Articles de algermiliana

  • Ridjal Doui et/ou les hommes de la montagne...

    _________________________________

    Sans titre 73

    Jadis, aux temps des Ottomans, et plus précisément au niveau de la montagne de Doui de la ville d’Ain-Defla vivait un hameau d’habitants, constitué de quelques familles qui ont fui, par peur, les exactions, les actes de violences ou les mauvais traitements des Turcs.

    Dans ces lieux rudes et escarpés. Les habitants se sentaient alors libres et autonomes d’y vivre décemment et loin de la poigne des Turcs. Malgré cet éloignement et la difficulté d’enjamber ces terrains vallonnés, les Turcs les  ont rejoints quand même pour finalement leur sucer encore la dernière goutte de sang.

    Coopérants  et non conquérants

    A la demande des Algériens, les Turcs sont venus en Algérie en coopérants afin d’aider et d’initier la population locale à la pratique de l’administration (fonctionnement des institutions locales et nationales) Le savoir et la mise en place de certaines méthodes de travail et de fonctionnement étaient les bienvenus. Et cela dans presque tous les domaines, en plus de cela, ils étaient nos amis. Ils ont insisté pour ramener leurs soldats  afin de mieux servir et rétablir l’ordre, encore pour une meilleure prise en charge du fonctionnement des travaux pour lesquels ils sont venus. Aidés par leurs soldats, ils se sont vite transformés en véritables conquérants.

    Ils ont commencé par terroriser la population qui devant ces nombreuses exactions, la population n’avait trouvé refuge qu’auprès des hauteurs des montagnes. Les Turcs restèrent les maitres et ont conquis les meilleures terres ainsi. Ceux qui ne pouvaient fuir, parmi la population, restèrent pour devenir les valets de ces nouveaux maîtres. Les Turcs voulaient toujours plus d’argent, plus de terres et de plus règne. Alors ils ont pris la décision d’aller faire payer les impôts à ceux qui vivaient dans les forêts et les hauteurs. Actuellement, nous avons une idée claire sur les habitants qui ont choisi d’habiter ces endroits durs et difficiles d’accès, d’ailleurs quelques uns d’entre eux y sont restés de nos jours.

    Rdjal Doui (Hommes de Doui) ou saints de la région

    Les Turcs se sont préparés comme dans une expédition, munis de leurs attirails, le fameux intendant et de quelques soldats pour faire régner l’ordre. Quelques chariots afin de ramener les denrées alimentaires et autres animaux domestiques en cas de non payement des impôts. Procéder également à la prospection de nouveaux horizons pour d’éventuels cantons. Ces opérations furent répétées à plusieurs reprises.

    Parmi ces descentes ; et une fois de retour, l’intendant et ses hommes ainsi que les chariots lourdement chargés, ils reprenaient le chemin de la descente. A mi chemin les Turcs furent attaqués de tous parts, ils étaient entièrement décimés, toute la marchandise fut reprise, les soldats et l’intendant exterminés. Très tôt le matin, lorsque les villageois se sont réveillés, ils étaient abasourdis et ahuris devant cette découverte, ils trouvèrent leurs marchandises déposées aux abords de l’entrée du hameau. Chacun des villageois avait repris son dû. Cette situation fut répétée à chaque fois que les Turcs revenaient.

    Les villageois inquiets, préoccupés et soucieux de ce qui leurs arrivaient à chaque fois que les Turcs  revenaient. Ils avaient peur des représailles. Alors, ils sont dirigés vers le sage du village, ils l’ont trouvé assis auprès d’un grand arbre sorte de botmaya (pistachier de l’atlas ou bien porte mailles appelé en arabe Godhime), arbre très répandu dans la région. Ils l’ont, alors, expliqué et interrogé sur ce qui se passait à chaque fois que les Turcs retournaient. Ils ont demandé qu’ils soient bien informés et bien éclairés sur leurs bienfaiteurs. Le vieux les a longuement dévisagé  puis les fixa de nouveau et leur dire, en dernier, ces braves gens sont nos protecteurs, ils  s’appellent : Ridjal Doui (les hommes de la montagne dans laquelle ils vivaient). Toute l’assistance s’est tue en écoutant les propos du sage, des propos qui les ont jetés, cette fois-ci, dans l’angoisse et le désarroi total. Ils ne comprenaient rien du tout. Tout ce qui les préoccupait c’était la brutalité des Turcs. Les propos du sage du village restèrent gravés dans les esprits des villageois. 

