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Articles de algermiliana

  • Festivités du 1er Novembre

    _______Festivités du 1er Novembre 2014 en photos_______
    ------- Alger -------

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  • Feraoun, Camus et l'Algérie

     Je suis en train de relire ‘’l’Etranger’’ de Camus, avant de lire ‘’Meursault Contre-Enquête’’ de Kamel Daoud et enfin relire aussi ‘’ La Condition Humaine’’ d’André Malraux.

    José Lenzini né à Sétif a passé sa jeunesse en Algérie. Auteur de ‘’Camus et l’Algérie (Edisud, 2010)’’ et ‘’ Les derniers jours d’Albert Camus (Actes Sud, 2013)’’ entre autre, et il rapporte :

    ‘’En 1950 Feraoun, alors instituteur en Kabylie, publie à compte d’auteur,  le fils du pauvre. L’année suivante, son ami Emmanuel Roblès lui écrit que Camus a beaucoup aimé ce livre. Feraoun admire Camus, mais a été choqué par ses articles sur la Kabylie. Rien que la misère, les aspects positifs d’une culture dont Camus n’a montré que la misère. Et dans la Peste, pas un arabe ! Il lui écrit son admiration, mais aussi sa déception. C’est ainsi que débute leur correspondance. ‘’

     Et 60 ou 70 ans après Feraoun, on se réveille ! Nous autres, toujours durs à la détente ! Feraoun, voilà un très grand Homme, un très grand Algérien, que notre pays se doit de mettre sur un piédestal, qui déjà en 1950, avant notre révolution et avant beaucoup d’autres algériens qu’on glorifie aujourd’hui, a parlé pour nous tous et a rappelé à cet autre illustre fils de l’Algérie, Albert Camus,  que nous existions.

    « Les Arabes dans La Peste et L’Étranger, » disait Edward Saïd, dans un des essais fondateurs de la théorie postcoloniale, « sont des êtres sans nom qui servent d’arrière fond à la grandiose métaphysique européenne qu’explore Camus. ». Edward Saïd, est un théoricien littéraire, un critique et un intellectuel palestino-américain. Il a enseigné, de 1963 jusqu'à sa mort en 2003, la littérature anglaise et la littérature comparée à l'université Columbia de New York.

    Kamel Daoud en 2014 dans son livre ‘’Meursault Contre-Enquête’’ (Finaliste prix Goncourt 2014), ne dit pas le contraire. Mais là n’est pas son propos. Pour lui, le fait que le personnage Meursault tire cinq fois sur un Arabe sans nom, qu’il y a vingt-cinq mentions d’Arabes dans le texte sans que l’Arabe assassiné compte dans l’acte d’accusation contre Meursault. L’Arabe portera désormais comme nom Moussa, qui fait si joliment écho à Meursault.

  • Colloque « La Paix en Palestine »

    Mon intervention au colloque « La Paix en Palestine »

    « S'ils penchent pour la paix, fais de même en te confiant à Dieu, car Il est l'Audient et l'Omniscient. » (Coran 8.61)

     Je remercie la dynamique et chaleureuse équipe actuelle du GAIC et le réseau  Chrétiens de la Méditerranée  d’avoir bien voulu m’inviter. En ces temps sombres, où le monde prend une mauvaise direction, plus que jamais il nous faut continuer à dialoguer et témoigner pour la paix, l’amitié, la justice.  En sept points succincts, humblement, au vu de tant de drames, de complexité et d’incompréhensions, je vais essayer de vous faire part de ma réflexion.

       1 -Hommes et femmes de foi, c’est sous le signe du vivre ensemble, de l’amitié et de la fraternité  abrahamique et humaine qu’il y a lieu de s’inscrire. Sinon nous serons en porte faux avec nos références spirituelles fondatrices communes : « Nous croyons en Dieu, en ce qui nous a été révélé par Abraham, Ismaïl et Jacob et les patriarches, en ce qui nous a été donné par Moïse et par Jésus, et ce que les prophètes ont reçu de leur Seigneur. Nous ne faisons pas de distinctions entre eux.»(Coran:2-136) Sauvez nos religions des instrumentalisations politiques, de l’usurpation du nom et des injustices est un devoir. 

