Articles de algermiliana
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La Syrie qui revient de loin....
- Par algermiliana
- Le 09/09/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Malgré une stratégie diabolique, aidée par une coalistion occidentale aveugle et venimeuse. Suivie d’une coalition arabe sournoise, insidieusese et moyenant finances, logistiques et arsenals militaires. Des milices et mercenaires appelés « Daechs » et consorts qui ne savaient que tuer, détruire et démolir. Malgré-cela :
Le désir et le besoin de comprendre le conflit en Syrie s’impose davantage. Surtout, depuis que ses débordements nous touchent de plein fouet. Le choc des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et celui de Nice, le flux migratoire des Syriens dans nos contrées. Les autres actions terroristes. Ce déferlement incessant de réfugiés vers l’Europe. La manière dont il est traité. Ces tueries et ces destructions incroyables et ahurissantes, nous rapproche dramatiquement de cette tragédie lointaine. En revenant sur les étapes du conflit qui ne cesse de s’étendre et de s’aggraver depuis voila presque six ans. En reprenant justement les questions qui sont fréquemment posées sur les causes, la nature, les acteurs, les enjeux et les issues possibles.
Nous tentons d’apporter des réponses, aussi simples que possible, sans être sommaires. Rappeler, expliquer et décrypter les événements, les faits, les dimensions et les enjeux de ce qui se déroule depuis six ans sur et autour du territoire Syrie.
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Magnifique !!!
- Par algermiliana
- Le 06/09/2017
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Trop beau !!!!!
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Les plus anciennes villes...
- Par algermiliana
- Le 03/09/2017
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Chers amis,
L'histoire sur les plus anciennes villes de notre planète, nous révèle que DAMAS est supposée être la ville la plus ancienne de notre planète. C'est dommage que cette ville avec ses vestiges soit aujourd'hui en partie détruite par la bêtise humaine.
Bonne soirée
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L'orgue du Sultan/ Concert d'AMEL le 26 Août
- Par algermiliana
- Le 29/08/2017
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Très belle vidéo du concert qu'a donné Amel BRAHIM-DJELLOUL au festival de Sablé 2017 en France.
Enregistrée par Radio France
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Le mystère des pierres errantes...
- Par algermiliana
- Le 27/08/2017
- Dans Le coin de Djillali DEGHRAR
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Les énigmes et les mystères qui existent à travers le monde constituent une statgnation et un arrêt sur image dans les esprits des humains. Une sorte d’hallucination et d’impuissance. Les uns commes les autres sont parfaitement secrets et parfois inaccessibles : tels que le triangle des Bermudes, le triangle du Desert, les cailloux du Maroc, la pierre qui tremble en Grande Bretagne, ainsi que bien d’autres….
Toutefois, le mystère caractérisant les pierres du lit du lac de la vallée de la mort à (Racetrack Playa) en Californie. Constitue lui aussi un énorme défit pour les humains parce qu’il est exceptionnel et magique de par non seulement son caractère surprenant mais également par son aspect surnaturel envoûtant.
Des rochers de la taille d’un homme ou plus qui bougent et qui se déplacent sans l’aide de personnes das un sol, parfois boueux, aride et asséché !!! N’est-ce pas bouleversant et impressionnant ?
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Voyage dans l’état civil algérien
- Par algermiliana
- Le 23/08/2017
- Dans Le coin de Sadek BRAHIM-DJELLOUL
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Voyage dans l’état civil algérien, aux origines des noms de famille
Le patronyme est un support de notre identité. C’est un héritage familial inaliénable. Il nous parvient du fond des âges comme une chaîne qui nous lie à un ancêtre. A cheval entre la science du langage et l’histoire, ce nom si familier à notre mémoire recèle parfois le code d’accès qui perce le secret d’énigmes séculaires.