    L’histoire de Ridjal Doui fut restée pendant très longtemps d’actualité. Elle fut reprise et racontée par les anciens jusqu’à nos jours. Néanmoins avec l’apport de plusieurs versions. La première consistait à dire que les premiers parlaient d’une histoire ressemblant beaucoup plus à une fable. Des êtres valides qui passaient par là, ils avaient fait ce qu’il fallait faire et sont devenus plus tard des statues en pierres à cause de leur courage et leur spontanéité. Personne n’a pu par la suite apporter des précisions à ce sujet, et personne n’a pu vérifier ou bien de visu ces statuettes. Néanmoins, c’est une histoire qui fut racontée pendant très longtemps.

    D’autres disaient encore (2ième version) que ces Ridjals Doui s’apparentaient aux différents Aoulias el salihines (saints) qui existaient sur les deux flancs de la montagne de Doui tels que : Sidi Abderrahmane, sidi Abedeka, sidi Mimoune, sidi Bouziane, sidi Znati, Lala Aicha, sidi Slama, sidi Brahim, sidi Daoud, sidi Dilmi, sidi Bouaaraara, sidi El Chikh et Hadjret Aouali).

    La troisième (3ième) version et qui selon beaucoup de personnes, est certainement la plus probable et la plus vraie, était celle qui justement discutait des ces sauveurs invisibles qui surgissaient des arbres et buissons, n’étaient autres que les enfants de ces pauvres paysans. Qui n’ont, à aucun moment, accepté le dictat et le règne absolu de ces impitoyables Turcs. Ils n’étaient pas du tout contents et satisfait de ce qui arrivait à leurs parents et leurs familles. Alors ils se sont révoltés. Ces jeunes guerriers se sont manifestés dans plusieurs endroits, ils décimèrent les Turcs et leurs complices dans toute la région.

    Guerriers invisibles ou kbours de moudjahidines

    Les Turcs furent touchés dans leur amour propre, ils commencèrent par préparer plusieurs embuscades pour dénicher ces éventuels désobéissants. A fin non seulement de les capturer et leurs faire payer le prix fort pour avoir osé bafouer l’ordre établi. Ils les ont traqués un peu partout, ils en tuèrent quelques uns d’entres eux. Selon aussi certains anciens, les Kbours de Moudjahidines de Dhaia furent justement ces indisciplinés voire ces indomptables. Nous savons pertinemment et cela d’après également les anciens que ces Kbours de moudjahidines étaient les compagnons et moudjahidines de l’Emir Abdelkader, ils sont morts à Dhaia et ils étaient enterrés là-bas.

    En l’absence de véritables professions et surtout en l’insuffisance de travaux spécifiques à la région et où à la rigueur s’intéresser aux préceptes de leur religion. Ils réussirent à composer à de multitudes choses jusqu’à engendrer et négocier des fables et histoires rocambolesques. Nous avons par la suite rien trouvé comme stigmates et ou vestiges rappelant la traçabilité de ces habitants. C’est vrai que de temps en tems on peut croire à tout sauf peut être à des fables ou contes de ce genre. La troisième version parait la plus probable parmi celles qui furent énumérées auparavant.

    Et, c’est ainsi que s’achève le mystère de Ridjal Doui. Le mystère de cette histoire avait suscitée beaucoup de racontars et beaucoup de bavardages. 

    Conclusion

    Cette histoire parle de notre région, de notre terroir et nous révèle les trésors qu’elle renferme et qui y sont peut être encore enfouis quelques parts. Beaucoup d’histoires similaires existent, il suffit de savoir bien gratter là où il faut pour les dénombrer et rechercher la vérité. Et c’est comme cela qu’on arrive bien à comprendre exactement notre passé, notre identité et surtout aussi comment nos aïeuls ont vécu. Chaque arbre, chaque pierre, chaque oued, chaque appellation en cache quelque chose et certainement un mystère. L’ensemble de ces cas réunis détient une histoire, une fable ou bien tout simplement une précision. Pour mieux déchiffrer tout cela, pour en savoir encore plus afin de comprendre et savoir aussi d’où nous venons et où nous allons...