       2- Défendre la cause de la paix en Palestine est un devoir éthique, humaniste, citoyen, et non point un reflexe communautariste. C’est parce que la cause palestinienne est juste et symptomatique des iniquités de notre temps, que nous avons à exprimer notre solidarité. Ce n’est pas un problème judéo-arabe, ou islamo-hébraïque. Durant des siècles, Juifs et Musulmans ont vécu ensemble, notamment depuis la sortie de l’Andalousie jusqu'à la deuxième guerre mondiale, nos frères juifs ont trouvés refuge en terre d’islam. Comme les chrétiens d’Orient, ils sont une partie de nous mêmes.

       3- Ce qui se joue en Palestine n’est pas un simple drame local, c’est un des problèmes politiques majeurs de notre temps, où nos trois religions, y sont mêlées malgré elles. Il y a d’autres drames et conflits de par le monde, mais les spécificités, dont Jérusalem est le symbole, et les conséquences du différend israélo-palestinien, notamment sécuritaires,  sont d’une dimension planétaire. C’est une question centrale qui influe sur l’avenir du monde, a pris en otage le rapprochement entre les peuples et nourrie des extrémismes. La terminologie n’est pas innocente, faisons attention aux mots que nous employons, évitons tous les amalgames.

       4- En citoyens du monde et croyants abrahamiques, attachés à la civilisation humaine et à la primauté du droit sur la loi du plus fort, nous ne pouvons pas ignorer qu’il n’y a pas de Paix sans Justice. Nous avons besoin les uns des autres pour contribuer à une solution juste, globale et définitive. Avoir au plus haut point le respect de l'autre est la marque des justes. L'acte de foi devrait annuler toute possibilité d’iniquité. Dialoguer c’est d’abord écouter l’autre et sortir des points d’aveuglements.

       5- Une parole commune pour la paix est non seulement possible, mais est une exigence éthique. Dieu, dans nos livres sacrés, précise qu’Il n’aime pas ceux qui disent et n’agissent pas. Le meilleur des croyants est celui qui est le plus utile à l’humanité, sait se réconcilier et oeuvre pour la concorde. Notre devenir est commun. En Palestine, il ne peut y avoir qu’une paix réelle pour tous, ou pour personne. L’apartheid, le blocus, l’enfermement,  imposés aux palestiniens, sont mortifère pour la paix.

       6- Dieu ne changera pas l’état d’un peuple tant qu’il ne change pas lui même. Ce conflit, au fond,  n’est pas entre ennemis, mais entre «frères », entre« faux-frères ». Il implique pour tous de faire l’examen de conscience, de pratiquer l’autocritique et de dialoguer, afin d’accéder à une vraie fraternité. Ce but, la vraie fraternité, passe par la fin de l’occupation, le droit du peuple palestinien à disposer de lui même et la paix entre les deux peuples.

       7- Cela signifie qu’on ne saurait y parvenir en simplifiant les problèmes, mais en les approfondissant. De même, le but ne doit jamais justifier les moyens de la résistance, tout en sachant, comme disaient Ghandi ou Mandela, que c’est le colonisateur, qui détermine les conditions de la lutte. Le peuple palestinien opprimé, privé de ses droits élémentaires, n’a le choix que de résister, généralement pacifiquement. La désinformation occulte cette réalité. La violence aveugle, inadmissible, injustifiable, est le produit de la répression aveugle, de l’humiliation et des discriminations.

    Conclusion

    La question palestinienne est politique, cependant le dialogue entre les sages, les justes, permet d’alerter les consciences, de jeter des ponts, de sortir de l’aveuglement, de mettre fin au pessimisme, au désespoir et de sensibiliser sur le fait que les religions sont innocentes face à toutes les violences. Il y a des justes et des extrémistes dans toutes les communautés. Tous les justes, par delà leur religion et leur culture, doivent œuvrer ensemble pour instaurer l’équité et faire prévaloir le droit.