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Histoire d'un village/ Lavigerie-Djendel/ Suite II
- Par algermiliana
- Le 21/08/2017
- Dans Le coin de Med BRADAI
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______Le Gountas et mes souvenirs de voyage______
Comme l’héliodore ce minéral reconnaissable à sa couleur verdâtre et jaune d’or, et qu’en le recherchant parfois à ses vertus bénéfiques pour un un corps, qu’à l’esprit et l’âme, on le voit dans une vitrine de joaillier tout exposé à son discernement, pour y être avant admiré et à être acheté après. Ce rubis en cristal d’ aspect magnifique est pris dans son bel exemple à donner un pareil éclat de coloris à une autre vitrine attrayante au haut d’un Gountas et à montrer un village plaisant captivant et agençant à être admiré dans une verdoyante plaine du haut Cheliff.Le Gountas, est ce mont qui domine si haut ce village. A l’ endroit culminant de ses cimes s’offre au loin à tout flâneur la beauté de vue exceptionnelle d’un tableau de couleurs naturels sur l’immense paysage d’une plaine fertile. Et si le regard s’égare vers un peu plus bas en suivant la pente, un village lui apparait alors dans toute la grandeur de son étendue avec son revêtement de maisons rurales aux toits rouges.
Un village qui eut dans son temps lointain le nom Lavigerie, hormis la génération finissante, bien des gens aujourd'hui ne le connaissent qu’avec le nom de Djendel. Ce mont qui le surplomb dit el Gountas’ est à l’exemple de cette courbe en forme de voûte plantaire d’où d’un terme arabe significatif d’un mot lui a déterminé cette appellation. Le mot typiquement est connu dans le vocabulaire précaire de tout aborigène qui le caractérise comme à une ferme de charpente. Une ferme réunissant tout son ensemble de matériau pour un raccordement à en faire supporter une toiture de tout pénates.
Et comme telle, elle est donnée pour nom propre à ce mont. Un nom qui spécifie aussi encore plus cette population du dehors des gens du Djendel par cette appellation ’Sahab el Gountas ‘’ qui ne leur sera que propre à eux pour les différencier des gens du village .
Si à plus ou moins de ses 600m d’altitude l’ascension de cette hauteur de monticules prendra fin, on voit au somment du mont qu’il n arrive qu’aux pieds des cimes d’un djebel Zaccar qui s’élèvent au loin majestueusement aux cieux. Mais on a voir quand la brume ne fait pas étage avec le ciel à décrire ses deux versants de part et d’autres ; l’un qu’on dit de lui le’’Sra ‘’ et qu’à l’autre du coté opposé qu’on appelle ‘’kaf-el-djeleb’’.
Et c’est au travers du relief miraculeusement mouvementé de ressauts que le mont du Gountas fait parvenir au village et à sa plaine les œuvres épisodiques de bienfaisance qu’il détient de la nature. Si l’hiver parfois est de rudesse avec sa neige, il en est alors au plus avec ses rafales de vent glaciales, l’Été n’en sera que vent en souffle de douceur et fraicheur venant d’un littoral bienfaiteur pour un sommeil de nuit qui s’accompagne bien au clair de lune avec un cri et chant du grillon et qu’au midi du jour le ronronnement d’une sieste se fera à la cymbalisation de la cigale.
Et si autrefois un chemin départemental de pierraille plutôt qu’une route carrossable, sinuait sa voie jusqu’à la cime pour relier le village à un autre versant prenant la pente sur un autre raccourci au propice à regagner au plus vite « Ed Dzair ». ED DZAIR, un nom plus courant pour nous de dire aussi El Assima au lieu d’Alger où que chacun en ce temps rêvait d’y aller une seule fois dans sa vie comme on va à la Mecque pour un pèlerinage. Aujourd’hui l’auto route est-ouest le traverse de part et d’autre au point le plus culminant de ces cimes mais on voit que même si cet essor en est arrivé jusque là, le village fut bien privé de ce développement par tout simplement une bretelle qu’il fallait encarter pour épargner à sa population tout un détour. Du bas du village maintenant à tout temps on peut voir défiler sur les cimes de ce mont de bien solides voitures qui déploient leurs charivaris sans discontinuité aux paisibles habitants de la région.
En voyant toujours ce chemin devenu aujourd'hui route de wilaya et qui mène toujours tout haut au sommet des crêtes de ce mont el gountas que de souvenirs d’enfance provoquent en moi leurs retours en tête. Des souvenirs qui rappellent mes longues immobilités dans une position inconfortable suivis de douleurs lors de certains voyages sur ce chemin.