    Lire la suite

  • Le tassili n'Ajjer

    ______________________________

    Sans titre 74

    Le trésor des fins fonds des sables, il émerge au milieu du Sahara renfermant les meilleures fresques que la nature façonne, donne et partage. Des multitudes de roches exceptionnelles et diversifiées attirent beaucoup de touristes de l’ensemble de la planète. Cela ne peut être que le paradis du tassili Algérien.

    Le tassili n’Ajjer est un massif montagneux situé au sud est de l’Algérie, haut plateau aride constitué de grès (grains de quartz liés par la silice, du carbonate de calcium ou de l’oxyde de fer lesquels déterminent sa couleur). A plus de 1 000 mètres d'altitude, s'étendant au centre du Sahara sur 50 à 60 km d'est en ouest, et sur 800 km du nord au sud, soit une superficie de près de 120 000 km², soit le 5e de la France. Sur toute sa surface se dressent des formations rocheuses fortement érodées émergeant des dunes de sables, qui rappellent de loin les ruines de villes antiques. Ce paysage lunaire a été créé et façonné par l'érosion.

    Pendant des millions d'années, le sol du Tassili n'Ajjer a été creusé et ravagé par les eaux. Ensuite, lorsque la sécheresse s'installa, ce fut au tour du vent d'user et de frotter et frictionner sans cesse ces roches labourables. Une autre cause de l'érosion ; les températures : La différence entre la nuit et le jour est parfois de cinquante degrés. Les pierres explosent littéralement par l'effet de ces modifications brutales jusqu'à devenir poussière de sable. Le massif est habité par les Touaregs Kel Ajjer. Sa ville principale est Djanet.

    Le parc national du Tassili (72 000 km²) est inscrit depuis 1982 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO et classé réserve de l'homme et de la biosphère depuis 1986. Des animaux en voie de disparition tels que le mouflon à manchettes et de nombreuses espèces de gazelles y ont trouvé refuge. Il est considéré, à ce jour, comme étant le plus grand musée à ciel ouvert du monde.

    On peut apercevoir et constater également dans ce parc national de nombreuses peintures rupestres (notamment dans l'Oued de Djerat et sur le plateau de Sefar) rappelant que le Sahara était autrefois une contrée verdoyante et fertile. Nombreux sont les dessins représentant des troupeaux de bovins menés par des bergers. Le Tassili N'Ajjer est composé de grès (couches superposées de vase et de sable solidifiés) Issus des mers qui couvraient la totalité du plus grand désert du monde. Il y a plusieurs milliers d'années vivaient ici des hommes qui ont laissé la trace de leurs préoccupations quotidiennes ; on trouve, en effet, des scènes de chasse, de danse et de prière etc...

    Vue du Tassili n'Ajjer près de Fort Gardel : grès fluviatiles du Paléozoïque (env. 450 millions d'années) en cours d'ensablement par les dunes du grand erg oriental et granite érodé en « boules » au premier plan. Hoggar est une transcription française du terme arabe جبال هقار qui vient lui-même du touareg Ahaggar dont le pluriel Ihaggaren désigne la classe noble chez les Touareg du Hoggar.

    Traversé par le tropique du Cancer à 80 kilomètres au nord de Tamanrasset, le Hoggar couvre une superficie d'environ 540 000 km2, soit le quart de la superficie totale de l'Algérie.

    À l'est de Tamanrasset s'élève à plus de 2 000 mètres d'altitude un plateau érodé de 250 kilomètre de diamètre composé de coulées de lave, l'Atakor du Hoggar, sur lequel se dressent des volcans dont l'altitude avoisine les 3 000 mètres. Le point culminant du massif, le Tahat avec 2 918 mètres d'altitude,

    est aussi la plus haute montagne du pays. Le relief, abrupt et difficile, composé de pitons et de falaises de basalte et de porphyre (pierre ornementale) constitue un lieu apprécié d'escalade.

