Articles de algermiliana
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INGRATITUDE ENVERS CELUI QUI NOUS REND SERVICE
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Une histoire qui me tient à cœur à vous la faire relire pour vous faire connaitre cette mésaventure de notre pauvre âne bien aimé de mon père et que j'ai dû par mégarde corriger un jour pour sa désobéissance.
C’était au début d’un jour et fort bien depuis tout un matin, qu’à chaque fois que mon ombre passait tout prés de lui, que Père n’a cessé de répéter des mots de mécontentement à mon égard.
Assis au pas-de-porte de la maison il était vraiment en bile sans vouloir donner la raison qui le tracasse. N’y tenant plus je me suis approché de lui avec cette idée que ma mère m’en a mise en tête qui dit « Celui qui t'enseigne vaut mieux que celui qui te frappe».Sans attendre je suis allé vers lui, me faire tout bas et embrasser docilement sa tête comme le veut la bonne tradition de chez nous. Mais son regard souverain étant toujours resté fixer à terre que je me suis mis à ses pieds à lui dire…
- Est-ce que j’ai fait quelque chose de mal aujourd’hui Père ?
- Aujourd’hui pas encore mon fils. Mais hier OUI …!!! ton comportement était au comble de l’absurdité.Et là, tout en me disant cela, Père ne me regardait même pas... Me laissant perplexe debout devant lui comprendre que la faute est bien plus grande que je l’imagine.
Comme tout bon enfant crédule, j’ai bien compris que je dois vite exprimer mes excuses.
- Père… Veux-tu bien me ménager cette faute commise ? Je te demande tout le pardon.
- Va d’abord implorer ton pardon à l’âne qui n’a rien fait et que tu l’as battu à le laisser pour mort.
- Mais Père…l’âne est sensé être domestique, servile et à tout supporter même les coups quand son maitre le gronde.
- Pour tout le travail qu’il nous fournit et qu’ on a que lui à l’étable sur qui compter, il ne le mérite pas pour autant mon fils.
- Mais Père…c’est d’après ses toquades intenables que j’ai agit ainsi et utilisé un peu ma force.
- J'ai constaté cela par le gourdin que tu as brisé en deux et abandonné ensuite derrière la maison, que seule l’intensité de ta puissance de force l’a aidée à être bien manipulé sur une malheureuse créature.
- Père, je peux te dire que j’ai supplié cet âne autant de fois avant que je me décide à me mettre en action pour le corriger.
- Ne t’es-tu pas rendu compte mon fils du mal que tu lui as fait.
- Père, je ne pouvais attendre plus qu’il n’en faut, il a failli renverser toute la récolte de notre labeur à l’eau..
- Mais sais-tu au moins que tu lui as donné à boire quand il fallait lui donner à manger et que tu l’as frappé en plus de ça au point faible qui sont ses poumons.
- C’est lui qui a bien voulu aller boire avant d’avoir mangé. En plus de ça Père, Il a une têtue tête d’âne qui décide avant de réfléchir et c’est pour le dégonfler j’ai pas su où frapper.
- Mais il était aveuglé par tant de soif qu’il ne pouvait voir même devant lui tout ce pré vert en herbe. Tu aurais dû le laisser au moins terminer à boire sa gorgée, mon fils.
- Tout était de sa faute Père, il a couru comme un diable en voyant l’eau limpide de la rivière.
- Tu as l’aplomb de me répéter encore que la faute revient à l’âne ?
- Mais père, je te fais savoir que Mère a été très contente de ma conduite envers lui. Elle m’en a même donnée tout a fait raison même quand elle a vu l’âne étalé de tout son long et gémir de douleur toute la soirée. D’ailleurs, Je vais tout t’expliquer du début à sa fin père comment cela est arrivé.
- M’expliquer quoi maintenant !!!, après tout le mal qui est fait. Et puis tu me fais surgir même ta mère dans ta culpabilité comme si elle était juge et avocate pour ta cause. Sache que ta mère n’a été que satisfaite maintenant et depuis un temps n’attendait que l’occasion voulue pour se faire justice depuis le jour où la bourrique sans le vouloir a eu le plaisir de brouter un peu ses pots de fleurs pour se parfumer un peu les dents.
- Je sais Père je me souviens toujours de cette drôle de tête qu’a fait ma mère en voyant le spectacle désolant à ses yeux. Ça a été un massacre pour ma pauvre mère qu’elle ne s’est plus remise depuis.…Père ne me laissa pas le temps de lui rajouter quelques mots, qu’il enchaina pour me dire encore …
- Peux tu me dire sans dire autre chose mon fils est ce que La charge de fardeau des quatre sacs de blé était portée sur ton dos ou sur le dos de l’âne quand sa langue pendait jusqu’à toucher terre.
- Sur l’âne pardi !.. et moi dessus sur les sacs …Père !!!…Et C’est pour l’apaiser de mon poids et le mettre à son aise que je suis descendu, je n’ai laissé alors sur lui en charge que les quatre sacs de blé de notre récolte.
- Mais alors d’après ce que tu me racontes, je vois bien pourquoi la pauvre bourrique n’a pu tenir trop longtemps en voyant cette eau de rivière.
- J’ai cru bon m’arrêter un peu et lui donner ce peu de repos qu’il a tant mérité et de le rassasier en herbe abondante et en eau si fraiche.
- Pourtant vous étiez si prés du lieu d’arrivée de la maison, pourquoi l’avoir laissé aller vers le point d’eau ? L’âne à ma connaissance avait tout ce qu’il désirait en avoine à la place habituelle qui lui est réservée à l’écurie.