    Critiquer les réactions de l’extrémisme fondamentaliste ce n’est point être islamophobe ; critiquer le sionisme extrémiste et refuser la colonisation ce n’est pas être antisémite ; critiquer la politique des deux poids et deux mesures des grandes puissances, ce n’est pas être anti-occidental. Aucun amalgame, aucune stigmatisation, ne doivent être tolérés. Rien ne doit servir de prétexte pour retarder la paix réelle, la libération du peuple palestinien et la sécurité pour les deux peuples.  Soutenir la juste cause palestinienne et la logique de la paix ce n’est pas faire de la charité, mais contribuer au bien commun et tarir une des sources des problèmes de notre temps.

    Ce qui se joue dans cette région influe sur la paix et la sécurité dans le monde. Ne laissons personne les mettre indéfiniment en péril. Comment accepter qu’une soixantaine de résolutions du Conseil de sécurité sur cette question depuis plus de 60 ans soient restées lettres mortes ? Cependant, aujourd’hui la communauté internationale, qui un temps a comme abandonné le peuple palestinien opprimé, reconnaît qu’il n’y a pas d’alternative à la solution diplomatique et politique pour deux États, dans le respect du droit international et dans le cadre de l’ONU. Sans le Tiers, la communauté internationale, il est clair que le conflit perdurera au détriment de la sécurité internationale.

    Deux États côte à côte, coexistant en bonne intelligence et fraternité, ce n’est point une utopie, ni un rêve impossible. La haine est vouée à l’échec. Les palestiniens ont ouvert grande la porte de la négociation, du dialogue et des concessions depuis au moins 1993. Les pays arabes acceptent le dialogue depuis le sommet de Madrid en 1991 et proposent depuis 2002 la paix et la reconnaissance de l’État d’Israël en échange négocié des territoires occupés en 1967.

    Dans ce sens, le pape François lors de son voyage en terre sainte en Mai dernier a prononcé des paroles que nous partageons : « Nous devons accepter tout ce qui concours à l’exercice de la paix et à la coexistence respectueuse entre juifs, chrétiens et musulmans». La communauté internationale, malgré des entraves dues à la politique du fait accompli,  sait que tôt ou tard le peuple palestinien sera indépendant, il est donc temps  d’user de la force du droit pour mettre fin aux souffrances.

    Nul ne peut arrêter le cours de l’histoire et la volonté des peuples. Pour nous autres croyants, humanistes, reste à inventer et conforter toutes les mesures de confiance possibles, s’adresser à l’autre, le reconnaitre, le respecter dans son altérité, sa dignité et sa mémoire.  Se mettre en état de paix intérieure, dépasser toutes les rancunes, être juste, est le début de la paix politique réelle pour tous. Le Deutéronome (15 : 7- 11) ne dit t-il pas : « tu n'endurciras point ton cœur » ? Et le Coran ajoute « Soyez justes, la justice est proche de la piété » (Coran 5:8)

    Croyants, citoyens du monde, démocrates, nous avons à témoigner, à continuer à dire ce que nous croyons être juste, surtout si parviennent de Jérusalem, Al Qods, des mauvaises nouvelles. Le témoignage propre aux croyants de la Transcendance est parole juste persévérante, en notre âme et conscience, sous le regard de Dieu. En témoignant nous serons, peut être, si Dieu veut, de ceux qui s’entendront dire «j'étais en prison, et vous êtes venus vers moi. » (Évangile St Matthieu 25, 31-46)

    Témoignons avec lucidité, compassion et dignité, afin que justice soit rendue et que la fraternité reprenne ses droits.  Ne dit-on pas que le judaïsme est ancré dans l'espérance, le christianisme dans la charité et l'Islam dans la foi ? Réunissons ces qualités en chacun de nous et ne cessons pas de témoigner. Il y a des témoignages, des paroles et des prières qui sont des actes. Comme Abraham nous l’a apprit, puisque nous savons que « Tout passe sauf la Face de Dieu »  éveillant ensemble les consciences à la fraternité, à la justice, à la paix :  

    « Demandez, j’exaucerai vos prières» (Le Coran, 40. 60)

    « Demandez, et vous recevrez » (Évangile selon Matthieu, 7: 7-8)

    « J’ai crié maintes fois au Seigneur ma complainte, Il ne m’a pas repoussé, mais toujours exaucé »  (Bible, Psaume de David)

  • L'éternel incompris !