    Les températures élevées de l'été résultent avec celles d'hiver où il peut geler ; les pluies sont rares. Malgré cela, les conditions climatiques inhospitalières sont moins extrêmes que dans le reste du Sahara et le Hoggar. Constituent un lieu de vie de certaines espèces animales et végétales qui permettent de différencier ces montagnes du reste du Sahara. À l'Assekrem, à 80 kilomètres à vol d'oiseau de Tamanrasset, se trouve l’ermitage d'été de Charles de Foucauld, un des nombreux ermites chrétiens qui vécurent au Hoggar ; Foucauld s'y installa en 1911.

    Le Hoggar constitue aussi les terres ancestrales du groupe Touareg Kel Ahaggar. Près de la ville de Tamanrasset, dans l'oasis d'Abalessa, se trouve le tombeau de Tin Hinan, une matriarche qui serait l'ancêtre des Touaregs du Hoggar. Selon la légende, Tin Hinan viendrait du Tafilalet, dans les montagnes de l'Atlas, au Maroc.

    Lire la suite

  • Les personnes retraités; l'éternel oubli...

    _____________________________

    Sans titre 78

      Les retraités ; étaient des personnes travailleurs valides et forts ; ils ont œuvré avec courage et ténacité afin de développer le pays dans chaque secteur. Beaucoup de génies et lumières y sont émergés parmi ces travailleurs. Malheureusement, une grande frange de ces ex travailleurs vit dans le seuil de la pauvreté sinon dans la misère et la honte. L’idée de se sentir ainsi ne leur avait jamais traversé l’esprit auparavant.

    hebergement d'image

    Lire la suite

  • Le calvaire des nuits folles

    _____________________________________

    Sans titre 81

    La ville d’Ain Defla, comme ailleurs, dans l’ensemble des villes algériennes. Pendant l’été, ou suite à une consécration sportive locale ou nationale. Elle fait l’objet de bruits nocturnes. Emanant de jeunes qui pendant la journée ronflent en faisant une espèce de matinée un peu démesurée. Par contre, le soir, ils se réveillent, et, c’est le grand bal qui commence.

    On entend toutes sortes de bruits, allant des pétards, aux klaxons, oublier les crépitements des pneus sur le goudron et surtout les fameuses sortes de conduite en zigzags. Ces comportements ont malheureusement fait des victimes et considérablement de dégâts. Cependant, la nuit redevient, pour ces jeunes éberlués, le jour et le jour redevient, par conséquent la nuit.

    Lire la suite

  • La rumeur…

    ________________________________

    La rumeur

    De nos jours, nos villes et nos villages sont devenus des localités calmes, peu agités sauf dans les endroits habituels comme les marchés, les aires de jeux ou les cafés maures. Sinon une tranquillité modérée et palpable avec un calme serein. De ces groupes voire de ces attroupements surgissent alors une sorte de camouflet et une sorte d’outrage à l’intelligence humaine. Ce sont les rumeurs qui sont émises et formulées, depuis la nuit des temps, à l’égard d’autres personnes. Des rumeurs colportées sur des individus de surcroit gratuitement du fait qu’elles ne peuvent être ni vérifiées ni confirmées. Elles surgissent, planent et se propagent comme l’éclair et parviendront à détracter et détruire les personnes susvisées.

    La rumeur est devenue comme une monnaie courante. Elle alimente et nourrit, tous les jours, les coins et recoins de la ville comme ceux du village ou des quartiers avoisinants.

    Lire la suite

  • Ali Amrane, l'ancrage d'un chantre

    ___________________________

    Sans titre 46

    Parler d’Ali Amrane, c’est aussi découvrir un jeune parolier, compositeur, interprète et chanteur de la chanson amazighte. Ce jeune prodige ne cesse de prouver, de gravir et de franchir les devants de la scène en un temps record. Alors que certains anciens y ont mis beaucoup de temps pour s’affirmer.

    Ali Amrane, ce lutin et phénomène ne cesse de s’illustrer et s’améliorer afin de devenir un talentueux chanteur kabyle. Ses chansons mesurées et rythmées avec un style condensé et très percutant, arborant beaucoup de profondeurs dans la compréhension. Ces particularités ont, certes, marqué largement le public. Il possède cette propriété de préparer et d’improviser lui même ses textes. De les interpréter avec panache, avec une mixture enivrante qui laisse ses admirateurs enthousiastes, emportés et surtout sur leur faim. En dernier, distiller la bonne parole et fredonner ces mélodies qui n’arrêtent pas de séduire presque la totalité du pays et celle d’outre-mer.