- Père ne m’en veut pas c’est qu’avant d’arriver à la maison chemin faisant j’ai vu ce pré de ronces alors j’ai pensé à la panse à l’âne et à sa langue pendante tout le long du chemin. J’ai préféré économiser un peu d’avoine de sa ration de nourriture pour notre galette et lui faire plaisir de toute cette étendue d’herbe qui se présente à lui afin qu’il puisse se rassasier en plein air toute à sa guise. Mais voilà, ce qui m’a surprit en lui, voyant la rivière avec son eau qui scintille au soleil il s’est pris de ses quatre pattes à courir vers elle et a laissé l’herbe toute fraiche et c’est là que mon bâton est intervenu pour retenir son élan.
- C’était son désir à lui de boire avant de manger, il fallait le laisser faire.
- Mais père tu me disais… père ne me laissa pas terminer ce que j’allais lui dire de bon qu’il se leva pour aller voir l’état de santé de l’âne avec le vétérinaire qui s’emmène de loin sur sa carriole en me disant des paroles à exécuter au plus vite.
- Ne me dit plus autre chose fils, va voir ta mère qu’elle nous prépare une grande bassine d’eau chaude et des bandes et n’oublie pas aussi de lui dire de préparer un bon café dont elle en a le secret et un repas supplémentaire pour le vétérinaire je crois qu’il va un peu tarder…
Mais avant entends de moi ce proverbe que tu dois savoir dans la vie « Nous sommes ingrats envers celui qui nous a rendu service ».L’âne ne se remit à son état de marche normale que plusieurs jours après et moi je n’ai jamais oublié que je lui ai fait un peu mal. Ma mère eut à planter d’autres fleurs et de la vente des œufs de ses poules elle en a pu faire une clôture en grillage tout autour de son paradis terrestre, et père, de ce jour pour éviter d’appeler le vétérinaire de si loin ne m’a jamais laissé seul avec l’âne.
Quant à moi Père a bien fait de m'apprendre ce proverbe, il m'a bien servi qu'à tout pêché miséricorde.
La bienveillance est une forme de la charité, et il faut être indulgent pour les autres, si l’on veut qu’ils le soient, à leur tour, pour nous...
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Etre promeneur-oisif dans un conte de grand-mère
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Par son fort appoint laissé dans un de ses commentaires Je crois que mon ami Djillali Deghrar m’en a donné cette occasion pour dire pourquoi je me suis trop attaché à raconter des contes de G.M au point de ne plus m’en séparer.
Là-dessus, je peux dire pour m’expliquer qu’être assujetti à la tendresse est l’intransigeance logique et morale à ceux que nous aimons. Il m’arrive des fois dans ma solitude d’être un promeneur oisif que je pense souvent à G. M et sa merveilleuse vie de tendresse qu’elle a menée.
De cette douce tendresse aussi que m’a laissée G.M qu’elle m’a inculquée j’essaie de voir et comprendre les choses passées et à venir dans leurs réalités car L’existence d’un bout à l’autre n’est que le continuel d’un temps qui s’en va. On le voit aveuglement partir, emportant avec lui nos âges ; ces âges cumulés de nos printemps qui le suivent vers cette fin pour nous, dans son long parcours sinueux. Ainsi on ressent, qu’au cours de tout chemin de parcours consenti avec lui et sans réflexion aucune, de tout ce que l’on éprouve d’être un promeneur-oisif à cette destinée du devenir de la vie. Et tant que tanguent nos instants qui restent encore à vivre dans le parcours et à suivre ce phénomène du temps où qu’il nous mène et où qu’on doit le suivre baignera en nous l’oisiveté de son étreinte. Et c’est dans ce bain de tourmente qu’on se voit être absorbé dans des rêves qui aux délires d’une imagination illusoire iront à des souvenirs enfouis qui dorment en mémoires dans nos têtes. Malgré ce qu’on dit de cette douce oisiveté, qu’elle est l’ennemi de l’âme, elle ne fait qu’éprouver à faire ressentir en nous tout un flot de souvenirs. Des souvenirs proches ou lointains que la mémoire au moment de notre demande nous les restitue tantôt bons tantôt mauvais.
Dans mes souvenirs, le temps des années 50 est pour moi comme le calmant qu’on achète de chez tout pharmacien à un mal incurable. Chaque fois que dans un endroit quelconque je me sens être promeneur oisif ces souvenirs lointains me reviennent en mémoire et me donnent le temps d’évoquer mon temps dans un village avec G.M, que cela m’emmène à jouir de leurs circonstances heureuses ou malheureuses que je dois encore conserver…si bien que je les vois et je m’en contente d’eux comme une histoire de ma vie à quoi on ne peut se soustraire.
Mais en somme, ces souvenirs que j’évoque ne sont qu’une tranche d’époque que le temps a marqué leurs histoires événementielles dans mes années tendres. Parfois il m’arrive sans cesse à vanter ici et là ce temps passé, par des jeux enfantins sempiternels chaque fois que me ronge cette nostalgie d’enfance de penser que G.M est là partout avec moi à me conseiller ou à m’écouter dire des bêtises de la vie.
Et me souvenir de ces année-là, c’est penser que tout çà fut pour moi bien une histoire d’enfance pour ne pas que l’atrophie sentimentale ne m’en laisse la tête entièrement libre et Elle n’en sera qu’une ’histoire de souvenirs entre toute autre pour moi, que je tiens à raconter malgré quelques oublis.
Et comme pour toute histoire qui se narre d’un lointain passé, je devais aussi pour les relater dire comme à tous les contes de légende qu’on raconte, qu’il était une fois au lieu de dire il y a bien longtemps…Ce n’est bien sûr, que pour redire qu’elle en était bien du temps passé …et bien de G.M… De ces histoires de G.M, j’ai dû épointer pas mal de crayons pour elles, elles sont comme toute histoire qui se raconte avec d’un début comme tout commencement, mais comme juste un peu prolixe si ce n’est des fois superflues, que j’ai dû alors parfois les mener à bonne fin avant terme. -
Histoire d'un village Lavigerie-Djendel
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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LAVIGERIE -DJENDEL, deux noms …. Un village...
