tellement tout ce que je lui raconte du dehors. Mais lorsqu’enfin, je me suis rendu compte de mon empressement, de ma stupidité à avoir toujours menti dans le noir, j'ai pensé à lui parler cette fois de la vérité dans sa réalité.
Souvent Gm perd le fil que j'essaie ce jour là de lui parler à sa convenance de la lumière.- Et dans le noir sans nous voir on se parlait d'une chose paradoxalement invraisemblable .On parlait de la lumière dans le noir. Cette lumière de la pensée en tant qu’elle est pensée de la vérité. Lui dire que tous ceux qui disent que la vérité n’existe pas sont des esprits simplistes : j'allais lui parler que la pensée s'entretient avec la vérité. Pour commencer notre discussion importante je l'ai invitée à regarder un peu sur ce qui se passe autour de nous .
- ELLE me dit l'heure de vérité a donc enfin sonné pour toi Fiston.
Sans aucune gêne je lui ai dit , cette vérité fondée sur la loi du plus fort est toute autour de nous que même un sourd ou un aveugle peut entendre et voir.
- Si pour toi un aveugle peut la voir moi je ne te vois même pas fiston , clouée comme je suis je me sens dépourvue de toute sensation visuelle autour de moi dans cette bicoque.- Oh! tu me fais rire GM, on ne va pas parler du décor de notre bicoque mais de ce monde externe qui nous entoure.
- Comme il est bon pour toi de me rappeler des fois que dans cette bicoque je dois vivre et observer un peu ce qui découle de la vie en ce monde où nous vivons Fiston.
-Tu vois GM qu'il est nécessaire de laisser pénétrer la clarté de lumière du dehors même par temps froid intense ou même s'il fait chaud à perdre haleine .
-Depuis un temps cette lumiere me manque, et ce n'est que pour avoir ma neutralité entre le chaud et le froid que j'ai dû fermer porte et fenetre autour de moi fiston
- Mais dans l obscurité et sans la lumière, on ne peut pas voir la realité qui nous entoure GM et la lumière est un facteur physique capable de rendre visible ou de rendre plus éclairé un objet pour l'œil .
- Tu as raison fiston , si je ne peux meme te voir pour te parler je crois maintenant que c'est celà qui m'afflaiblie si je suis sans cette flamme du lumiere du dehors .
- Comme Je te plains GM ,à te voir ainsi supporter cette souffrance dans cette bicoque toute à l'image des fleurs d'une plante dans une obscurité qui manquent de chlorophyle.
- Il ne faut point considerer celà comme une pitié fiston ,l'exemple de tout commun d'etre sans energie nous est donné par la realité ordinairs que la lumiere d'une lampe ne s'affaiblit graduellement que Lorsque l'huile s'épuise et c'est là qu'on voit la flamme de la lampe s'éteindre,
-Dans ton cas GM il faudrait chercher de temps à autre cette lumiere pour savoir ce qui se passe en evenements dans le monde .
-Et si tu me parles un peu de cette lumiere dictée du dehors qu'on voit et qu'on respire selon l'envie.
- En toute indépendance je vais t'en parler de cette lumiere GM que meme dehors on peut bien la cacher.
-J'ai l'impression de vivre dans un cagibi pour t"entendre dire de nos jours qu'en plein jour on peut cacher la lumiere à nos yeux.
-Pour commencer GM le petit fiston que je suis va te parler de cette evidence dite comme realité.-
.-Mais Fiston je pense que toute évidence s'impose à l'esprit comme une vérité .
-je vais essayer seulement de te parler de ce qui est nettement apparent la plus plausible comme verité qui se dit dehors GM .
-Tu veux dire cette verité alternative qui se crypte dans la realité ,de ça je ne veux t'entendre m' en parler fiston
-Mais GM qui dit réalité,dit verité sans qu'il soit besoin d'aucune preuve ou justification.
- Celle de la verité divine ou celle de la conscience humaine Fiston.
- Je veux te parler de cette conscience morale GM qui se dit lorsqu' dans un miroir on doit se voir pour se reconnaitre.
-Est ce en connaissance de cause que tu le dis Fiston?
-Je veux dire que toute vérité n'est pas conforme dans le decrit reel GM ?.
- Il apparaît dans ce monde actuel que « scientifiquement » , la verité objective n’existe pas et n'existera pas fiston .
- Meme Si l'on veut dire que ce qui est vrai pour l'un ne le sera pas pour un autre dans ce monde GM .
--Ou à defaut ne rien dire par lacheté pour la faire connaitre differement fiston
- GM c'est ce qu'on ne cherche simplement qu'à le faire croire
-Dans ce monde hypocrite on le voit concretement Fiston ,c 'est une verité dépourvue de volonté morale qui ne se respecte pas dans l'obligation morale.
-Il est des vérités démontrées dans la façon dont les gens agissent, sentent et pensent, et qu'il faut démontrer encore plus pour etre vraies GM.
- il s'agit là de ne pas avouer pour dire la vérité mais de l'entendre seulement fiston.
-Faut-il occulter la vérité dans le mensonge GM ?
- on ne peut pas en parler des fois de verité sans modifier dans le sens subjectif de ce ce qu’on aimerait cacher,Il arrive parfois de ne pas dire la vérité Fiston
-Ce que quelqu'un peut tolérer est peut-être insupportable pour l'autre Gm.
-la verité c'est cette lumiere qui se dit Fiston elle est la force de la loi avant toute autre considération.