De ces souvenirs que j’ai à citer pour cela, que de fois alors au temps des vacances d’Été, j’ai eu à subir l’agréable bonheur avec tout un fâcheux mécontentement en même temps dans un tout même un voyage exaltant et luxueux à bord et à l’arrière d’une 2 cv. Mes fameux et périples voyages se sont faits en empruntant ce chemin, elles me seront bien plus pénibles d’être assis sur une barre de fer, faute de place pour une quantité de marchandise à transporter, cette barre posée à l’horizontal est placée de manière particulière pour moi à l’arrière en guise de coussin confortable. Et durant tout un trajet bien long que même difficile à supporter encore la poussière que me sentant parfois mal à l’aise. Partout où sur mon corps circule une veine de sang que cette barre d’assise était là, endurcie à me tenailler encore plus que je ne savais plus où trouver de place plus confortable et comme ce que dit aussi Jacques Perret dans sa citation « Les grands fauteuils n'ont plus de postérieurs à leur mesure ». Mais avec ce que j’avais en moi, je me voyais plein de joie pour cacher ma souffrance et à ne le dire à celui qui conduit assis confortablement devant sans gêne, lui qui me lance ‘‘est-ce que tout va bien derrière mon garçon ‘‘? Est-ce un mot au sens propre pour sa marchandise ou au sens figuré qu'il dit pour mon assise endolorie. Mais pour lui, il pense comme il a toujours pensé que sa belle voiture permet de traverser un champ labouré avec un panier d’œuf sans casser un seul.
Et moi, à bord de sa belle 04 roues sous un parapluie j’ai eu à subir cette expérience sans casser un seul de mes 206 os constituant mon panier de squelette. Mais Il fut pour moi toujours d’avoir eu cette joie d’aller revoir un beau quartier de la capitale plein de choses habituelles qui m’ont manquées, comme celles d’aller sans cesse voir de nouveaux films dans les salles de ciné si ce n’est un autre temps à flâner dans ces ruelles d’el akiba pour quelques illustrés à bas prix à mettre sous la dent. -
Histoire d'un village Lavigerie-Djendel
- Par algermiliana
- Le 10/08/2017
- Dans Le coin de Med BRADAI
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LAVIGERIE -DJENDEL, deux noms …. Un village...
Le récit de Mon histoire, est à montrer de ce « Bled » Lavigerie-Djendel, fut –il, durant tout un siècle baptisé Lavigerie pour être vrai, qu’on l’appelle de nos jours Djendel, aujourd’hui comme pour demain …
Autrefois, pour l’un, l’on disait Lavigerie, ce qu’à l’autre l’on dit de nos jours Djendel. Deux noms distincts du village, que l’un pour en être son vrai nom, l’on a spécifié sur un ultra de parchemin le nom propre d’un prélat. Un religieux missionnaire tout bonnement Mgr venu en armes épiscopales conquérir des contrées lointaines du Diocèse, qu’en plus de ce mémorial à son histoire s’ajoutant aussi pour avoir été baptisé une date le mémorisant en l’an 94 d’un énième et 19 siècle, tombant en éclipse. L’autre par contre, plus original fait part d’une conformité à la réalité et que même reconnu et rétablit dans ses légitimés comme tel. En cet an 62 d’un 20 ème siècle qui en cours d’extinction veut laisser place à un autre chiffre plus plaisant, peut-être que les deux déjà vécus, qui se dit bien être spolié pour ne pas dire en avoir été dépouillé d’un bien au cours de son 19 ème siècle, affirme encore appartenir à ce village bien plus avant tout ère de janissaires du beylicat de ses Beys et Deys.
M’étant trouvé à penser entre lequel des deux qui pour lui bien au début a été le vrai nom, je me suis penché donc à cette question pour reprendre ce dont le lexicographe Alain Rey nous indique pour : l’Allusion à une réponse comique d'un répertoire troupier qui dit ; ‘’ les deux mon capitaine !… Les deux sont vrais’’.