Le récit de Mon histoire, est à montrer de ce « Bled » Lavigerie-Djendel, fut –il, durant tout un siècle baptisé Lavigerie pour être vrai, qu’on l’appelle de nos jours Djendel, aujourd’hui comme pour demain …
Autrefois, pour l’un, l’on disait Lavigerie, ce qu’à l’autre l’on dit de nos jours Djendel. Deux noms distincts du village, que l’un pour en être son vrai nom, l’on a spécifié sur un ultra de parchemin le nom propre d’un prélat. Un religieux missionnaire tout bonnement Mgr venu en armes épiscopales conquérir des contrées lointaines du Diocèse, qu’en plus de ce mémorial à son histoire s’ajoutant aussi pour avoir été baptisé une date le mémorisant en l’an 94 d’un énième et 19 siècle, tombant en éclipse. L’autre par contre, plus original fait part d’une conformité à la réalité et que même reconnu et rétablit dans ses légitimés comme tel. En cet an 62 d’un 20 ème siècle qui en cours d’extinction veut laisser place à un autre chiffre plus plaisant, peut-être que les deux déjà vécus, qui se dit bien être spolié pour ne pas dire en avoir été dépouillé d’un bien au cours de son 19 ème siècle, affirme encore appartenir à ce village bien plus avant tout ère de janissaires du beylicat de ses Beys et Deys.
M’étant trouvé à penser entre lequel des deux qui pour lui bien au début a été le vrai nom, je me suis penché donc à cette question pour reprendre ce dont le lexicographe Alain Rey nous indique pour : l’Allusion à une réponse comique d'un répertoire troupier qui dit ; ‘’ les deux mon capitaine !… Les deux sont vrais’’.
Et Où, pour exprimer une originalité suivante dont il montre un excellent exemple il dit : Toujours est-il que la formule a donné lieu à des blagues diverses, d'un très haut niveau intellectuel, presque aussi haut que certaines de mes plaisanteries à moi.Dans une caserne, un officier dit à un militaire : Demain, le grand général des généraux va venir vous poser 3 questions : tout d'abord il vous demandera "Depuis quand êtes-vous ici ?" et vous lui répondrez "6 mois, mon général", après, il vous demandera "Quel âge avez-vous ?" vous lui répondrez "18 ans, mon général" et pour finir il vous demandera "Préférez-vous les petits pois ou les carottes ?" vous lui répondrez "les deux, mon général".
De cette formule de politesse rendue d’un subordonné à son auxiliaire j’ai tissé une histoire à raconter, l’histoire vraie d’un petit village à l’époque …ce village qui possède entre autre deux noms comme tel ou tel village dans notre pays assimilant le même cas…
A ce village d’autrefois que de fois pour écrire son nom j’ai eu à penser et à le redire comme le dit le soldat pour être du même avis que son supérieur…, ‘’ les deux mon capitaine !.. Les deux sont vrais ’’. Et Qu’un des deux noms si aujourd’hui parfois, pour le designer je me réfère toujours à l‘appeler Lavigerie plutôt que penser »à sa disparité c’est qu’à l’origine lointaine l’acte attestant l’exactitude de ma naissance disait, cela sur ses registres d’état civil.
Et Que si l’autre nom en est le plus courant à dire aujourd’hui son mot , il en est bien maintenant tout autre qu’un village, on le voit comme une Cité en pleine expansion, une petite ville tributaire des temps modernes. Ainsi je les ai acceptés pour que je me sente heureux à dire que les deux sont aussi vrais à écrire leur ’histoire pour un seul village.
Je tacherai de vous en dire ce qu’il y a de si caché en moi dans l’histoire de ce petit village d’autrefois ET Si je n’y arrive pas au bout de mes peines à avoir sur le bout de la langue tous les bons mots de mes souvenirs, alors c’est encore loin pour moi à vous les dire entièrement une autre fois.
Comme à l’exemple de tout commis-voyageur pris par une clientèle au dépourvu d’identifier sa propre marchandise et à l’avantager comme produit à vendre par un miracle, j’essaie aussi à mon histoire de l’imiter dans sa démarche par où prendre mon meilleur chemin et montrer mon beau village pour qu’il soit plus beau encore. Et après réflexion et à toute pensée tout comme lui, j’ai fini à trouver mon début d’histoire pour ce que j’ai à exprimer que je commencerai par dire c’est bien Après l’indépendance, qu’on lui conféra finalement son nom d’originalité, son ancienne appellation usurpée et qu’agréablement il a repris ce joli nom des gens du Douar Djendel.
Toutefois, ce nom mythiquement le caractérise à des gens d’une communauté noble et puissante .Une tribu guerrière disait-on aussi très redoutée qui dominait la région par la bravoure et le courage de ses gens qu’on les surnommait les « Gens du Djendel ». L’épopée qu’on raconte d’eux dit que leur Douar regroupait les Béni Ahmed, les Tel benêt, Béni Fatem et les tribus de Matmata mais aussi étonnante qu’elle fut paradoxale, ces tribus de gens dite« Arche mot du lexique parlé des autochtones » menaient farouchement une vie entre elles. Leur confédération en période coloniale a constitué la Commune Mixte de Djendel.
DJENDEL-LAVIGERIE…, Deux noms dissemblables mais qui se voient et se perçoivent nettement pour un même lieu de rencontre d’un village.