    Lire la suite

  • Ayala Betsy, trahie et trompée...

    ________________________________________

    Sans titre 47

    Ayala Betsy, est une jeune américaine qui adore la vie et surtout sa famille. Mère d’une petite fille adorable. Ayala est une jeune maman, dynamique, pleine de ressources et d’espoir. Elle vivait avec son mari. Ce dernier fut la principale cause du changement radical de sa vie et cela en dépit de sa petite famille. Un jour elle découvre et apprend la chose qui allait modifier carrément son existence. C’était difficile et pénible cependant sa décision fut plus forte que toute autre chose.

    Lire la suite

  • En Automne 1968, Miliana fut ravagée par les flammes...

    _________________________________________

    Sans titre 54

    La nuit du 1er novembre 1968 fut terrible pour toute de la ville de Miliana, elle fut également dangereuse pour les citoyens venus à la rescousse pour éteindre ces nombreux foyers de brasiers. Avec les moyens du bord (mains, pelles, bâtons et souvent avec des rameaux) afin de circonscrire et ou pour venir à bout de ce drame.

    Périlleuse par la disparition de leurs fils, les corps, en partie, et à moitié calciné, gisaient un peu partout, ils furent les premiers martyrs d’une Algérie indépendante. Ne sachant rien de ces énormes flammes qui atteignirent à certains endroits les huit mètres, ils se sont précipités en catastrophe, laissant tout derrière eux, pour sauver cette belle forêt du Zaccar Est qui ne cessait de les nourrir et de les chérir. C’était en fait une nuit terriblement tragique.

    Lire la suite

  • Peut on laisser prendre des risques ?

    ___________________________________________

    Sans titre 92

     

    Permettre à nos enfants de prendre des risques, est une éventualité extrêmement difficile et dangereuse. Pourtant, ces écueils peuvent parfois s’avérer nettement fructueux et bénéfiques. D’un autre point de vue – il est préférable de s’en abstenir au vu de certaines situations. Alors, définissons ensemble ces périls. Quels sont ces types de risques qui sont alors dangereux ? A quel âge, peuvent-ils justement être tentés? De quelle nature sont-ils faits? Les parents ont-ils le courage et la détermination de laisser leur petit vivre ces expériences? Bien sûr que non. Les différentes épreuves de contrôle peuvent-ils vraiment apaiser et tranquilliser ces procréateurs et ou les faire totalement exterminer ? Mais de quel risque parle-t-on justement? « Couver » ou surprotéger les enfants ne sont-ils pas là également des risques graves et énormes à encourir ?

    Laisser les enfants prendre des risques ? Est-ce une fatalité ? Une inconscience ? Une idée à encourager ? Ou bien tout simplement un dérapage grave et bouleversant à éviter!!! Le contenu de cet article, pourrait justement nous éclairer davantage sur ces éventuels risques…

    Lire la suite

  • Le mystère du triangle des Bermudes I…

    ___________________________________

    Sans titre 94

     

    Depuis bien longtemps, l’énigme du triangle des Bermudes resta mystérieuse et inexpliquée. Elle semble défier toute logique ainsi que toutes formes de raisonnements.

    Beaucoup d’encre fut utilisée ainsi qu’une multitude d’articles, des livres, des ouvrages ave des théories bizarres, furent échafaudées autour de cet endroit. Où dit-on, existent des disparitions et des phénomènes mystérieux qu’ailleurs. Ces documents furent distribués dans le monde entier sans pour autant parvenir à déceler et à découvrir, le peu de choses, même insignifiantes, sur ce véritable mystère.  Parmi les lieux maudits de la planète ; tels que : Le déluge des chauves-souris (Zambie), mystérieuse prophétie indienne aux (Etats-Unis), village fantôme (France), le triangle des Bermudes du Nevada (Etat Unis)... figure le mystère du triangle des Bermudes.

    Lire la suite