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Articles de Meskellil

  • Karim Aouidat / Ya Dzair yal Ghalia

    Ya Dzair yal ghalia De Karim Aouidat

    • En hommage à celles et ceux qui ont fait ce 19 mars 1962....
    • En hommage à celles et ceux qui continuent à se battre....

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  • De l’impression à l’expression

    Claude Monet / Ludwig Van Beethoven

    De l’impression à l’expression

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  • Etre né quelque part / M. Leforestier

     

    Un message de paix, d’ouverture et d’espoir que je dédie à toutes et à tous sans exclusive, sans murs, et sans frontières au nom de l’Altérité

     

    "Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel
    est un serviteur fidèle. Nous avons crée une société qui honore le serviteur et a oublié le don."

    "Dans un univers passablement absurde, il y a quelque chose qui n'est pas absurde, c'est ce que l'on peut faire pour les autres "

    "Notre pouvoir ne réside pas dans notre capacité à refaire le monde,
    mais dans notre habileté à nous recréer nous-mêmes"

    "N'oubliez pas, nous affectons tous le monde à chaque instant, que nous le voulions ou pas. Par nos actions et nos pensées, parce que nous sommes tellement profondément interconnectés les uns les autres. Travailler sur notre propre conscience est la chose la plus importante que nous faisons à tout moment, et être Amour est l'acte créateur suprême"
     

    Bien à vous tous et toutes

     

     

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  • Omar Bashir/ To my Mother/ Al Hambra

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    Munir Bashir, le maître légendaire du oud, aura plusieurs élèves mais un seul disciple, son fils Omar auquel il enseignera son art dès l’âge de cinq ans. Munir Bashir rentrera en Irak avec sa femme hongroise et leurs deux enfants, Saad né en 1966 et Omar né en 1970, après avoir obtenu son doctorat en Hongrie. Après quelques années passées au Liban, Munir Bashir entamera une carrière internationale. Désireux de transmettre ce patrimoine culturel musical à ses enfants, et notamment à Omar dont le potentiel se révélera très tôt, il consacrera à ce dernier parfois jusqu’à cinq heures d’enseignement de cet art par jour. Naturellement Omar entrera à l’école de musique et de danse de Bagdad à sept ans, donnera son premier concert de oud à neuf ans en solo au conservatoire de Bagdad., et jouera avec son père dès l’âge de treize ans. Quelques années plus tard, il accompagnera son père régulièrement.

    En 1991, la famille quitte l’Irak pour s’installer en Hongrie. Omar étudiera, à l’Université Liszt, le piano, le chant et la direction chorale, et participera à plusieurs concerts avec son père dans le monde arabe, aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, et notamment à Paris.

    La disparition de Munir Bashir en 1997 marquera un tournant important dans la carrière de Omar qui cherchera alors sa propre identité musicale en expérimentant différents instruments et techniques, et en explorant des styles musicaux qui lui sont proches, qu’ils soient ceux des tziganes hongrois ou des gitans. Les Gypsy King l’autoriseront même à utiliser l’une de leurs chansons. Il collaborera avec plusieurs artistes internationaux, recevra distinctions et prix dans le monde arabe, aux Etats-Unis et en Europe où il effectuera plusieurs tournées de concerts et enregistrements de CD.

    À partir de ses improvisations sur quelques-uns des maqams arabes les plus importants, Omar cherchera à mettre en avant leur relation avec d’autres cultures. Tout en s’appuyant sur l’héritage musical transmis par son père, Omar Bashir ouvrira en permanence sa musique à des influences autres, cherchant à trouver des liens, des affinités entre la musique de son pays natal et celles du reste du monde, des influences allant de l’Inde à l’Andalousie en passant par l’Irak et la Turquie. Omar saura être à la hauteur de son double et lourd héritage, celui de la renommée de son père et celui de la tradition musicale, pour devenir à son tour non plus le « fils de », mais un grand artiste qui aura contribué à vivifier la musique arabe, à lui garder son cachet traditionnel tout en la nourrissant d’autres styles musicaux.

    Je vous propose d’écouter deux très belles pièces musicales :

    La première intitulée « To my Mother » dont la ligne mélodique riche est agrémentée d’ornementations belles, raffinées et harmonieuses, et c’est toute la magie de cet instrument noble le oud que d’exprimer avec beaucoup de sensibilité amour, tendresse, douceur, joie ou tristesse, nostalgie aussi, une composition au flux dense de l’amour maternel exprimé, légère, aérée, aérienne même. La fin du morceau se dessine comme une étreinte pleine de tendresse qui semble ne pas vouloir se terminer, qui se prolonge encore et encore. Sublime de sensibilité, de profondeur, d’amour. Une deuxième composition magnifique de ses nuits andalouses ensorcelantes, chantantes, riantes et nostalgiques à souhait intitulée « Al Hambra »

    Bonne écoute!