C’est à l’entrée du carrefour aux quatre chemins de ce village que le panneau d’entrée d’agglomération rectangulaire, jaune bordé de noir l’avait indiqué auparavant comme localité au nom de Lavigerie et qu’on le retrouve encore au même endroit à nos jours pour tout jamais à l’indiquer aussi à tout routier ou voyageur visiteur que sa route ou son chemin l’a mené jusqu’à ce lieu même qu’autrefois appelé Lavigerie est qualificatif de Djendel . -
Histoire d'un village/ Lavigerie-Djendel/ Suite II
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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______Le Gountas et mes souvenirs de voyage______
Comme l’héliodore ce minéral reconnaissable à sa couleur verdâtre et jaune d’or, et qu’en le recherchant parfois à ses vertus bénéfiques pour un un corps, qu’à l’esprit et l’âme, on le voit dans une vitrine de joaillier tout exposé à son discernement, pour y être avant admiré et à être acheté après. Ce rubis en cristal d’ aspect magnifique est pris dans son bel exemple à donner un pareil éclat de coloris à une autre vitrine attrayante au haut d’un Gountas et à montrer un village plaisant captivant et agençant à être admiré dans une verdoyante plaine du haut Cheliff.Le Gountas, est ce mont qui domine si haut ce village. A l’ endroit culminant de ses cimes s’offre au loin à tout flâneur la beauté de vue exceptionnelle d’un tableau de couleurs naturels sur l’immense paysage d’une plaine fertile. Et si le regard s’égare vers un peu plus bas en suivant la pente, un village lui apparait alors dans toute la grandeur de son étendue avec son revêtement de maisons rurales aux toits rouges.
Un village qui eut dans son temps lointain le nom Lavigerie, hormis la génération finissante, bien des gens aujourd'hui ne le connaissent qu’avec le nom de Djendel. Ce mont qui le surplomb dit el Gountas’ est à l’exemple de cette courbe en forme de voûte plantaire d’où d’un terme arabe significatif d’un mot lui a déterminé cette appellation. Le mot typiquement est connu dans le vocabulaire précaire de tout aborigène qui le caractérise comme à une ferme de charpente. Une ferme réunissant tout son ensemble de matériau pour un raccordement à en faire supporter une toiture de tout pénates.
Et comme telle, elle est donnée pour nom propre à ce mont. Un nom qui spécifie aussi encore plus cette population du dehors des gens du Djendel par cette appellation ’Sahab el Gountas ‘’ qui ne leur sera que propre à eux pour les différencier des gens du village .
Si à plus ou moins de ses 600m d’altitude l’ascension de cette hauteur de monticules prendra fin, on voit au somment du mont qu’il n arrive qu’aux pieds des cimes d’un djebel Zaccar qui s’élèvent au loin majestueusement aux cieux. Mais on a voir quand la brume ne fait pas étage avec le ciel à décrire ses deux versants de part et d’autres ; l’un qu’on dit de lui le’’Sra ‘’ et qu’à l’autre du coté opposé qu’on appelle ‘’kaf-el-djeleb’’.
Et c’est au travers du relief miraculeusement mouvementé de ressauts que le mont du Gountas fait parvenir au village et à sa plaine les œuvres épisodiques de bienfaisance qu’il détient de la nature. Si l’hiver parfois est de rudesse avec sa neige, il en est alors au plus avec ses rafales de vent glaciales, l’Été n’en sera que vent en souffle de douceur et fraicheur venant d’un littoral bienfaiteur pour un sommeil de nuit qui s’accompagne bien au clair de lune avec un cri et chant du grillon et qu’au midi du jour le ronronnement d’une sieste se fera à la cymbalisation de la cigale.
Et si autrefois un chemin départemental de pierraille plutôt qu’une route carrossable, sinuait sa voie jusqu’à la cime pour relier le village à un autre versant prenant la pente sur un autre raccourci au propice à regagner au plus vite « Ed Dzair ». ED DZAIR, un nom plus courant pour nous de dire aussi El Assima au lieu d’Alger où que chacun en ce temps rêvait d’y aller une seule fois dans sa vie comme on va à la Mecque pour un pèlerinage. Aujourd’hui l’auto route est-ouest le traverse de part et d’autre au point le plus culminant de ces cimes mais on voit que même si cet essor en est arrivé jusque là, le village fut bien privé de ce développement par tout simplement une bretelle qu’il fallait encarter pour épargner à sa population tout un détour. Du bas du village maintenant à tout temps on peut voir défiler sur les cimes de ce mont de bien solides voitures qui déploient leurs charivaris sans discontinuité aux paisibles habitants de la région.
En voyant toujours ce chemin devenu aujourd'hui route de wilaya et qui mène toujours tout haut au sommet des crêtes de ce mont el gountas que de souvenirs d’enfance provoquent en moi leurs retours en tête. Des souvenirs qui rappellent mes longues immobilités dans une position inconfortable suivis de douleurs lors de certains voyages sur ce chemin.
De ces souvenirs que j’ai à citer pour cela, que de fois alors au temps des vacances d’Été, j’ai eu à subir l’agréable bonheur avec tout un fâcheux mécontentement en même temps dans un tout même un voyage exaltant et luxueux à bord et à l’arrière d’une 2 cv. Mes fameux et périples voyages se sont faits en empruntant ce chemin, elles me seront bien plus pénibles d’être assis sur une barre de fer, faute de place pour une quantité de marchandise à transporter, cette barre posée à l’horizontal est placée de manière particulière pour moi à l’arrière en guise de coussin confortable. Et durant tout un trajet bien long que même difficile à supporter encore la poussière que me sentant parfois mal à l’aise. Partout où sur mon corps circule une veine de sang que cette barre d’assise était là, endurcie à me tenailler encore plus que je ne savais plus où trouver de place plus confortable et comme ce que dit aussi Jacques Perret dans sa citation « Les grands fauteuils n'ont plus de postérieurs à leur mesure ». Mais avec ce que j’avais en moi, je me voyais plein de joie pour cacher ma souffrance et à ne le dire à celui qui conduit assis confortablement devant sans gêne, lui qui me lance ‘‘est-ce que tout va bien derrière mon garçon ‘‘? Est-ce un mot au sens propre pour sa marchandise ou au sens figuré qu'il dit pour mon assise endolorie. Mais pour lui, il pense comme il a toujours pensé que sa belle voiture permet de traverser un champ labouré avec un panier d’œuf sans casser un seul.