Et Où, pour exprimer une originalité suivante dont il montre un excellent exemple il dit : Toujours est-il que la formule a donné lieu à des blagues diverses, d'un très haut niveau intellectuel, presque aussi haut que certaines de mes plaisanteries à moi.Dans une caserne, un officier dit à un militaire : Demain, le grand général des généraux va venir vous poser 3 questions : tout d'abord il vous demandera "Depuis quand êtes-vous ici ?" et vous lui répondrez "6 mois, mon général", après, il vous demandera "Quel âge avez-vous ?" vous lui répondrez "18 ans, mon général" et pour finir il vous demandera "Préférez-vous les petits pois ou les carottes ?" vous lui répondrez "les deux, mon général".
De cette formule de politesse rendue d’un subordonné à son auxiliaire j’ai tissé une histoire à raconter, l’histoire vraie d’un petit village à l’époque …ce village qui possède entre autre deux noms comme tel ou tel village dans notre pays assimilant le même cas…
A ce village d’autrefois que de fois pour écrire son nom j’ai eu à penser et à le redire comme le dit le soldat pour être du même avis que son supérieur…, ‘’ les deux mon capitaine !.. Les deux sont vrais ’’. Et Qu’un des deux noms si aujourd’hui parfois, pour le designer je me réfère toujours à l‘appeler Lavigerie plutôt que penser »à sa disparité c’est qu’à l’origine lointaine l’acte attestant l’exactitude de ma naissance disait, cela sur ses registres d’état civil.
Et Que si l’autre nom en est le plus courant à dire aujourd’hui son mot , il en est bien maintenant tout autre qu’un village, on le voit comme une Cité en pleine expansion, une petite ville tributaire des temps modernes. Ainsi je les ai acceptés pour que je me sente heureux à dire que les deux sont aussi vrais à écrire leur ’histoire pour un seul village.
Je tacherai de vous en dire ce qu’il y a de si caché en moi dans l’histoire de ce petit village d’autrefois ET Si je n’y arrive pas au bout de mes peines à avoir sur le bout de la langue tous les bons mots de mes souvenirs, alors c’est encore loin pour moi à vous les dire entièrement une autre fois.
Comme à l’exemple de tout commis-voyageur pris par une clientèle au dépourvu d’identifier sa propre marchandise et à l’avantager comme produit à vendre par un miracle, j’essaie aussi à mon histoire de l’imiter dans sa démarche par où prendre mon meilleur chemin et montrer mon beau village pour qu’il soit plus beau encore. Et après réflexion et à toute pensée tout comme lui, j’ai fini à trouver mon début d’histoire pour ce que j’ai à exprimer que je commencerai par dire c’est bien Après l’indépendance, qu’on lui conféra finalement son nom d’originalité, son ancienne appellation usurpée et qu’agréablement il a repris ce joli nom des gens du Douar Djendel.
Toutefois, ce nom mythiquement le caractérise à des gens d’une communauté noble et puissante .Une tribu guerrière disait-on aussi très redoutée qui dominait la région par la bravoure et le courage de ses gens qu’on les surnommait les « Gens du Djendel ». L’épopée qu’on raconte d’eux dit que leur Douar regroupait les Béni Ahmed, les Tel benêt, Béni Fatem et les tribus de Matmata mais aussi étonnante qu’elle fut paradoxale, ces tribus de gens dite« Arche mot du lexique parlé des autochtones » menaient farouchement une vie entre elles. Leur confédération en période coloniale a constitué la Commune Mixte de Djendel.
DJENDEL-LAVIGERIE…, Deux noms dissemblables mais qui se voient et se perçoivent nettement pour un même lieu de rencontre d’un village.