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  • LAYTANA / TRIO JOUBRAN

    LAYTANA...

    En écho au poème « Les enfants de Gaza » de Saïd Nouahad. Merci Saïd !

    « Le Trio Joubran, trois frères issus d'une famille palestinienne qui, depuis quatre générations, vit à travers le « Oud », le fabrique, le joue, l'aime. L'arrière grand-père, le grand-père, le père et maintenant, les trois frères Samir, Wissam, et Adnan qui font de cet instrument un savoir, une passion, une vie... »

    Bonne écoute

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  • Change / Tracy Chapman

     

    _________Change / Tracy Chapman_________


    Qu’est-ce qui pourrait nous pousser à changer, à enfin agir… ?
    Est-ce de savoir que l'on va mourir aujourd'hui...?
    Est-ce d’être touchés par la grâce de l’Amour... ?
    Est-ce d’être éprouvés par les affres du malheur... ?



    C’est un peu la question que pose Tracy Chapman dont les paroles simples, introspectives, portées par une voix aux intonations vraies, sensibles, sincères, touchantes, un peu mélancoliques savent interpeller en profondeur notre sensibilité, nos émotions, notre être intime pour peu qu’on y soit attentif…

    On a toutes et tous quelque chose à changer...? Quand nous y mettrons-nous....?

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  • Constantine 2015, Capitale de la Culture Arabe

     

    Un article que j'ai trouvé très intéressant et très important à lire et à faire lire. Il parle de la manifestation qu'il y a eu récemment à Constantine, "Constantine 2015, capitale de la culture arabe".

    Je dirais qu'hélas Constantine n'est pas une exception. Elle serait même le porte-parole de toutes les cités algériennes y compris Miliana.

    J'espère que vous apprécierez autant que j'ai apprécié cet article.

    Bonne lecture

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  • Caravanserai/Loreena Mc Kennitt

    Loreena Mc Kennitt est auteur, compositeur, interprète, harpiste, accordéoniste et pianiste.

    Caravansérail est le titre de ce morceau extrait de l’album « Nights from the Alhambra » concert donné à Grenade (morceau que j’ai toujours plaisir à écouter et que j’aime faire écouter). Loreena est partie sur la trace de ses ancêtres irlandais et écossais. La quête mythique, mystique qu’elle entreprend et qui imprègnera sa musique la mènera par les routes, monts, vallées et sentiers à la rencontre d’autres cultures, d’autres civilisations… Ses compositions où se mêlent les influences Celtes et celles d’Orient sont d’une grande richesse sonore, d’une grande force. Loreena McKennitt met merveilleusement bien en scène ce monde du voyage (cadre, musiciens, textes, instruments…) pour nous introduire, avec beaucoup d’émotion et de sensibilité dans la magie des rêves, dans leur univers envoutant, magie et rêves qu’elle a elle-même découverts pendant ses voyages.

    «... Toujours consciente que nous devons assumer le poids du passé et être à l’écoute des leçons que nous enseignent ces voix disparues, je maintiens encore l’intime conviction que nous sommes le point culminant de toute l’histoire qui nous précède et que ce qui nous unit les uns aux autres doit nécessairement être plus important que ce qui nous sépare. Aussi, j’entretiens encore l’espoir qu’en aspirant à créer un climat qui encourage l’harmonie et la diversité intégrée, l’ensemble de nos croyances sauront nous guider vers un avenir garant de notre pérennité en respect de la force de la vie qui nous anime.» Loreena Mc Kennitt

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  • Karima/A yema thessa


    Pas besoin de traduction. Toute la douceur du monde est contenue dans ce simple mot
     

    « yema »


    Clip avec la doyenne de la chanson Kabyle Lla Yamina Allah yarhamha

     

     

     

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  • Bratsch / Opa Ni Nanai

    "Bratsch (bratsch roumain est un violon alto) est tout d'abord une rencontre entre des musiciens français, d'origines multiples et venant de diverses expériences jazz ou traditionnelles, et de la musique tsigane d'Europe de l'Est, spécialement de Roumanie, de Bulgarie, de Grèce, d'Arménie... et du Jazz Manouche inventé par Django Reinhardt."

    "En pratiquant depuis sa naissance le " jouer tsigane ", Bratsch le ramène à sa fonction première de plaisir (ivresse de jouer, joie d’ouïr), loin des compilateurs sectaires, loin des reproducteurs stériles. Mais l’éclectisme du répertoire n’exclut pas la fidélité, et la fidélité fait bon ménage avec la fantaisie, de même que la graine du bouleau, portée par le vent, ira planter un autre arbre identique au premier et qui pourtant vivra, dans une farouche indépendance, sa vie d’arbre."

    "Ainsi, leurs chants, leurs danses courent, chevaux sauvages, au grand galop, qu’ils excitent de leurs cris, de leurs " opa ", " opcha ""
     

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