Et moi, à bord de sa belle 04 roues sous un parapluie j’ai eu à subir cette expérience sans casser un seul de mes 206 os constituant mon panier de squelette. Mais Il fut pour moi toujours d’avoir eu cette joie d’aller revoir un beau quartier de la capitale plein de choses habituelles qui m’ont manquées, comme celles d’aller sans cesse voir de nouveaux films dans les salles de ciné si ce n’est un autre temps à flâner dans ces ruelles d’el akiba pour quelques illustrés à bas prix à mettre sous la dent. -
Les gueules de l’emploi
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Grand mère est ce que tu es sortie ces derniers temps dans la rue ?
Non, du tout Fiston avec ce temps qui fait dehors j'ai préféré rester au chaud.
Grand mère j'ai peur de te le dire mais on vient par ce temps de crise laver les gueules de l’emploi par des crachats.
Les temps ont donc bien changé fiston, à l’époque c’était à l’aide de citernes qu’on venait laver la rue.Pour te dire plus Gm, les belles gueules de l’emploi ont eu d’abord une teinture rouge sur toute la tête avant qu’on décide de bien les laver par des crachats.
C’était pas pas gentil tout ça fiston.
C’était du dégoût GM on voyait sortir des bouches des tuniques noires des jets avec mépris.
Mais tu devrais le savoir fiston que les gueules de l’emploi n’ont jamais étaient aimés.
GM dans le temps les gueules de l’emploi on ne leur refusait jamais le supplément d’âme.
Aujourd’hui Fiston c'est une nouvelle mode absolue, sans restriction qui prend forme maintenant dans la rue pour laver la sévérité.Alors GM ceux qui sont honnêtes n’ont aucune chance d’être dans la rue pour faire valoir leurs gueules de l’emploi.
Les gueules de l’emploi ne doivent pas dire ce qui ne doit se dire en plein air.
A ton avis GM est ce que j’aurai une tête de gueule de l’emploi qui prime comme ceux de la rue.
Tu l’as bien cette tête mais on veut la voir sans aucune qualité requise pour un discours à une fonction.
Mais GM j’ai l’impression que je pourrais prononcer un discours sans être convaincu de mes propos.
Tais toi fiston, on ne doit pas tout dire ce que l’on pense dans la rue qui mérite bastonnade. -
Départ et Voyage vers Batna ville, capitale des Aurès
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Partenariat-Échange
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Une Belle journée printanière s’annonçait en ce jour du 07 Avril 2018
Pour ce jour de départ pour un voyage, cette date est enfin arrivée .Elle fait suite à l’invitation lancée par l’association ( l’AAECB ) d’ anciens collégiens d’avant 1969 du prestigieux collège de la ville de Batna à l’Association (ALMF ) de Miliana dans un cadre d'une rencontre d’Échanges et de Partenariat.
Comme il est aussi de notre coutume traditionnel, cela répond à une hospitalité réciproque de nos hôtes .
Et en cette circonstance qui se présente, c'est par les règles de politesse dues à toute invitation que d’anciens élèves du lycée Mustapha Ferroukhi de Miliana ont bien voulu y répondre à l’ appel de l’invitation de leurs amis .Comme il le fut dans le passé à leur plus tendre enfance à se lever de bonne heure de leurs patelins aussi lointains comme à l'exemple de Teniet el hadd,Tissemsilt, Ain Defla , Djendel Bou Medfa, Cherchell, Damous, Gouraya,Tipaza et à venir rejoindre ce seul Lycée métropolitain de leurs régions de ce temps.Ils ne sont plus jeunes aujourd’hui hui comme avant ,mais en souvenir d’un temps passé ils ont bravé l’age d' entreprendre un voyage collectif vers la ville et capitale des Aurès comme . Ils l’ont accepté avec la joie au cœur pour la passer chez ces amis du prestigieux lycée et Collège Benbou laid de Batna pour un séjour qui se veut par leurs hôtes de 04 jours.
Cette invitation par nos hôtes dans sa suite se reconnaitra aussi et surtout par l'événement de la raison de notre regroupement .Un rassemblement d’anciens lycéens qui se fêtera comme un événement de rapprochement inter-lycées prenant déjà naissance pour faire une marche dans un proche avenir.
Ces hôtes qui tous d’un certain âge avancé et à qui nous nous plions se sont donnés pleinement et le meilleur d’eux-mêmes pour un meilleur confort à notre séjour . Et c’est au nom de l’ALMF et aux noms de tous les participants ,que nous tenons à les remercier chaleureusement pour tout l’ accueil et leur hospitalité fraternelle.
Une hospitalité d’une bonne durée de temps qui a pu permettre en outre à notre groupe visiteur de découvrir et connaitre une région pleinement touristique d’où entre autres la contrée de Ghoufi avec ses balcons dans toutes leurs diversités ,le musée Si El Haouas dans un lieu historique de notre révolution , à visiter les ruines romaines de Timgad et à connaitre pourquoi la ville par son stratège a t elle été construite en cet endroit .Des explications qu’Ils sauront par la suite sur les lieux mêmes ,par des démonstrations inouïes données par un guide touristique tout spécialement appelé ,et tout comme cette légende de donnée historique expliquée à la connaissance de tous pour les Balcons de Ghoufi par un guide natif du lieu.Et C’est par cette journée magnifique et ensoleillée, que le voyage organisé par l’ALMF en sera un bout de parcours de 500 kms ou plus vers cette ville du Sud –Est. Un voyage et un séjour pour une perspective historique.