- Alors C'est qu'on ne veut pas la chercher autour de soi dans l'obscurité pour la verifier qu'on ne veut pas faire sa lumiere Gm.
-Quand On aime la vérité, on doit la rechercher toujours Fiston .
-GM est ce qu'il est plus important de parler de verité ou de mensonge quand on voit une realité.
-C"est quand on veut parler des deux, sans s’y attarder Fiston .
Mais comme tout le monde le sait GM il y a une solution plutôt bonne que facile .
-Il est des moments où le choix courageux peut etre compliqué pour ceux qui detiennent la forme d'autorité pour attenuer la rigueur de leurs fautes .
-Quand on veut l'exiger des autres dans l'« erreur » et le « mensonge » Fiston , quoique l'on n'ait pas soi-même le courage de l'avouer.
-la vérité qui se termine par un «À suivre» restera donc sans suite fiston .
-GM ne vois tu pas Ce que ce beau monde qui nous entoure défend une verité subjective pour vivre seulement la vie.
- Ce sont Ceux qui disent avoir bonne conscience sur la democratie qui disent qu'ils defendent la verité .
- La verité devient un peu compliqué pour d'autres qui ont leur conscience morale normale.
- Dans ce monde la verité se voit sur l'avis et l'evaluation dans le mode de choix d'un systeme où l'on vit FISTON
- Au nom de la democratie On voit qu'on défend plus le système qui leur va si bien GM.
-Ce systeme n'est que celui de l'argent entre les mains d'une minorité Fiston .
- Ils ne sont que les clements et si pathétiques, avec leurs grands airs de démocrates, qu'ils sont à crier ensemble : « on va essayer la guerre et defendre notre justice sociale »
-Pour eux «Ce serait la bonne expérience» afin de cacher une verité par leur mensonge à la face du monde GM.
- leur jeu de guerre malsain n'aboutit qu'à la même question quand le diable mene le bal pour eux Fiston .
-C'Est ce qu'On veut montrer à la face du monde dans notre temps que L'assassin va même jusqu'à réclamer pour ses droits «une enquête immédiate, approfondie, transparente et impartiale GM .
- Il apparaît donc dans ce monde actuel que « scientifiquement » , la verité objective n’existe pas et n'existera pas fiston .
-comme il est bon de le rappeler aux va-t-en-guerre qui jouent avec le feu.
-Nous avons trop parlé de verité que nous avons negligé le faux GM.
-Mais pour dire quoi d'une justice actuelle qui ne se voit pas dans la lumiere Fiston .
-Ce qui a plus realiste à dire GM à ceux qui tiennent la verité et ceux qui veulent le mensonge.
- Est ce pour la qualifier d'une verité objective ou verité subjective contre l'intolérable barbarie que le monde hypocritement cache Fiston..
- Elle sera une prise de conscience pour un appel à la democratie à ceux qui veulent suivre leur propre voie vers l'égalité -
Fatima La fille du fleuve
- Par algermiliana
- Le 14/04/2022
- Dans Le coin de Benyoucef A.KEBIR
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F a t i m a
la fille du fleuve
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- bd historique
- Editions Dalimen 2021
- 32 pages
- Prix 700 DA
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DE NOS SOEURS ÉGORGÉES
- Par algermiliana
- Le 06/04/2022
- Dans Le Coin de Chantal VINCENT
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DE NOS SOEURS ÉGORGÉES
Rachid Ezziane
Editions : "Les Presses du Chélif"
M'hamdia, Naïma, Hafida, Kheira, Sahnounia, Zohra, Fatima, Amina, Aziza, Kheira, Rachida : ces prénoms sont ceux des onze jeunes femmes institutrices, assassinées par des terroristes islamistes, sans foi ni loi, également appelés : "fous de Dieu", le 27 septembre 1997 près de Sfisef, dans la Wilaya de Sidi Bel-Abbès (Algérie).
Elles avaient, certes, reçu des menaces de mort si elles ne s'arrêtaient pas d'enseigner et elles savaient pertinemment qu'elles couraient un risque démesuré. Cependant, elles ont persisté dans leur volonté de poursuivre leur métier d'enseignantes car elles étaient persuadées que l'école, ce temple du savoir, était le chemin vers la liberté et l'épanouissement.
C'est à partir de cette tragédie innommable que Rachid Ezziane a écrit son "roman". Certes, le parcours de ces femmes est imaginé par l'auteur mais il apporte à son récit de tels arguments, notamment, sur le combat réellement mené contre le terrorisme et l'obscurantisme au cours de cette décennie noire qu'on se laisse totalement porté par le parcours de ces jeunes femmes (la plus âgée avait 40 ans !) au travers de leur vie quotidienne, de leurs peurs, chaque matin, avant d'aller prendre ce bus qui les emmène dans leur classe respective. Ces institutrices étaient mieux placées que quiconque pour savoir que si les guerres prennent naissance dans l'esprit des hommes, c'est dans leur esprit que peuvent s'élever les défenses de la paix, d'où l'intérêt de l'éducation dès le plus jeune âge.
Ce récit est un hommage à toute la population algérienne et à ces enseignantes en particulier. Certes, l'auteur y dénonce des atrocités mais il le fait avec l'intelligence, l'émotion et l'empathie qui le caractérisent. Ce livre est également tellement captivant et bouleversant que, une fois ouvert, nous ne pouvons pas le refermer avant de l'avoir terminé !