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    Salim Haini, très connu sous le sobriquet El Akoul c'est-à-dire (le mangeur) et / ou le gargantua de la région :

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     Devant l’étonnement et surtout les exploits qu’il fournit dans chacune de ses exhibitions que ce soit lors des émissions télévisées ou tout simplement lors des fêtes animées à travers les 48 wilayas du pays.

     Nous avons donc voulu comprendre le mythe qui entoure cette histoire, surtout découvrir les réponses aux diverses interrogations, appréhensions et anxiétés des spectateurs. Chaque fois que Salim dit (El Akoul) se produit dans un de ses spectacles, il laisse les téléspectateurs sur leur faim alors que lui est copieusement rassasié.

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  • Marchés flottants en Hollande

    Chers(es) ami(es) bonsoir.

    Que du beau! J'essaie tout au moins de ne pas sortir de ce cadre et j'espère que j'y suis.
    Je vous souhaite d'agréables moments.

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  • La route des Pharaons

    Que du bonheur à travers cet album d'une beauté sublime! Je vous souhaite de passer un agréable moment.

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  • Maître Verrier magnifique !!!

    C'est tellement ingénieux et beau que je ne peux passer sans vous faire admirer!

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  • Le handball à Aïn Defla

    Tahar Kader, enseignant retraité,  ancien handballeur :

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     Tahar Keddar, retraité de l’enseignement a marqué de son empreinte sa ville natale d’Ain Defla  dans les années 1960, en introduisant la pratique du handball. Il reste aussi un des rares animateurs de la jeunesse à se consacrer à sa passion, malgré son âge. En quelle année fut introduit le handball à Ain Defla ? Comment et par qui ? Autant de questions que beaucoup de jeunes devraient se poser pour comprendre que ce sport avait pris racines il ya bien longtemps dans leur ville. Dans le temps, le nom d’Ain Defla rimait toujours avec le handball. Tahar Keddar, l’un des pionniers de cette discipline, nous donne l’éclairage ci-après. Pour précision, Tahar, a été un ancien exceptionnel  de handball pour ceux qui ne le savaient pas. Avec son gabarit, sa technique et surtout sa précision était toujours égal à lui-même.

    Tahar Kaddar , comme à l’accoutumée avait bien voulu nous recevoir pour nous parler du handball dans sa ville natale qui est Ain Defla.

    Nous vous remercions d’avoir accepté de nous parler du handball à Ain Defla. Pouvez-vous nous situer les circonstances qui ont permis l’introduction de ce sport dans votre ville ?

    Tahar Keddar : Tout d’abord, c’est moi qui vous remercie d’avoir voulu parler de la petite balle ronde à Ain Defla. Cela remonte Aux années 1960, plus précisément en 1966. Mais il était pratiqué dans un sens beaucoup plus élémentaire. J’étais parce que cela relève des années 60. L’origine, comme vous dites, du handball à Ain Defla remonte plus précisément en 1966. Mais en 1967 il était pratiqué dans un sens beaucoup plus élémentaire. J’étais scolarisé à Boufarik, ville très connu pour sa pratique du handball. Alors, très jeune,  on m’avait initié au handball et assez vite, je me suis aperçu que c’était un jeu comme les autres qu’il avait ses règles, ses codes et son jargon, il nécessite de l’agilité, de la souplesse mais aussi un brin d’engagement physique. Au fil des mois, j’ai commencé à m’y intéresser et à y prendre goût. Lors de mes incessants allers et retours entre Ain Defla et Boufarik, j’ai pu discuter avec le moniteur de sports au niveau du CEM Ibn Sina, en l’occurrence Benhlima Belhadj, qui vit actuellement à Aribs. Il m’écouta attentivement et avec un intéressement profond puis hocha la tête en me disant que ce jeu pourrait effectivement être développé ici et c’est ainsi que le handball  avait pris forme à Ain Defla. 