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Le jour où Miliani 2Keur a eu son compte
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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16 h passées, monsieur dort encore, couffin à la main madame en prend le risque et s’approche de lui.
Et c’est d’un mauvais œil, qu’ il lui lance : Tiens ! tiens ! le jour n’est pas encore levé que notre patronne de maison comme un clou se pointe déjà avec son couffin et une liste en mains.
Elle lui dit : Ya radjel ! il est bien tard, le Ftour est tout proche, il n’y a pas un radis au frigo à mettre sous la dent.
Patronne, devrais-je encore te dire que notre relation de travail du jour s’est complètement chavirée par cette conjoncture du temps présent, .., tu vois cette zone qui nous sépare et que tu as délibérément franchie. Il lui montre le plan de la porte de chambre.Cette zone bien explicite dit …tu m’approches pas ….tu me parles pas…tu me vois pas.
A de tels propos, elle ne dit mot. Son couffin toujours à la main elle ressort et à sa cuisine elle retourne…Toute triste… Toute abattue…Tout doucement. Et Sur la porte de la cuisine elle accroche une pancarte.
Fabrique fermée par manque de produits semi finis
Période de fermeture illimitée.
Pour tout anticorps chercher ailleurs.Au onzième jour, monsieur couffin à la main et une liste dans l’autre se décide enfin à sortir.
SUR SON CHEMIN IL RENCONTRE UNE CONNAISSANCE ;
Cette personne est toute contente de l’avoir rencontré qu’elle lui dit et qu’une discussion s’en suit :
-Ah ! bonjour Mr Mohamed vous êtes bien matinal en cette belle journée du ramadhan.
-Oh ! Mais c’est Notre Miliani 2 keur que je vois là devant moi. Bonjour 2KEUR, je vous trouve toujours le même j’espère pour vous que vous avez acheté ce fameux « kOSBOR » qui devient introuvable ces jours ci.
-Oh ! j’en ai acheté tout un couffin et à bas prix au marché d’en face, c’est pour ne plus faire ce va et vient pour rien pour cette indispensable plante pour ma «Chorba» préférée de tous les plats.
-J’ai fait de même mais plus que toi j’en ai acheté deux couffins pleins, c’est pour tous les jours qui restent, on a trouvé cela en famille que c’est plus digestif.
-Ne me dit pas que tu es arrivé à être herbivore à ce point Mohamed pour n’acheter que des plantes, au moins 100 grs de viande importée, ça ne demande pas grand-chose à ton budget.
-J’en ai cherché partout la nuit, et j’en ai pas trouvé un seul boucher qui soit ouvert.
-C’est pour ça qu’on ne te voit plus le jour Mohamed, est ce que tu bricoles à la maison.
-Je dors, mon cher ami, je dors je ne fais que roupiller ces derniers temps.
-10 jours passés en dormant.
-D’après la lune, il m’en reste encore
-Mohamed tu te te rends compte comment nos jours passent vite même en dormant ne trouves tu pas que c’est une calamité de ne voir personne au site.
-Tu sais Miliani que j’ai eu le cerveau ébranlé ces derniers temps je n’arrive même pas à parler je me suis dit du moment que je n’écris rien et que je ne parle pas il vaut mieux dormir.
-je dois te dire que même nos amis du Site dorment Mohamed tu n’es pas le seul tu es tout excusé de ma part.
-Au moins quelqu’un qui me donne raison.
-Mais il y a Keryma qui s’est réveillée un peu tôt mais qui s’excuse d’avoir trop dormi que d’habitude. Elle dit n’avoir pas trouvé quelqu’un avec qui jouer la boukala et aussi cette chantal qui vient quand elle veut et repart quand elle veut. On doit lui dire qu’on est en plein ramadhan et qu’elle doit choisir ses heures de visite qui conviennent.
-Pour Chantal je crois fort qu’elle n’a pu trouver quelqu’un avec qui parler, le jour qu’elle a dit qu’il vaut mieux revoir ce vivre ensemble une fois pour toute durant le ramadhan.
-C’est vraiment un problème pour elle, tu ne trouves pas Mohamed ?
-On verra son problème après la reprise. ET toi Miliani est ce que tu as un problème avec ta tête je ne vois plus ton karabouche rouge sur elle.
-je ne trouve pas le sommeil avec, que j’ai dû le quitter il va falloir voir mon toubib pour qu’il me donne un somnifère au moins pour dormir un peu comme toi et n’avoir plus ce couffin à remplir et à trimbaler avec moi toute la journée.
-Fais tout comme moi Milani et personne ne viendra te déranger. Écrit une pancarte et accroche la à la porte de ta chambre.Le jour suivant, Mohamed reçoit un coup de fil. IL RÉPOND et il entend une voix plaintive qui lui dit. C’est moi Miliana 2Keur qui te parle Mohamed : Est-ce que tu peux venir avec une ambulance en toute urgence chez moi, je crois que je suis tombé du lit et je ne peux pas me relever. Viens vite je t’en prie. J'AI VRAIMENT EU MON COMPTE.
Ce recit n'est que pure fiction . Les personnages de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. »
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Cette vérité qui se parle dans le noir
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
- 2 commentaires
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Ce jour là, contraint comme bien des fois par l'ennui indifférent à rester entre quatre murs avec Gm , que dans une obscurité où pas même un rai de lumière ne filtre ni ne se voit à travers une fente ou persienne j’étais prêt avec célérité à redire encore n'importe quoi de mes délires mensongères à GM.