C’est à l’entrée du carrefour aux quatre chemins de ce village que le panneau d’entrée d’agglomération rectangulaire, jaune bordé de noir l’avait indiqué auparavant comme localité au nom de Lavigerie et qu’on le retrouve encore au même endroit à nos jours pour tout jamais à l’indiquer aussi à tout routier ou voyageur visiteur que sa route ou son chemin l’a mené jusqu’à ce lieu même qu’autrefois appelé Lavigerie est qualificatif de Djendel . -
Miliana/ Place Magenta
- Par algermiliana
- Le 02/08/2017
- Dans Arts & Culture
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Place Magenta - L'horloge
Une oeuvre de l'artiste Boualem AHMED ZOUAOUI
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Etre promeneur-oisif dans un conte de grand-mère
- Par algermiliana
- Le 23/07/2017
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Par son fort appoint laissé dans un de ses commentaires Je crois que mon ami Djillali Deghrar m’en a donné cette occasion pour dire pourquoi je me suis trop attaché à raconter des contes de G.M au point de ne plus m’en séparer.
Là-dessus, je peux dire pour m’expliquer qu’être assujetti à la tendresse est l’intransigeance logique et morale à ceux que nous aimons. Il m’arrive des fois dans ma solitude d’être un promeneur oisif que je pense souvent à G. M et sa merveilleuse vie de tendresse qu’elle a menée.
De cette douce tendresse aussi que m’a laissée G.M qu’elle m’a inculquée j’essaie de voir et comprendre les choses passées et à venir dans leurs réalités car L’existence d’un bout à l’autre n’est que le continuel d’un temps qui s’en va. On le voit aveuglement partir, emportant avec lui nos âges ; ces âges cumulés de nos printemps qui le suivent vers cette fin pour nous, dans son long parcours sinueux. Ainsi on ressent, qu’au cours de tout chemin de parcours consenti avec lui et sans réflexion aucune, de tout ce que l’on éprouve d’être un promeneur-oisif à cette destinée du devenir de la vie. Et tant que tanguent nos instants qui restent encore à vivre dans le parcours et à suivre ce phénomène du temps où qu’il nous mène et où qu’on doit le suivre baignera en nous l’oisiveté de son étreinte. Et c’est dans ce bain de tourmente qu’on se voit être absorbé dans des rêves qui aux délires d’une imagination illusoire iront à des souvenirs enfouis qui dorment en mémoires dans nos têtes. Malgré ce qu’on dit de cette douce oisiveté, qu’elle est l’ennemi de l’âme, elle ne fait qu’éprouver à faire ressentir en nous tout un flot de souvenirs. Des souvenirs proches ou lointains que la mémoire au moment de notre demande nous les restitue tantôt bons tantôt mauvais.
Dans mes souvenirs, le temps des années 50 est pour moi comme le calmant qu’on achète de chez tout pharmacien à un mal incurable. Chaque fois que dans un endroit quelconque je me sens être promeneur oisif ces souvenirs lointains me reviennent en mémoire et me donnent le temps d’évoquer mon temps dans un village avec G.M, que cela m’emmène à jouir de leurs circonstances heureuses ou malheureuses que je dois encore conserver…si bien que je les vois et je m’en contente d’eux comme une histoire de ma vie à quoi on ne peut se soustraire.
Mais en somme, ces souvenirs que j’évoque ne sont qu’une tranche d’époque que le temps a marqué leurs histoires événementielles dans mes années tendres. Parfois il m’arrive sans cesse à vanter ici et là ce temps passé, par des jeux enfantins sempiternels chaque fois que me ronge cette nostalgie d’enfance de penser que G.M est là partout avec moi à me conseiller ou à m’écouter dire des bêtises de la vie.
Et me souvenir de ces année-là, c’est penser que tout çà fut pour moi bien une histoire d’enfance pour ne pas que l’atrophie sentimentale ne m’en laisse la tête entièrement libre et Elle n’en sera qu’une ’histoire de souvenirs entre toute autre pour moi, que je tiens à raconter malgré quelques oublis.
Et comme pour toute histoire qui se narre d’un lointain passé, je devais aussi pour les relater dire comme à tous les contes de légende qu’on raconte, qu’il était une fois au lieu de dire il y a bien longtemps…Ce n’est bien sûr, que pour redire qu’elle en était bien du temps passé …et bien de G.M… De ces histoires de G.M, j’ai dû épointer pas mal de crayons pour elles, elles sont comme toute histoire qui se raconte avec d’un début comme tout commencement, mais comme juste un peu prolixe si ce n’est des fois superflues, que j’ai dû alors parfois les mener à bonne fin avant terme.