    Il vous a donc suffit  de quelques phrases  pour emballer  de facto le moniteur en question ?

    Tahar Kaddar : Effectivement, mes camarades et loi, tous des futures handballeurs, avons pesé de tout notre poids pour que le moniteur soit convaincu et persuadé de la réussite de cette pratique à Ain Defla. Ce moniteur m’estimait  beaucoup, j’ai prié, alors, mon père pour me ramener ici à Ain Defla et c’est comme ça aussi que nous avions débuté les entrainements avec l’affiliation au FASSU (Fédération Algérienne des sports scolaires et universitaires) et c’est comme ça aussi que le niveau commençait à s’élever avec les rencontres avec d’autres lycées. La pratique du handball avait déjà pris une certaine configuration avec l’incorporation des joueurs qui étaient prédestinés pour jouer au handball, leur morphologie et leurs aptitudes physiques les destinaient à ce type jeu.    

    Pourtant, le moniteur n’avait aucune connaissance des règles à ce type de jeu ?

    Tahar Kaddar : Le moniteur voulait faire assoir le basketball parce qu’il maitrisait ce jeu mais il ne possédait aucun joueur qui pouvait l’aider dans sa tache..Nous on était nombreux et on connaissait surtout les principes et plus au moins le règlement. Donc, notre moniteur était obligé d’accepter le handball par rapport au basketball. C’est vrai, on l’avait aidé pour nous préparer, cela était facile pour lui. L’avantage, on possédait tous une grande taille, on également était également costaud et bien portant : Ahmed Chouachaoui, Ahmed Bendjilali, Tahar Kaddar, Ahmed Belahcène dit Kechar, Mohamed Mekhaneg, Mohamed Hamrat, Missoum Mériami et quelques autres dont les internes.  

    Comment êtes vous arrivé à constituer un vrai club ?

    Tahra Kaddar : D’année en année, l’équipe prenait forme que ce soit au lycée ou bien au niveau du club civil, l’équipe n’arrêtait pas d’évoluer avec surtout l’apport de plusieurs entraineurs. Farid Affiane, natif de Cherchell qui nous a été d’un grand apport. Il a permis à l’équipe d’évoluer sur tous les plans, en particulier sur le plan de la préparation physique et tactique. La période 1974 à 1980 fut la plus belle avec les rencontres du FDOS (Chlef), l’équipe de Tènès, quelques années plus tard, ce fut le tour des équipes telles que l’URBOF (Oued Fodda), CREPS (Chlef), des matchs très serrés et d’un haut niveau technique. La meilleure équipe de l’époque fut celle composée de : Mahmoud Laid, Aissa Bendjilali, Maamar Ayache,Yahia Selmaoui, Djilali Deghrar, Ahmed Maghni, Chérief, Rachid Badri, Saidi Said et Sadi Mustapha, Ahmed Hadj Sadok etc…(nous ne pouvons tous les citer tant ils étaient très nombreux. Les joueurs de l’époque alliaient prouesses techniques et puissances. Ils étaient également tous doués, leurs noms étaient toujours collés voire consacrés à cette discipline. Parce que sur le terrain, ils n’étaient pas uniquement des joueurs mais aussi des diables. Ils possédaient l’art de savoir manier le ballon rond. 

    Un message à transmettre ?

    Tahar Kaddar : Mon souhait le plus ardent, c’est de voir notre équipe de handball atteindre un niveau appréciable parce qu’actuellement il traine dans une division qui, en réalité, n’est pas la sienne.

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  • Magnifique leçon de géologie en direct

    Bonjour à toutes et à tous.
    Habituellement lorsque l'on évoque le TCHAD, on pense à la désolation de la nature de ce pays et pourtant !!!
    Bonne matinée,bonne après midi ou bonne soirée suivant le cas.

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  • Le génie de l'homme à dompter la nature

    Je vous adresse ce très beau document avec des images sublimes. Ces images donnent une idée exacte de ce que pourrait faire le génie de l'homme afin de dompter la nature à sa guise et en faire des choses de prime à bord on ne pourrait même pas y penser.

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