Dans l'obscurité elle y croit tellement tout ce que je lui raconte du dehors. Mais lorsqu’enfin, je me suis rendu compte de mon empressement, de ma stupidité à avoir toujours menti dans le noir, j'ai pensé à lui parler cette fois de la vérité dans sa réalité.
Souvent Gm perd le fil que j'essaie ce jour là de lui parler à sa convenance de la lumière.- Et dans le noir sans nous voir on se parlait d'une chose paradoxalement invraisemblable .On parlait de la lumière dans le noir. Cette lumière de la pensée en tant qu’elle est pensée de la vérité. Lui dire que tous ceux qui disent que la vérité n’existe pas sont des esprits simplistes : j'allais lui parler que la pensée s'entretient avec la vérité. Pour commencer notre discussion importante je l'ai invitée à regarder un peu sur ce qui se passe autour de nous .
- ELLE me dit l'heure de vérité a donc enfin sonné pour toi Fiston.
Sans aucune gêne je lui ai dit , cette vérité fondée sur la loi du plus fort est toute autour de nous que même un sourd ou un aveugle peut entendre et voir.
- Si pour toi un aveugle peut la voir moi je ne te vois même pas fiston , clouée comme je suis je me sens dépourvue de toute sensation visuelle autour de moi dans cette bicoque.- Oh! tu me fais rire GM, on ne va pas parler du décor de notre bicoque mais de ce monde externe qui nous entoure.
- Comme il est bon pour toi de me rappeler des fois que dans cette bicoque je dois vivre et observer un peu ce qui découle de la vie en ce monde où nous vivons Fiston.
-Tu vois GM qu'il est nécessaire de laisser pénétrer la clarté de lumière du dehors même par temps froid intense ou même s'il fait chaud à perdre haleine .
-Depuis un temps cette lumiere me manque, et ce n'est que pour avoir ma neutralité entre le chaud et le froid que j'ai dû fermer porte et fenetre autour de moi fiston
- Mais dans l obscurité et sans la lumière, on ne peut pas voir la realité qui nous entoure GM et la lumière est un facteur physique capable de rendre visible ou de rendre plus éclairé un objet pour l'œil .
- Tu as raison fiston , si je ne peux meme te voir pour te parler je crois maintenant que c'est celà qui m'afflaiblie si je suis sans cette flamme du lumiere du dehors .
- Comme Je te plains GM ,à te voir ainsi supporter cette souffrance dans cette bicoque toute à l'image des fleurs d'une plante dans une obscurité qui manquent de chlorophyle.
- Il ne faut point considerer celà comme une pitié fiston ,l'exemple de tout commun d'etre sans energie nous est donné par la realité ordinairs que la lumiere d'une lampe ne s'affaiblit graduellement que Lorsque l'huile s'épuise et c'est là qu'on voit la flamme de la lampe s'éteindre,
-Dans ton cas GM il faudrait chercher de temps à autre cette lumiere pour savoir ce qui se passe en evenements dans le monde .
-Et si tu me parles un peu de cette lumiere dictée du dehors qu'on voit et qu'on respire selon l'envie.
- En toute indépendance je vais t'en parler de cette lumiere GM que meme dehors on peut bien la cacher.
-J'ai l'impression de vivre dans un cagibi pour t"entendre dire de nos jours qu'en plein jour on peut cacher la lumiere à nos yeux.
-Pour commencer GM le petit fiston que je suis va te parler de cette evidence dite comme realité.-
.-Mais Fiston je pense que toute évidence s'impose à l'esprit comme une vérité .
-je vais essayer seulement de te parler de ce qui est nettement apparent la plus plausible comme verité qui se dit dehors GM .
-Tu veux dire cette verité alternative qui se crypte dans la realité ,de ça je ne veux t'entendre m' en parler fiston
-Mais GM qui dit réalité,dit verité sans qu'il soit besoin d'aucune preuve ou justification.
- Celle de la verité divine ou celle de la conscience humaine Fiston.
- Je veux te parler de cette conscience morale GM qui se dit lorsqu' dans un miroir on doit se voir pour se reconnaitre.
-Est ce en connaissance de cause que tu le dis Fiston?
-Je veux dire que toute vérité n'est pas conforme dans le decrit reel GM ?.
- Il apparaît dans ce monde actuel que « scientifiquement » , la verité objective n’existe pas et n'existera pas fiston .
- Meme Si l'on veut dire que ce qui est vrai pour l'un ne le sera pas pour un autre dans ce monde GM .
--Ou à defaut ne rien dire par lacheté pour la faire connaitre differement fiston
- GM c'est ce qu'on ne cherche simplement qu'à le faire croire
-Dans ce monde hypocrite on le voit concretement Fiston ,c 'est une verité dépourvue de volonté morale qui ne se respecte pas dans l'obligation morale.
-Il est des vérités démontrées dans la façon dont les gens agissent, sentent et pensent, et qu'il faut démontrer encore plus pour etre vraies GM.
- il s'agit là de ne pas avouer pour dire la vérité mais de l'entendre seulement fiston.
-Faut-il occulter la vérité dans le mensonge GM ?
- on ne peut pas en parler des fois de verité sans modifier dans le sens subjectif de ce ce qu’on aimerait cacher,Il arrive parfois de ne pas dire la vérité Fiston
-Ce que quelqu'un peut tolérer est peut-être insupportable pour l'autre Gm.
-la verité c'est cette lumiere qui se dit Fiston elle est la force de la loi avant toute autre considération.
- Alors C'est qu'on ne veut pas la chercher autour de soi dans l'obscurité pour la verifier qu'on ne veut pas faire sa lumiere Gm.
-Quand On aime la vérité, on doit la rechercher toujours Fiston .
-GM est ce qu'il est plus important de parler de verité ou de mensonge quand on voit une realité.
-C"est quand on veut parler des deux, sans s’y attarder Fiston .
Mais comme tout le monde le sait GM il y a une solution plutôt bonne que facile .
-Il est des moments où le choix courageux peut etre compliqué pour ceux qui detiennent la forme d'autorité pour attenuer la rigueur de leurs fautes .
-Quand on veut l'exiger des autres dans l'« erreur » et le « mensonge » Fiston , quoique l'on n'ait pas soi-même le courage de l'avouer.
-la vérité qui se termine par un «À suivre» restera donc sans suite fiston .
-GM ne vois tu pas Ce que ce beau monde qui nous entoure défend une verité subjective pour vivre seulement la vie.
- Ce sont Ceux qui disent avoir bonne conscience sur la democratie qui disent qu'ils defendent la verité .
- La verité devient un peu compliqué pour d'autres qui ont leur conscience morale normale.
- Dans ce monde la verité se voit sur l'avis et l'evaluation dans le mode de choix d'un systeme où l'on vit FISTON
- Au nom de la democratie On voit qu'on défend plus le système qui leur va si bien GM.
-Ce systeme n'est que celui de l'argent entre les mains d'une minorité Fiston .
- Ils ne sont que les clements et si pathétiques, avec leurs grands airs de démocrates, qu'ils sont à crier ensemble : « on va essayer la guerre et defendre notre justice sociale »
-Pour eux «Ce serait la bonne expérience» afin de cacher une verité par leur mensonge à la face du monde GM.
- leur jeu de guerre malsain n'aboutit qu'à la même question quand le diable mene le bal pour eux Fiston .
-C'Est ce qu'On veut montrer à la face du monde dans notre temps que L'assassin va même jusqu'à réclamer pour ses droits «une enquête immédiate, approfondie, transparente et impartiale GM .
- Il apparaît donc dans ce monde actuel que « scientifiquement » , la verité objective n’existe pas et n'existera pas fiston .
-comme il est bon de le rappeler aux va-t-en-guerre qui jouent avec le feu.
-Nous avons trop parlé de verité que nous avons negligé le faux GM.
-Mais pour dire quoi d'une justice actuelle qui ne se voit pas dans la lumiere Fiston .
-Ce qui a plus realiste à dire GM à ceux qui tiennent la verité et ceux qui veulent le mensonge.
- Est ce pour la qualifier d'une verité objective ou verité subjective contre l'intolérable barbarie que le monde hypocritement cache Fiston..
- Elle sera une prise de conscience pour un appel à la democratie à ceux qui veulent suivre leur propre voie vers l'égalité -
Je crois que je dois vous le dire
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Et J'ai vu un jour cet homme des sales besognes s’en aller sans retour.
Vilipendé avec pour bannière sa tristesse comme toute gloire conquise.
Adieu monsieur lui a t on dit, tout est fini tu as semé le vent partout que tu n'as récolté que tempête.
Que de gens ce jour là n’ont eu cette peine d’en verser de larme.
Adieu monsieur dans ton aventure tu n'étais pas fidèle.
On attendait de lui le soleil de nos vingt ans.
Avec ses bannières et sa horde il a semé la grêle au lieu des grains de fleurs.
Chers amis, je crois que sur lui je vous ai tout dit.
Mais je dois aussi vous dire ce jour je voyais aussi.
Un monde, femmes, hommes petits et grands au dehors chanter cette gloire.
Crier au monde ce jour une nouvelle liberté dans leur terre.
Et j’ai vu l’étoile et son croissant avec leur rouge vif.
Dans un blanc et vert flottés aux mains d’un enfant.
Et j'ai entendu "Kassamen" sortir du lieu profond de son corps.
Je me suis alors souvenu de mes 12 ans et de mes amis de ce temps.
Ce jour aussi , je criais et on criait paix sur notre terre, libres enfin nous le sommes après sept ans.
Pieds nus même sur des épines on courait.
La joie ce jour cachait nos pleurs.
Je crois que je vous ai tout dit mais mon histoire n'est pas finie. -
Bonjour Vendredi, au revoir Vendredi…
- Par algermiliana
- Le 04/07/2025
- Dans Le coin de Med BRADAI
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Et heureux qu’il en reste à dire ! comme tu le dis...
Mon histoire, le dit encore cher Ami
Venu d’une simple marche dite « el hirak »
L’histoire dit d'’un peuple pour bien plaire dans sa marche a bien choisi un jour préféré
A ce jour, il dit Au début « Bonjour Vendredi», à la fin il dira « au Revoir Vendredi »******
C’est quand son jour se lève et que sa nuit se couche
Et dans la rue il marchait avec un chant de joie qui dit : qu’il a trouvé *ce qu’il a perdu*
En ce jour Beni par Dieu il a trouvé « sa liberté »
Et ce jour que sans peur et sans reproche, il prit son bien
Ben Badis l’avait écrit pour son peuple******
Qu’il revienne au peuple ce qu'il a perdu
Ben Mhidi l’a redit dit pour un peuple
Mettez la révolution dans la rue, le peuple s’en emparera
Tous deux ont dit comment devrait se faire la raison d’être d’un peuple opprimé
Et en ce jour miséricordieux le peuple a trouvé ce qu’il a perdu******
Tout ! à chaque Vendredi qui vient, tout à chaque Vendredi qui part
Ce peuple chante et caresse son nom sur son cœur
Tout !à chaque Vendredi qui vient, tout à chaque Vendredi qui part
Ce peuple crie « Pouvoir corrompu, gentiment on te demande Dégage, » ,
Croyez moi cher Ami, un autre choix n’y était plus pour lui pour ne plus lui la voler
Tout ce qui était à dire cher Ami d’un peuple je l’ai dit mais à mon histoire il reste encore à dire.******
dédié à Mon fils, au tien comme à toute cette jeunesse de moins de vingt ans.